Guides d'orientation : tout savoir sur une filière
groupe d'advisors

Témoignages Université (Master)

Il existe 1001 façons de choisir sa filière, mais ce n'est pas toujours évident de s'y retrouver au milieu de toutes ces informations 🔎, et de savoir si on a fait le bon choix !

Les témoignages de nos Advisors sont là pour t'aider à y voir plus clair 💡.

Si tu veux en savoir plus sur leurs parcours, prends RDV avec eux 🤳 !

31 résultats correspondants :

Joy, 30 ans

Psychologie

J'ai effectué ma licence de Psychologie à l'université de Nice (UFR Lettres, Arts et Sciences Humaines) de 2012 à 2016. La licence est l'un des diplômes auxquels on peut prétendre après l'obtention du baccalauréat, elle se déroule sur 3 ans et chaque année comporte 2 semestres. Voici d'après moi les avantages et les inconvénients (à savoir que certains points ne sont pas communs à toutes les facultés !) : Avantages : - on peut accéder à la licence avec simplement l'obtention du bac (même sans mention) ; - on se spécialise dans un domaine (en l'occurence dans mon cas la psychologie) ; - les premières années on a peu d'heures de cours (de mémoire en L1 j'avais en moyenne 18 heures de cours par semaine), il faut donc apprendre à être très autonome et organisé car une grosse partie du travail se fait en dehors des heures de cours ; - c'est général ce qui veut dire que l'on peut explorer différentes facettes de la psychologie pour trouver ce qui nous plaît et nous spécialiser ensuite en master ; - depuis 2019, la sélection s'est généralisée à la fin de la licence (avant elle était à la fin de la première année de master), ce qui permet, en cas de refus, de se réorienter plus vite et plus facilement (en théorie), il est bien sûr possible de repostuler l'année suivante ; - la licence est l'occasion de rencontrer de nouvelles personnes, des étudiants venant d'horizons divers, c'est très enrichissant ! Inconvénients : - ça reste très général dans le domaine choisi (par exemple, en licence de psychologie à Nice, on avait des cours comme : histoire de la psychologie, statistiques, psychopathologie, psychologie cognitive, psychologie sociale, neurobiologie, psychanalyse, psychologie du travail, anthropologie, sociologie, philosophie, etc.) - il faut être organisé, méthodique et autonome ; - l'administration de la fac est une catastrophe ; - il y a énormément d'étudiants, en L1 nous étions 750 pour 20 places en moyenne par master, ce qui veut dire qu'une sélection s'opère au cours de chaque année, environ 1/3 des étudiants abandonnent au cours du premier semestre de la L1, ensuite la sélection se fait à partir de la moyenne. À Nice, il faut avoir au moins 10 sur la moyenne de l'année (semestre 1 + semestre 2 se compensent), mais dans d'autres facs il faut avoir la moyenne à chaque semestre ; - il n'y a pas de stage obligatoire pour valider la licence, néanmoins c'est fortement conseillé pour 1) pouvoir accéder au master et 2) gagner en compétences pratiques !! Sauf que les stages sont très difficiles à trouver pour plusieurs raisons : les étudiants en master sont prioritaires ; il y a plus d'étudiants en psychologie que de psychologues accueillant des stagiaires ; pas tous les psychologues ne prennent de stagiaires ; au-delà de 308h de stage cumulées le stage doit être rémunéré ; certaines facs exigent que les garants aient au moins 3 ans d'expérience pour reconnaître le stage ; - il y a des partiels à chaque semestre concentrés sur une même période (ce qui est assez intense en termes de rythme et de stress). Mes conseils : - se rapprocher de ses camarades pour travailler, partager les infos, se sentir soutenu ; - il y a généralement des groupes Facebook qui sont créés pour chaque promo, très utile pour avoir toutes les infos, demander les cours auxquels on n'a pas pu assister et développer des relations (ce sont peut-être des futurs collègues !) ; - lire beaucoup (des livres mais aussi des articles scientifiques) et s'intéresser à des sujets qui ne sont pas forcément développés en cours (pour cela la Bibliothèque Universitaire sera votre meilleure amie) ; - ne pas hésiter à entrer en contact avec des étudiants de la promo supérieure pour avoir des tips (notamment pour les sujets de partiels et pour les lieux de stages !) ; - ne pas hésiter à aller au BAPU (bureau d'aide psychologique universitaire) si l'on se sent trop en difficulté, trop sous pression, trop isolé, trop vulnérable. Vous y trouverez de l'aide et en plus c'est gratuit ! Toi qui me lis, profite bien de tes années d'études et n'hésite pas à naviguer sur ce site pour te faire une idée de ce que sont les études supérieures ! Amuse-toi bien :)

Nolwenn, 21 ans

Administration économique et sociale (AES)

Je suis actuellement en 1ère année de Licence AES à Paris 1 Panthéon Sorbonne. En sortant d'un bac ES, je peux vous assurer que c'est clairement différent des cours du lycée, tant en matière de fonctionnement et d'apprentissage qu'en matières de cours et notamment le droit, une matière complètement nouvelle. En termes de mathématiques, c'est très accessible, au premier semestre la matière s'intitule Statistiques et puis au second semestre on a IES (Informations économiques et sociales). En fin de compte, il n'y a pas beaucoup de maths pour ceux qui sont réticents face à cette dernière. A l'université, il faut savoir être régulier et ne pas se faire dépasser par les évènements, les semestres sont courts et les partiels arrivent rapidement. A l'université, il est question d'adaptation, les premiers cours en CM peuvent surprendre par le nombre d'étudiants en amphi mais aussi par les rares interactions entre les professeurs et les élèves pendant l'heure de cours à l'inverse des TD (travaux dirigés). Il est intéressant de former des binômes, des groupes de travail pour s'échanger les cours ou des fiches de cours. Il ne faut surtout pas rester seuls, il faut essayer de parler aux autres et puis c'est l'occasion de faire de belles rencontres. En effet, mon binôme au premier semestre n'est plus dans la même classe de TD mais on s'échange toujours des cours de TD ou de CM ce qui est très utile. Je vous recommande fortement de choisir une option que ce soit en sport ou en langues (mais plus difficile en anglais ou espagnol en termes de places). En effet, on peut gagner jusqu'à 0,5 sur la moyenne générale du semestre. J'ai eu 15 en badminton au premier semestre ce qui m'a permis d'obtenir 16 de moyenne générale de semestre au lieu de 15,75. Enfin, dernier point positif, les enseignants sont assez soucieux des élèves notamment en cette période de crise, dans ma licence tout du moins. Pour toutes questions, n'hésitez pas à me contacter via mon profil, KHAUV Nolwenn

Lilou, 24 ans

Langues, littératures & civilisations étrangères et régio...

Bonjour ! Je te propose aujourd'hui mon témoignage sur la licence LLCER que j'ai effectué à Valence. Étant intéressée par les langues, j'ai décidé de commencer une licence en anglais sans trop savoir en quoi cela consistait. La licence LLCER permet d'avoir de solides bases sur la langue choisie (anglais pour ma part) avec de la grammaire, de la phonétique, de la traduction mais également de la civilisation (anglaise comme américaine) ou du patrimoine. Il faut vraiment aimer la langue choisie car on pourrait se sentir démotiver par les exercices et les cours très théoriques qui ne laissent pas beaucoup de place à la pratique. Cependant, c'est une excellente opportunité pour rencontrer des professeurs anglophones (certains venaient de Birmingham en Angleterre, ou encore de Californie) et pour découvrir les différents accents et style de vie. En deuxième année de licence, certains professeurs proposent des cours qui nous permettent de découvrir différents métiers qu'on peut effectuer après notre licence, comme le métier du sous-titreur. Cette matière était très intéressante et pour le coup concrète car nous devions retranscrire ce qu'on entendait lors d'un extrait de série puis le traduire. Pour vraiment tirer tous les avantages de cette licence, il est très très recommandé (si ce n'est obligatoire) d'effectuer la troisième année en Erasmus dans un pays anglophone pour lier la théorie à la pratique et pour perfectionner son anglais. Pour récapituler, je ne regrette pas d'avoir fait ce choix de licence. Elle m'a permise d'atteindre un niveau d'anglais que je ne pensais pas arriver à avoir en sortant du lycée.

Perrine, 23 ans

Psychologie

Bonjour à tous ! Je vais vous parler aujourd'hui de la Licence de Psychologie ! La licence de Psychologie est une formation très intéressante mais complexe. Beaucoup d'étudiants s'inscrivent en Licence de Psychologie pour avoir un aperçu de la discipline sans forcément y accrocher. C'est pourquoi nous sommes des promotions très nombreuses qui diminuent au fil des années. A l'Université de Lille, Pont de Bois, le cursus de Psychologie est très tourné vers l'aspect scientifique. Notamment en Neuropsychologie et en Statistiques. En effet, l'UFR de Psychologie de Lille met un point d'ordre particulier concernant ces matières. Il est possible que les enseignements soient différents dans d'autres facs en France. Concernant le bagage de connaissances, il n'est pas obligatoire de venir d'une filière scientifique au lycée. Personnellement, j'ai fais un BAC ES donc je n'avais pas de cours de SVT ni Physique très poussés au lycée. Il faut tout de même savoir que les cours de Neuropsychologie sont assez costaud, mais avec du travail il est possible de réussir à valider la matière ! Les statistiques sont tous à fait abordables si vous suivez bien les cours et que vous vous exercez régulièrement. Aucun bagage antérieur n'est nécessaire puisque les cours reprennent de 0 dès la première année. Je vais maintenant vous différencier les 3 années de Licence : - La première année, nous avons une accumulation de connaissances sans forcément voir l'aspect concret du métier de Psychologue. - La deuxième année, les connaissances sont plus approfondies et nous avons des travaux qui nous permettent de voir comment se déroulent des expériences de Psychologie ou encore de réaliser quelques études de cas. - La troisième année est une année riche en travaux car il est possible de réaliser un stage. C'est un peu le moment que nous attendons le plus, la partie la plus concrète qui nous permet d'orienter notre choix de spécialisation qui arrive avec le Master. Nous avons aussi un TER à réaliser : c'est un travail de recherche que l'on doit mener avec l'aide d'enseignants-chercheurs. Ce travail nous permet de découvrir la facette de la recherche en Psychologie et pourquoi pas découvrir une vocation ! Tout mon témoignage repose donc sur la Licence à l'Université de Lille, campus Pont de Bois. Si vous tombez sur cet article et que vous avez des questions, n'hésitez pas à prendre rendez-vous ! Bonne journée à tous et bon courage :)

Maëlle, 23 ans

Sciences de l’éducation

Lorsque j'ai obtenu mon BAC, la plupart de mes demandes sur Parcoursup ont été acceptées (tous mes vœux étaient en Sciences de l'éducation mais dans des Universités différentes). Je n'ai pas hésité et j'ai directement validé mon vœux à l'Université de Toulouse Jean Jaurès puisque j'étais particulièrement attirée par la ville de Toulouse. Aujourd'hui, après avoir passé 8 mois au sein de cette Université je ne suis pas du tout déçue de mon choix ! J'aime beaucoup l'ambiance qu'il y a à l'Université, l'entraide qu'il y a entre les élèves, la beauté du campus etc.

Cécile, 25 ans

Psychologie

Bonjour à tous, Voici le premier témoignage dont je vous fais part. J'ai maintenant validé ma licence en psychologie à l'université d'Angers. Et je souhaite vous parler de ma première année. Je m'étais toujours destinée à un métier qui entre dans les sciences humaines. C'est pour cela que sans trop de surprise, je me suis orientée en psycho. J'avais fait deux choix à l'époque, la psycho ou le droit. Mais ce sont les journées portes ouvertes qui m'ont décidée. Les premiers cours m'ont vite fait peur, toutes ces théories, ces auteurs, ces disciplines... Le premier semestre est en plus passé très vite. Je me suis demandée si j'avais fait le bon choix. Car après tout, je suis une personne qui a besoin de concret. Devoir apprendre des théories, m'ennuyait, je dois l'admettre. En plus, mes résultats aux partiels de ce semestre n'ont pas été fameux... Je me suis alors laissée l'année pour être sûre. Et ce sont finalement les mises en pratique du deuxième semestre qui m'ont décidée. En effet, les dossiers sont passionnants (pas tous, il ne faudrait pas exagérer...) Mais les études que l'on commence à faire, les oraux etc nous impliquent toujours un peu plus dans ces théories. Petit à petit, on rentre dans le vif du sujet, on a vite nos disciplines préférées... Personnellement, c'est la neuropsychologie qui a toujours été ma chouchoute. La première année, c'est aussi le moment de se découvrir adulte et responsable, de se faire un petit réseau avec les intervenants, les professeurs, et nos camarades. Il y a énormément de travaux de groupe d'ailleurs, savoir travailler en équipe sans tout faire ou ne rien faire du tout, trouver un juste milieu, et bien ce n'est pas donné à tout le monde, et non ce n'est pas un mythe, cela peut créer des tensions... Enfin bref, le cursus me plaisait enfin, malgré tout, j'ai appréhendé les théories, je leur ai trouvé un intérêt. Ce que j'appréciais particulièrement c'était les oraux, les travaux de groupe où l'on se met à débattre sur un cas, d'une théorie, d'une expérience et c'est absolument passionnant, chacun y va de son avis, de ses hypothèses, on est d'accord, ou non, enfin vous voyez bien, un débat passionné. Le plus, c'est que cela nous permet de mieux comprendre certains aspects, car pour avoir raison, on vérifie, on cogite et on apprend. Cela aide beaucoup à mémoriser, je sais que c'est comme cela que j'apprends le mieux. Faire des expériences en psychologie sociale ou cognitive notamment m'a beaucoup passionnée, j'adorais pouvoir provoquer une donnée, observer des changements, des situations ! Le point qui m'a le plus déstabilisé durant cette première année, c'est celui des unités d'enseignement d'initiation. Il s'agit de 4 heures de cours par semaine qui n'ont rien à voir avoir l'enseignement choisi, par exemple j'avais pris "Initiation au droit" et un autre module dont je n'ai aucun souvenir, au premier semestre, ça se passait plutôt bien, c'était intéressant, mais j'avais l'impression de perdre totalement mon temps à essayer d'assimiler des choses qui ne m'aideront pas pour m'améliorer dans mon cursus. Mais le pire c'est au deuxième semestre, j'avais choisi un cours d'histoire de l'Espagne et un module de cinéma, je crois, mais je n'ai pas vraiment eu le choix, car quand viens les inscriptions à ses UE, c'est la course à celui qui aura le meilleur créneau, ou le meilleur enseignement. Sauf que je fais toujours parti de ceux pour qui la plateforme plantait et donc obligée de prendre ce qu'il reste. Et je crois que le pire fut d'apprendre au moment du premier cours d'histoire que j'étais la seule étudiante en psycho de toute la classe et que tous les autres étaient en licence d'histoire... J'ai tout de suite su que ma copie le jour du partiel serait ridicule face à la leur ! (Ce fut le cas...) Enfin voilà, je m'arrête ici en ce qui concerne ces UE et ma première année, mais vous pouvez toujours me poser des questions là-dessus, j'y répondrai sans problèmes.

Lucie, 27 ans

Sciences de l’éducation

La fillière parfaite pour ceux qui souhaitent devenir professeur des écoles ! Les cours de sociologies aident vraiment a comprendre les phénomènes sociaux liés à la scolarité, la psycho pour une meilleure compréhension du développement psychologique de l'enfant et des processus de mémorisation, l'histoire pour connaitre le chemin parcouru pour en arriver au système scolaire d'aujourd'hui depuis l'antiquité, philo, langue, grammaire... C'est une licence vraiment complète ! 3 options possibles : - parcours meef (pour être prof) - parcours formation pour adultes - parcours santé et handicap La plus grande concentration d'élève se trouve en meef (genre 4 étudiants sur 5 !) Les profs sont passionnés et ça se ressent dans leurs cours.

Julie, 23 ans

Administration publique

Après avoir obtenu un bac S en 2018 à Montpellier, validé un DUT d'Information-Communication à Lyon et commencé à la rentrée 2020 une licence pro en alternance de Chef de projet de communication à Paris (toujours plus au Nord !), j'ai changé d'avis et je me suis réorientée ^^ Aujourd'hui (juin 2021), je finis tout juste mon année de Licence 3 d'Administration publique que j'ai suivie à distance, avec les cours de l'IPAG de Poitiers déposés sur la plateforme du CNED (Centre national d'enseignement à distance). Étant donné que c'était l'année du covid, je n'avais rien à perdre à choisir une année de licence 3 à distance vu que toutes les universités d'habitude en présidentiel étaient elles aussi en distanciel. Seule différence, et pas des moindre : les cours étaient tous au format PDF et pas en conf vidéo. Pour résumer mon expérience avec cette L3 : J'y ai trouvé exactement ce que je recherchais, à savoir des cours théoriques avec des connaissances qui s'apparentent à de la culture générale. Effectivement, en L3 d'Administration publique, on a des cours super intéressants : du droit européen, du droit international/des relations internationales, de l'histoire de l'administration publique (comment on est passé du temps des Roi au Président/Ministres/Collectivités territoriales etc.), des finances publiques (comment est constitué le budget de l'État, de ses différents ministères, et celui des collectivités territoriales : communes, départements, régions), des politiques publiques nationales et européennes (de santé, d'éducation, de sécurité etc). Et des cours de type "compétences transversales" comme de la gestion des ressources humaines. Par ailleurs, je pense savoir maintenant vers où je vais. Je souhaiterais travailler dans le territorial : dans les postes de direction des services publics (urbanisme, éducation, commerces etc) en mairie. Pour ceux que ça intéresserait : Posez-vous la question de si vous pourriez travailler une année entière à distance sur des cours au format PDF avec une semaine de partiels à la fin de l'année regroupant toutes les matières. Si oui, cool ^^ Si non, cette licence 3 existe aussi dans les facs en présentiel. Pioupiou, n'hésitez-pas à me contacter pour que je vous aide à savoir si cette licence pourrait vous correspondre ! Ou tout simplement pour répondre à vos questions ;)

Salomé, 22 ans

Activités juridiques : contentieux et recouvrement

Étant bonne élève au lycée, on m'a toujours poussée à faire une prépa après le bac puis une école d'ingénieur. Tout le monde a des préjugés sur l'université mais je ne regrette pas du tout d'avoir choisi la licence !

Aurélie, 22 ans

Prépa PACES - Concours médecine

Le concours PACES n'est pas une situation insurmontable mais elle demande beaucoup beaucoup d'investissement surtout quand vous n'avez pas de facilitées dans la mémorisation et/ou l'apprentissage. C'est un concours qui demande beaucoup d'organisation, de rigueur et d'autonomie dans ses révisions. Si vous n'arrivez pas à vous "brider", en quelque sorte, ou en tout cas à vous donner une ligne directive et à la tenir, cela commence mal pour vous. Heureusement, il existe des prépas en dehors de l'Université qui proposent leur aide pour "superviser" les étudiants dans leurs révisions et leur apporter du soutien. A la faculté de Médecine et Maieutique de l'Université Catholique de Lille, il n'est pas nécessaire de payer une prépa pendant le concours. Car l'école est payante mais aussi parce que la fac met en place un réseau étudiant de 2e et 3e année en médecine, pharma et autre pour accompagner les étudiants en PACES et leur proposer des cours de tutorat dans toutes les matières (appelées "Unités d'Enseignements) enseignées pendant l'année. De même, dès le début vous vous retrouvez avec un parrain ou une marraine qui sera là tout le long de votre année pour vous soutenir et vous aider dans les révisions (ils donnent leurs anciens cours ;)). Enfin, cette faculté propose un environnement de travail vraiment agréable pour ce type de concours comparé à d'autres universités où l'esprit de compétition se fait moins ressentir et où l'entraide entre étudiants est davantage présent.