Guides d'orientation : tout savoir sur une filière
groupe d'advisors

Témoignages École de commerce

Il existe 1001 façons de choisir sa filière, mais ce n'est pas toujours évident de s'y retrouver au milieu de toutes ces informations 🔎, et de savoir si on a fait le bon choix !

Les témoignages de nos Advisors sont là pour t'aider à y voir plus clair 💡.

Si tu veux en savoir plus sur leurs parcours, prends RDV avec eux 🤳 !

19 résultats correspondants :

Siontiandiobi, 40 ans

Marketing

J'éprouve un grand plaisir quand à la fin de l'entretien, le pioupiou est satisfait de mes réponses. Parvenir à l'aider, lui donner des idées pour son orientation relativement à mon expérience, c'est cela l'objectif important !

Zoé, 22 ans

Bachelor généraliste

Je suis ravi de partager mon expérience d'étudiant en Bachelor généraliste en école de commerce. J'ai choisi cette voie car je voulais acquérir une solide base de connaissances en gestion et en commerce, tout en explorant différentes spécialités. Tout au long de mon programme, j'ai été exposé à une grande variété de sujets tels que la finance, le marketing, la stratégie d'entreprise, la comptabilité, la gestion des ressources humaines et la gestion de projet. Chaque cours était enseigné par des professeurs expérimentés qui ont fourni des perspectives uniques sur les sujets abordés. Outre les cours, j'ai également eu la chance de participer à plusieurs activités parascolaires et projets. J'ai rejoint le club de débat, où j'ai pu améliorer mes compétences en communication et en argumentation, ainsi que le club de marketing, où j'ai travaillé sur des projets réels avec des entreprises locales. L'école de commerce a également offert de nombreuses occasions de réseautage, notamment des événements de carrière, des séminaires et des conférences. Ces occasions m'ont permis de rencontrer des professionnels de différents secteurs et d'en apprendre davantage sur les opportunités de carrière dans le domaine des affaires. Dans l'ensemble, mon expérience a été extrêmement positive. J'ai acquis une solide formation en gestion et en commerce, j'ai participé à des activités stimulantes et j'ai eu la chance de rencontrer des professionnels de différents secteurs. Je suis convaincu que les compétences et les connaissances que j'ai acquises me seront utiles tout au long de ma carrière dans les affaires.

Clémentine, 23 ans

Management et administration des entreprises

Être en école de commerce, concrètement ça veut dire quoi ? Aujourd'hui, dans l'esprit de beaucoup de personnes, les étudiants en école de co sont des fêtards sans réelle profondeur de réflexion. Cependant, beaucoup de notre génération cherche à prouver le contraire. Nous démontrons qu'on peut faire de belles et grandes choses dans les écoles de commerce. De la vie associative, à nos cours, et nos expatriations (etc). De nombreuses expériences s'offrent à nous et il faut saisir chaque chance qu'on nous donne. Une école de commerce c'est s'ouvrir au monde et aux opportunités qui en regorgent. C'est changer, évoluer, apprendre, grandir et se remettre en question. Principalement se remettre en question. On peut être perdu sur les bancs de l'école ou parfaitement savoir pourquoi on est là. Il y a de tous les genres. Mais une chose nous rassemble tous : notre envie de continuer à avancer et trouver notre but, un objectif, quelque chose qui nous fera vibrer pour (on l'espère) le reste de notre vie. Il ne faut pas avoir peur d'être perdu. C'est important de se perdre pour mieux retrouver son chemin. Je me suis moi-même perdue plus d'une fois au cours de ces dernières années. Et j'ai retrouvé ma voie, pas celle que je pensais choisir, mais une autre complètement différente, dans laquelle je m'épanouis jour après jour. L'important c'est de se faire confiance. De ne pas hésiter à essayer ! Pour apprendre, le mieux est de tomber, de se faire mal, puis de revenir dans le jeu pour montrer que l'on a appris de nos erreurs. C'est ce qui nous fait grandir. Alors si j'ai un conseil à vous donner, n'ayez pas peur d'avoir peur, n'hésitez pas à essayer des choses, à vous challenger. Le plus important ce n'est pas le temps que vous mettez à construire votre avenir, mais la passion et l'envie que vous y mettez ! Le reste suivra.

Paul, 27 ans

Management et commerce international

Mon parcours académique à l'étranger a été une expérience inoubliable qui a profondément enrichi ma vie personnelle et professionnelle. Lorsque j'ai décidé de poursuivre mes études à l'étranger, le choix de l'université et du programme était d'une importance cruciale. J'ai opté pour le programme de Management et Commerce International, car il semblait être le choix parfait pour développer mes compétences et ma compréhension du commerce mondial. Ma décision de quitter mon pays natal pour poursuivre ces études à l'autre bout du monde, à l'université d'Hobart en Tasmanie, a été l'une des meilleures que j'ai jamais prises. L'université d'Hobart m'a offert un environnement académique stimulant et diversifié. Les professeurs étaient hautement qualifiés et engagés, et ils ont partagé leur expertise dans divers domaines du management et du commerce international. J'ai particulièrement apprécié la manière dont les cours étaient conçus pour combiner la théorie avec des études de cas pratiques, ce qui m'a permis d'acquérir une perspective approfondie et holistique du commerce international. Une autre facette exceptionnelle de mon expérience à l'étranger a été l'opportunité de travailler avec des étudiants du monde entier. La diversité culturelle de ma classe a enrichi nos discussions en classe et nos projets de groupe. J'ai pu comprendre les nuances et les défis du commerce international à partir de multiples perspectives culturelles, ce qui est une compétence précieuse dans le monde globalisé d'aujourd'hui. En dehors des cours, j'ai également eu l'occasion de participer à des stages et à des événements de réseautage qui ont renforcé ma compréhension pratique du commerce international. Ces expériences m'ont aidé à développer des compétences essentielles en gestion, en négociation et en communication, qui seront inestimables dans ma future carrière. En résumé, mon expérience en Management et Commerce International à l'université d'Hobart a été une période de croissance personnelle et professionnelle. J'ai acquis une solide base académique, des compétences interculturelles et une perspective mondiale qui m'ont préparé pour un avenir prometteur dans le domaine de la finance et du commerce international. Je recommande vivement cette expérience à tous ceux qui cherchent à élargir leurs horizons et à se lancer dans une carrière passionnante dans le monde du commerce mondial.

Thomas, 25 ans

Prépa ECE

Après mon BAC ES, je me suis orienté vers une « petite » classe préparatoire en province. J’avais beaucoup d’apriori sur la quantité de travail et d’exigence. Il est vrai que j’ai beaucoup travaillé mais avec beaucoup d’entraide dans la classe et avec mes professeurs ! N’ayez pas peur de vous lancer dans cette aventure, vous allez apprendre à bien vous organiser en travaillant et bien plus. N’hésitez pas à me contacter si vous avez besoin de conseils et simplement si vous avez des questions !

Lou, 24 ans

Ressources Humaines

Titre : Mon Aventure au cœur du Master en Relations Sociales et Ressources Humaines chez MBWay* Mon immersion dans le Master en Relations Sociales et Ressources Humaines chez MBWay fut une expérience transformatrice, un pont entre le monde académique et professionnel. Au cœur de ce voyage, l'alternance était la clé. Trois jours de cours tous les dix jours, et pendant huit semaines consécutives, plongé dans l'école, absorbant autant de savoir-faire que possible. Puis, l'entreprise m'ouvrait ses portes, où je pouvais appliquer immédiatement les connaissances acquises. Ce rythme, aussi bienfaisant qu'intensif, m'a poussé à jongler entre les exigences académiques et les défis professionnels. Chaque retour à l'école était une bouffée d'inspiration, mais aussi un rappel des responsabilités en entreprise. Les points positifs ? Une approche pédagogique interactive, des études de cas concrets, et une équipe pédagogique dédiée à notre réussite. Les aspects plus délicats ? La complexité des sujets et la charge de travail intense, nécessitant une discipline et une gestion du temps sans faille. En rétrospective, ce fut une période d'efforts intenses mais gratifiants. Ce parcours chez MBWay m'a préparé non seulement pour le monde professionnel, mais m'a aussi inculqué des valeurs essentielles : la résilience, la gestion du stress, et surtout, l'art de jongler entre deux mondes pour trouver son équilibre.

Mélina, 18 ans

BTS Assistant de gestion PMI PME à référentiel européen (AG)

Je fais en ce moment un Bts gpme à l'IFAG je suis une personne qui aime découvrir plein de choses différentes je suis très curieuse et j'ai une facilité d'adaptation à différents profils je peux donc vous aider sur enormemen de chose et si vous souhaiter faire un bts tels qu'ils ou bien si vous êtes en recherche d'alternance n'hésitez pas à me contacter avec mon numero de téléphone et prendre rdv je suis à votre dispo les PIOUPIOUSS !!

Jeanne, 23 ans

Ostéopathie, Chiropractie

Aaaaaaah les écoles d’ostéopathie animale… Il en existe un paquet! Comment s’y retrouver? L’ostéopathie animale est régit par le code rural et de pêche maritime (CRPM) et est une pratique définit comme : une médecine manuelle, qui vise à comprendre les causes des symptômes du patient à partir d'une analyse des différents systèmes du corps humain dans leur ensemble. Il s'agit d'une approche dite « systémique » qui permet d’agir sur les troubles fonctionnels et sur les symptômes. Pour être ostéopathe animalier il faut passer par une école en 5 ans puis passer l’examen du CNOV (conseil national de l’ordre des vétérinaire) qui permet d’exercer légalement en France. Cela consiste en un examen théorique (QCM) et si vous le réussissez vous passez l’examen pratique où vous faites une séance d’ostéopathie devant un jury composé de vétérinaires et d’ostéopathes, vous pouvez tomber sur chien, cheval ou vache (animal tiré au sort). Si vous êtes déjà ostéopathe humain il existe des passerelles et des formations en 2 ans et vous devez ensuite passer l’examen du CNOV également. Les écoles doivent vous préparez au mieux à l’examen du CNOV qui est décisif pour exercer plus tard. Pour cela vous devez aborder au moins en théorie 5 animaux qui sont les chevaux, les chiens et chats, les chevaux et les lapins. N’hésitez pas à prendre rendez vous pour que je vous parle de mon école pour vous guidez dans vos choix. Je me ferais un plaisir de vous parler de mon quotidien à l’école, organisation des cours, cours pratique etc… Belle journée!!

Irina, 21 ans

Psychomotricité

Lors de la séance de TP de rentrée, les formatrices nous ont dit "on n'arrive pas en psychomotricité par hasard..." Après une année passée au sein de ces études si particulières, je comprends maintenant mieux ce qu'elles voulaient dire... Je vous propose ainsi de vous partager mon parcours, ma découverte de la psychomotricité et l'organisation du cursus en général (avec les spécificités de l'IFP d'Orléans). Bonne lecture ! 1. Une découverte plutôt tardive de la psychomotricité (mais comme on dit souvent mieux vaut tard que jamais !) Depuis toute petite, je rêve de faire un métier pour apaiser les souffrances des gens, pour trouver des solutions à leurs problèmes... C'est ainsi que de mes 8 ans jusqu'à mes 18 ans j'étais décidée à devenir psychologue. Mais ces dix années ont filé, et du jour au lendemain je me retrouve en terminale à devoir valider mon choix final. C'est à ce moment précis que tout se trouve chambouler en moi, que tout y compris ce rêve devient incertain... C'est alors que je tombe par hasard sur le métier de psychomotricien en naviguant sur mon PC... Je comprends que c'est un professionnel de santé du paramédical, axé sur la place du corps et son image dans les différents troubles. Je comprends qu'il essaye de ré instaurer les liens corps-esprits, pour rétablir une harmonie au sein du patient... J'ai alors un flash de moi en train d'exercer ce métier (alors que je n'en savais pas encore grand chose oui je sais !). Je commence des recherches plus poussées, et l'IFP d'Orléans devient mon nouvel objectif. A l'époque, on pouvait faire une fac de sciences (science de la vie/chimie) pour avoir plus de chance d'entrer à l'IFP. Ayant besoin de plus de temps pour réfléchir à ce projet, et ayant toujours envie de découvrir l'ambiance de l'Université, je décide donc d'entrer en L1 sciences de la vie/ chimie à Orléans. Après une année intense marquée par le confinement, je valide la double L1 et je suis acceptée à l'IFP d'Orléans : c'est le début d'une nouvelle aventure pour moi ! 2. Pourquoi le métier de psychomotricien me correspond ? Tout simplement car il me permet de pouvoir être dans le soin, ce fameux "care", en abordant les patients de façon globale. J'aime le fait qu'on prenne en compte aussi bien l'importance du support organique de l'Homme, son corps (pôle neuromusculaire), que son psychisme/esprit (pôle cognitif), et enfin la part émotive, sensible (pole psycho-affectif). Ainsi c'est un métier riche d'outils, de techniques, où notre créativité, notre imagination nous accompagne dans chaque prise en charge. Ainsi, les psychomot' aiment beaucoup jouer ! Ce que je trouve également intéressant en psychomotricité, c'est le côté ludique qu'on met en place, quelque soit l'âge du patient d'ailleurs. On essaie de valoriser leurs ressources et leurs capacités au maximum. Cela se retrouve dans la relation de confiance et de co-construction qu'on établit avec le patient : on n'oublie jamais que ce dernier a toujours quelque chose à apporter dans le processus thérapeutique. 3. L'organisation des études en psychomotricité Tout comme le métier, le cursus est riche (on ne s'ennuie jamais !) et se compose de trois grands temps d'enseignement : - les cours théoriques (qu'ils traitent de psychomotricité en tant que tel, de psychologie, psychiatrie, etc...) - les TP (travaux pratiques) qui permettent d'expérimenter corporellement certains concepts théoriques, de se former à certaines techniques (relaxation, toucher thérapeutique, bilans psychomoteurs...), d'appréhender des cas cliniques, et enfin d'apprendre à mieux se connaitre ! - les stages. En 1ère année ils visent à observer le développement psychomoteur (normal) de 0 à 6 ans. Ils deviennent cliniques à partir de la deuxième année. On pratique alors sur différentes populations et dans différentes lieux en 2ème et 3ème année. Le cursus se passe donc en 3 ans, avec la validation d'un DE (ou diplôme d'état) à la fin. 4. Les plus de l'IFP d'Orléans On y est 25 par promo, ce qui permet de se former au mieux, de manière presque personnalisée finalement. On peut poser toutes les questions qu'on a en tête, à tout moment. On se connait tous et toutes, et l'entraide est très présent entre nous. Tout au long de l'année, on est accompagné de manière individuelle via des entretiens pédagogiques pour voir si on se sent toujours bien au sein de la formation, du métier, dans notre vie en général... Si on a des doutes, ou si on rencontre des difficultés les formatrices sont là pour nous écouter et nous aiguiller au mieux. Côté vie étudiante, le BDE (bureau des étudiants) est très organisé et assez actif ! Des évènements nous sont très régulièrement proposés... pour ceux qui aiment s'amuser et sortir en parallèle des études c'est l'idéal ! Ces particularités permettent de créer une vrai ambiance de travail, plutôt chaleureuse et détendue. 5. Mon ressenti sur ma 1ère année de DE Au final, je ne regrette pas d'avoir quitté la fac ! Ni la psycho ! Je sais maintenant qu'il m'aurait manqué quelque chose en psychologie : cette approche globale de la psychomotricité, le plaisir et l'utilité des médiations corporelles. Avant je n'aimais pas du tout le sport, je n'aimais pas bouger mon corps, je me laissée accaparer par les vicissitudes de mon esprit. Aujourd'hui, l'image que j'ai de mon corps et de moi a changé et c'est en partie grâce à mes études. En psychomotricité, on ne se forme par seulement à un métier, on apprend à se développer personnellement. Je suis également heureuse de toutes les expériences que j'ai vécu en seulement un an... Le souvenir de l'équithérapie par exemple résonne encore en moi... tout comme les TP d'expression corporelle pour ne citer que quelques exemples. Côté travail et résultats, j'avais peur de ne pas réussir à suivre, notamment en anatomie ou en neurophysiologie (n'ayant pas fait médecine avant). Mais finalement en s'y mettant, en fournissant un minimum d'efforts (inhérents au principe des études), et avec la patience des enseignements et des systèmes d'entraide (entre étudiants dans la promo + cours en plus pour revenir sur certaines notions) on y arrive (même en sortant du bac d'ailleurs) ! Vous l'aurez compris mes études me passionnent et m'aident à m'épanouir... J'espère que ce témoignage vous aura parlé, appris des choses, peut être même intrigué... Si vous vous posez encore des questions, n'hésitez pas à me contacter via la plateforme, je serais enchantée de prendre le temps de vous écouter ! ;)

Solenn, 23 ans

D'après mon expérience en école d'architecture, voici ce que j'en retiens : c'est une formation extrêmement complète qui fait intervenir tant des qualités plastiques et créatives que orales. On apprends beaucoup sur soi, à travailler en groupe, et à acquérir un esprit de synthèse par exemple. On ressens très vite quand on commence les études que bien s'exprimer à l'oral et pouvoir synthétiser tout son travail en trois lignes c'est primordial. Au niveau des matières, ce sont des études "touchent à tout", du moins de mon point de vue. On étudie l'histoire, l'histoire de l'art, l'urbanisme, la politique urbaine, l'économie des territoires, les mutations sociétales qui ont influencées les villes, les comportements humains qui entrent en jeu quand on parle d'habiter un espace... Tout cela nous ouvre l'esprit sur ce qui nous entoure et nous fait voir le monde d'une autre manière. C'est peut être une phrase bateau, je vous l'accorde, mais elle est terriblement juste quant il s'agit des enseignements qui nous sont donnés. L'architecte conçoit et construit l'environnement donc en tant que futurs architectes nous devons avoir en main un éventail de connaissances sur le monde dans lequel nous allons exercer. Alors oui, ce sont des études fastidieuses et très souvent démoralisantes mais on se rend compte de tellement de choses qu'on a envie de continuer !