Guides d'orientation : tout savoir sur une filière
groupe d'advisors

Témoignages Classes Préparatoires

Il existe 1001 façons de choisir sa filière, mais ce n'est pas toujours évident de s'y retrouver au milieu de toutes ces informations 🔎, et de savoir si on a fait le bon choix !

Les témoignages de nos Advisors sont là pour t'aider à y voir plus clair 💡.

Si tu veux en savoir plus sur leurs parcours, prends RDV avec eux 🤳 !

13 résultats correspondants :

Sara, 19 ans

Prépa Concours IEP - Sciences Po

Bonjour, Cette année, j'ai effectué un double cursus en faculté de droit et en classe préparatoire au concours sciencespo. Ce fut une année dure en émotion. Je suis une bosseuse et j'ai choisi cette voix, par ailleurs, je me suis souvent remise en question. En plus de la charge de travail conséquente, la charge mentale est démentielle. Il est nécessaire de se concentrer et de travailler de manière organisée. Néanmoins, il ne faut pas s'oublier. Ainsi, il est essentiel de se retrouver en famille ou encore entre amis. De plus, faire des activités qui nous correspondent permet de s'échapper pendant un instant. J'ai tout donné afin de ne rien regretter.

Thomas, 25 ans

Prépa ECE

Après mon BAC ES, je me suis orienté vers une « petite » classe préparatoire en province. J’avais beaucoup d’apriori sur la quantité de travail et d’exigence. Il est vrai que j’ai beaucoup travaillé mais avec beaucoup d’entraide dans la classe et avec mes professeurs ! N’ayez pas peur de vous lancer dans cette aventure, vous allez apprendre à bien vous organiser en travaillant et bien plus. N’hésitez pas à me contacter si vous avez besoin de conseils et simplement si vous avez des questions !

Anaïs, 22 ans

Prépa PACES - Concours médecine

Pendant 2 ans j'étais dans une Prepa médecine. Un choix que je regrette. La Prepa n'est pas là pour te soutenir ou quoi que se soit qu'ils disent lors de ton arrivé, mais elle est là pour l'argent. Tant que l'élève à de quoi payer, ils l'acceptent. Leur réputation n'est pas si difficile à tenir car la plupart des étudiants, qui veulent faire médecine, veulent réussir et ont la détermination pour un objectif accomplie. Pour ma part après 2 ans à faire des années de PASS je me suis rendu compte que la prépa n'était pas si dure que cela. Elle est très pragmatique et ne cesse de te mettre la pression. L'autre option est le tutorat. J'ai beaucoup aimé les cours au tutorat, tout est très claire et très constructive. C'est des élève qui ont réussit merveilleusement la PASS qui te font cours. De ce fait, nous comprenons beaucoup mieux, que quand c'est un prof dans la prépas qui t'explique. En médecine nous n'avons pas le temps de nous attarder sur des détails. Il faut vite comprendre dans la manière la plus simple possible. C'est pour cela que j'ai préféré le tutorat et que je regrette d'avoir perdu 9 000 euros dans des prépas pendant 2 ans.

De Montgolfier, 23 ans

Prépa TB

Toi aussi tu as choisi STL, parce que tu n'avais pas vraiment le niveau pour aller en S et pourtant la biologie c'était ton truc. Fin bref, peu importe, quoiqu'il soit tu as fait le bon choix car derrière la STL aucune porte ne t'es fermée. Si t'es plutôt bon élève en STL et que tu aimes travailler, la prépa c'est fait pour toi. Quoique diront tes profs, si tu sens que passer ta vie en tant que technicien.ne de laboratoire c'est pas ton truc, alors... écoute toi ! Et fais toi confiance ! La prépa c'est pas non plus insurmontable, malgré ce qu'on en dit. Il faut juste un peu s'accrocher et rester motivé jusqu'au bout. Mais une classe prépa pour faire quoi ? Rentrer dans les mêmes grandes écoles que les BCPST ! OUI OUI ! École vétérinaire, École d'agronomie, Polytech... tu peux les avoir en réussissant le concours A-TB (Si tu as besoin de renseignements sur ce concours tu peux aller sur la plateforme du SCAV ou directement me contacter). En prépa tu vas vraiment apprendre pleeeeins de truc et tu auras atteint un tel niveau qu'après ces deux années tout te paraîtra plus simple. Et tu pourras étudier dans pleins de domaines différents (les animaux, l'agriculture, les plantes, l'environnement, la biologie moléculaire, la microbiologie...) Si toutefois tu rates le concours la première fois. PAS D'INQUIÉTUDE ! Tu as le droit de le repasser une deuxième fois. Soit en redoublant la prépa (c'est ce qui s'appelle "cuber" dans le milieu), soit en choisissant de faire une autre année d'étude pour tenter un autre concours de la banque agro-véto qui t'ouvrira les mêmes écoles. Moi j'ai raté mon concours en prépa et j'ai fait un an de DUT (maintenant appelé BUT) pour retenter le concours C2 et j'ai réussi à rentrer à l'ENSAT l'école d'ingénieur agronome à Toulouse.

De Montgolfier, 23 ans

Prépa TB

Toi aussi tu as choisi STL, parce que tu n'avais pas vraiment le niveau pour aller en S et pourtant la biologie c'était ton truc. Fin bref, peu importe, quoiqu'il soit tu as fait le bon choix car derrière la STL aucune porte ne t'es fermée. Si t'es plutôt bon élève en STL et que tu aimes travailler, la prépa c'est fait pour toi. Quoique diront tes profs, si tu sens que passer ta vie en tant que technicien.ne de laboratoire c'est pas ton truc, alors... écoute toi ! Et fais toi confiance ! La prépa c'est pas non plus insurmontable, malgré ce qu'on en dit. Il faut juste un peu s'accrocher et rester motivé jusqu'au bout. Mais une classe prépa pour faire quoi ? Rentrer dans les mêmes grandes écoles que les BCPST ! OUI OUI ! École vétérinaire, École d'agronomie, Polytech... tu peux les avoir en réussissant le concours A-TB (Si tu as besoin de renseignements sur ce concours tu peux aller sur la plateforme du SCAV ou directement me contacter). En prépa tu vas vraiment apprendre pleeeeins de truc et tu auras atteint un tel niveau qu'après ces deux années tout te paraîtra plus simple. Et tu pourras étudier dans pleins de domaines différents (les animaux, l'agriculture, les plantes, l'environnement, la biologie moléculaire, la microbiologie...) Si toutefois tu rates le concours la première fois. PAS D'INQUIÉTUDE ! Tu as le droit de le repasser une deuxième fois. Soit en redoublant la prépa (c'est ce qui s'appelle "cuber" dans le milieu), soit en choisissant de faire une autre année d'étude pour tenter un autre concours de la banque agro-véto qui t'ouvrira les mêmes écoles. Moi j'ai raté mon concours en prépa et j'ai fait un an de DUT (maintenant appelé BUT) pour retenter le concours C2 et j'ai réussi à rentrer à l'ENSAT l'école d'ingénieur agronome à Toulouse.

Aurélie, 22 ans

Prépa PACES - Concours médecine

Le concours PACES n'est pas une situation insurmontable mais elle demande beaucoup beaucoup d'investissement surtout quand vous n'avez pas de facilitées dans la mémorisation et/ou l'apprentissage. C'est un concours qui demande beaucoup d'organisation, de rigueur et d'autonomie dans ses révisions. Si vous n'arrivez pas à vous "brider", en quelque sorte, ou en tout cas à vous donner une ligne directive et à la tenir, cela commence mal pour vous. Heureusement, il existe des prépas en dehors de l'Université qui proposent leur aide pour "superviser" les étudiants dans leurs révisions et leur apporter du soutien. A la faculté de Médecine et Maieutique de l'Université Catholique de Lille, il n'est pas nécessaire de payer une prépa pendant le concours. Car l'école est payante mais aussi parce que la fac met en place un réseau étudiant de 2e et 3e année en médecine, pharma et autre pour accompagner les étudiants en PACES et leur proposer des cours de tutorat dans toutes les matières (appelées "Unités d'Enseignements) enseignées pendant l'année. De même, dès le début vous vous retrouvez avec un parrain ou une marraine qui sera là tout le long de votre année pour vous soutenir et vous aider dans les révisions (ils donnent leurs anciens cours ;)). Enfin, cette faculté propose un environnement de travail vraiment agréable pour ce type de concours comparé à d'autres universités où l'esprit de compétition se fait moins ressentir et où l'entraide entre étudiants est davantage présent.

Anaïs, 25 ans

CPGE Classe préparatoire ATS Biologie

Mon année en classe préparatoire ATS. Que dire dessus ? Plein de chose ! Déjà, je suis arrivée en prépa ATS après trois ans d'étude post-bac. Ceci semble anodin mais en réalité pendant ces deux années de DUT j'ai eu le temps de murir personnellement et de murir mon projet. De ce fait, il m'a été plus facile d’appréhender cette année de prépa vis à vis de la première prépa que j'avais réalisé en post-bac. Toutefois, ça reste une année de prépa ! Il y a du travail et ceux même avant d'intégrer la prépa. Je savais que mon gros point faible était le français. J'ai alors anticiper l'année sur cette matière en suivant l'actualité et en lisant l'été précédent ma rentrée en prépa. Durant l'année, j'ai réalisé les montagnes russes moralement. Il y a eu des périodes de l'année où c'était la motivation et mon rêve de devenir vétérinaire qui primé et d'autre période plus sombre. J'ai eu des moments de doute, des colles qui se sont pas forcément très bien passées, des notes qui ne sont pas plaisirs ... Toutefois, je pense avoir réussi à surmonter ces passage grâce à mon entourage qui m'a soutenue. Et surtout, je n'ai jamais complétement baissé les bras. Le secret de la prépa est de s'accrocher ! Lorsque les doutes s'installent je refaisais systématiquement un point sur mon projet pour me rappeler pourquoi j’étais en prépa. En plus, reprendre son projet c'est doublement bénéfique car cela permet de préparer au mieux l'épreuve d'entretien du concours de la voie C. Au final, si je dois donner un conseil pour l'année de prépa ATS Bio, une fois lancé dans l'année de prépa, il ne faut jamais oublier son objectif, son rêve !

Audrey, 24 ans

Prépa Concours Educateur spécialisé

Cette année j’ai intégré une classe préparatoire sanitaire et social pour me préparer aux concours de moniteur éducateur et d’éducatrice spécialisé. Avec tous les clichés et vision qu’on peut avec sur une année de prépa, je ne m’attendais pas du tout à ça. La prépa dans le milieu du travailleur social et très différent des prépas en commerce ou autres.Premièrement les 6 mois de formation passent à une vitesse folle. Alterner entre les stages (2 fois 4 semaines), les cours théoriques et les oraux qui prennent généralement 1 journée entière, qui nous apportent beaucoup de connaissances en méthodologie de l’écrit et oral et avec les sorties bénévoles sur les territoires qui nous fond acquérir des expériences bénévole. Mais surtout on apprend le vivre ensemble, la dynamique de groupe, cette dynamique qui te donne envie d’aller en centre de formation pour travailler et échanger avec les autres étudiants qui partagent le même centre d’intérêt que toi. On apprend de soi mais aussi des autres grâce à la richesse du groupe ( certaines sortes du bac et d’autres viennent tout droit d’une licence). Les formateurs et intervenants ( éducateurs, chef de service....) qui travaillent toute l’année avec nous sont à l’écoute et toujours disponible, ce sont un peu nos « agents » comme on dit maintenant. Notre petit nombre de 15 étudiants permet à tous d’avoir un accompagnement individuel même en classe entière. Nous sommes quelquefois mélangé avec les santés ( aide-soignant, auxiliaire de puériculture) ce qui nous permet d’avoir un autre point de vu et plus de connaissances dans ce secteur. Personnellement pour avoir tenté les concours l’année dernière, je vois une nette amélioration sur mon aisance à l’oral, comme à l’écrit, ainsi que dans le contenu de mon vocabulaire professionnel que j’utilise. Les stages mon permis de commencer à me construire une identité professionnelle et de me présenter aux oraux avec déjà une expérience du terrain. Si tu as la moindre question concernant le déroulement d’une classe préparatoire n’hésite pas à me contacter.

Aurélie, 22 ans

Psychologie

Ici nous allons évoquer la Licence en Psychologie et je vais essayer de déconstruire l'idée qu'on se fait en France des études de psycho. Effectivement, il est plutôt simple de rentrer dans une formation de Psychologie (Licence) même si je n'ai pas suivi ce processus pour rentrer dans un département de psycho. Les études de psycho sont connues pour être des études "faciles". Déjà la facilité pour certains n'aura pas la même la signification pour d'autres et est à recontextualiser en fonction des autres formations. Oui les classes préparatoires sont plus "difficiles" que les formations en Licence mais les compétences à acquérir ne sont pas les mêmes, par rapport à la psycho en tout cas. Ça sera "facile" si vous avez des facilitées dans la vie, si vous arrivez à vous adaptez à toutes formations et si vous aimez ce que vous voyez. Cela est assez subjectif. Les études de psycho sont connues pour être des études où les étudiants travaillent peu. Oui et non encore une fois. Cela dépend du profil de la personne même si la L1 en psycho est assez accessible pour tout le monde. Le niveau (comme dans toutes formations) monte progressivement et la L3 va vous demander beaucoup d'investissement et de rigueur dans votre travail surtout avec la réalisation d'un mémoire (appelé TER ou autre). Effectivement, vous pouvez passer de niveau en niveau en validant de peu votre année mais cela va proposer problème par la suite dans le cadre des sélections pour les Masters en Psychologie. J'en parlerai dans un autre article. Enfin, j'insiste pour dire qu'il y a des débouchés dans cette filière. Quand je m'étais renseignée concernant cette formation et ses débouchés, on m'avait répondu qu'il y en avait peu voire pas du tout de débouchés alors que cela est faux. Il y a de l'emploi à la clé en tant que Psychologue officiel et après à vous de voir qu'elle approche et spécialité vous voudriez proposer à vous futurs patients. Enfin, La Psychologie ce n'est pas "analyser" les gens et savoir lire dans leur esprit. Les psychologues ne sont pas des êtres mystiques ;) Comme le font les médecins ou les kinés par exemple, les thérapeutes en psychologie propose une prise en charge et une manière d’appréhender le patient différente des autres professions de santé. Oui, on peut dire que c'est une sorte de "thérapeute de l'esprit" même si cette "appellation" est vraiment une partie infime de ce que peut proposer la psychologie. Certains praticiens peuvent proposer une approche psychologique davantage basée sur les neurosciences et d'autres davantage axées sur la psychanalyse ou sur la composante sociale.

Kiara, 21 ans

Sciences pour la santé

Il y a seulement 3 ans, tu étais perdu. Depuis toujours, tu t’étais fixé un objectif de vie. Être vétérinaire et parcourir les campagnes pour aller à la rencontre des éleveurs et soigner leurs animaux. Tout en sachant la difficulté des études, tu donnes le meilleur de toi-même en cours pour parvenir à intégrer une classe préparatoire en BCPST. En Terminale, lors du choix d’orientation, c’était très clair, tu veux être vétérinaire, mais à quel prix ? Tes professeurs sont partagés à l’idée de t’envoyer en classes préparatoires. Pendant le confinement, tu t’interroges sur ton avenir, tu doutes de tes capacités, tu cherches des métiers plus « accessibles ». Tu as alors l’idée de te réorienter dans un secteur similaire comme l’ostéopathie animale, assistant vétérinaire… Mais finalement, tu as l’impression que ça ne mène à rien parce que tu sais au fond de toi ce que tu veux. Un soir, tu craques. Tu prends ton ordinateur et tu commences à faire toutes les recherches possibles et inimaginables sur les études vétérinaires à l’étranger. C’est là que tu recommences à avoir de l’espoir. L’Europe t’offre tellement d’opportunité d’être vétérinaire. Et là, tu t’interroges « mais pourquoi je n’y ai pas pensé plus tôt ? », « pourquoi personne ne m’a dit que c’était possible ? », « pourquoi la France rend ces études tellement inaccessibles avec si peu de place. » Tu commences à en parler à ta famille. Allez étudier à l’étranger après le BAC, dans un pays inconnu, devenir complètement indépendante du jour au lendemain. C’est impressionnant mais aussi très excitant. Tu as peur que ce soit un rêve encore irréalisable, mais tu ne veux pas baisser les bras ! Tous les jours, tu remplis un tableau Excel pour le présenter à ta famille ; avec chaque école en Europe, leurs prix, le nombre d’études à faire, le prix de la vie, le moyen de s’y rendre (avion, voiture…). Tu te rends compte que tout ça est très utopique. C’est là que tu penses à la plateforme Study Advisor. Une case de ton tableau contient maintenant ton avis sur l’école selon le témoignage de différentes personnes. Une fois avoir réuni les informations, tu les compares entre elles. Tu as une préférence pour une école en Espagne, l’université CEU Cardinal Herrera qui propose un cursus en français les 2 premières années. Elle te semble parfaite ! le problème ? LE PRIX. Le prix te fait peur, tu ne veux pas imposer ça à tes parents… Tu hésites même à leur en parler. Tu décides de prendre contact avec encore plus de personnes pour avoir encore plus d’avis. Tu tombes sur une personne qui avait la même peur que toi. Elle te rassure et te dit que beaucoup de personnes ne peuvent pas s’offrir des études aussi chères et l’option du prêt étudiant est parfois inévitable. Tu te questionnes alors si tu veux être vétérinaire au prix d’être endetté de plus de 70 000 euros à la fin de tes études. Tous tes espoirs de pouvoir intégrer ces écoles s’effacent peu à peu. Avant d’abandonner, tu en parles à ta famille… Ils se rendent compte de l’importance pour toi de faire ce métier et te conforte à l’idée que si c’est ce que tu veux, il faut que tu le fasses. Tu commences à créer ton dossier pour postuler dans l’école de tes rêves, tu fais une lettre de motivation qui te ressemble et qui montre l’importance pour toi d’être vétérinaire. Et là, tu attends. Tu essayes de te préparer à toute possibilité, être déçu, contente, triste, euphorique… Mais en attendant, tu ne peux pas rester sans plan B. Nous sommes seulement en janvier, tu dois te concentrer sur la BAC S pour essayer de viser les classes préparatoires. Le moment tant attendu arrive, tu as la réponse de ton mail et tu lis « nous regrettons de vous informer que vous n’avez pas été présélectionné pour l'année académique 2020-2021 à l'Université CEU Cardenal Herrera. » Maintenant, tu ranges ta déception dans un tiroir et tu passes au plan B en continuant tes recherches dans une école véto à l’étranger. (à l’époque, je ne savais pas que je pouvais postuler pour le cursus anglais et espagnol !!). Un jour comme les autres, en terminale, au mois de Mars, tu reçois un appel ou il y a affiché un numéro commençant par +34 avec écrit « Valence ». Tu ne comprends pas et le temps que tu réfléchisses si tu dois sortir pour prendre l’appel ou pas, tu n’as pas pu répondre. Le même numéros rappel 5 minutes plus tard. Tu n’hésites pas et tu demandes de sortir pour décrocher. Tu parles avec une personne de l’administration qui s’excuse car il y a eu une erreur dans la réponse de ta présélection. Tu lui demandes de répéter parce que tu as du mal à y croire…. Tu rentres en classes en étant super perturbé et la prof te demande si tout va bien. Tu lui dis que tu vas être vétérinaire. Aujourd’hui je suis en troisième année vétérinaire et je n’en reviens toujours pas. Le temps passe si vite. Les études sont difficiles mais ce sont que des cours aussi passionnant les uns que les autres. C’est la première fois de ma vie que j’étudie avec envie. Je sais que je n’aurais jamais pu rêver mieux. Je remercie ma famille de m’avoir soutenu dans ce projet. N'abandonne pas tes rêves. AIE CONFIANCE EN TOI...