Guides d'orientation : tout savoir sur une filière
groupe d'advisors

Témoignages Université (Licence)

Il existe 1001 façons de choisir sa filière, mais ce n'est pas toujours évident de s'y retrouver au milieu de toutes ces informations 🔎, et de savoir si on a fait le bon choix !

Les témoignages de nos Advisors sont là pour t'aider à y voir plus clair 💡.

Si tu veux en savoir plus sur leurs parcours, prends RDV avec eux 🤳 !

44 résultats correspondants :

Laure, 24 ans

Droit

Je suis arrivé à la fac il y a un petit moment, on avait des amphis c'est pour dire. Plus sérieusement je suis arrivé à la fac avant le COVID et j'ai eu le droit au avant/après. J'ai eu le moment où les profs discute avec nous aux pauses, même pour les cours magistraux, j'ai eu droit de poser des questions en priver au prof, sans avoir à m'exprimer devant tout le monde. Puis il y a eu la pandémie, les profs étaient dépassés, on ne savait pas comment s'organiser alors que la fac devait fermer. Faire des examens oui mais comment ? Continuer les cours, oui mais comment ? Et pour les rattrapages ? Trop de questions pour si peu de réponses. Il ne faut pas paniquer, aujourd'hui on est "prêt", enfin autant qu'on puisse l'être, on a des cours en distance certes mais on a des cours. La situation va s’améliorer c’est une certitude, pourtant le système d’enseignement restera marqué. Il faut voir cette situation comme une occasion, toi qui est au lycée et qui a passée la fin de l’année en distance, tu sais être autonome, tu as dû apprendre a t’organiser et ce sont des qualités non-négligeable en étude supérieur.

Mélina, 23 ans

Lettres

Cher-e piou-piou. Je reviens vers toi à l’aube de ma dernière année de licence de philosophie. Maintenant qu’il me reste que quelques mois de troisième années il me semblait intéressant d’en faire un bilan avec toi. Qu’est-ce que ça m’a apporté ? Des connaissances philosophies bien entendu, mais une culture générale plus vaste allant des sciences à l’art. J’ai appris à travailler, à m’organiser, à être curieuse, à lire, à prendre confiance en moi. Mes projets d’avenir ? En commençant ma première année je disais ne pas vouloir enseigner, être là juste par plaisir. Alors certes je suis encore là pour le plaisir d’apprendre mais j’ai aussi développé le goût du partage des connaissances. J’aime parler de philo, et finalement être payée pour le faire c’est le meilleur compromis. Les concours me font encore peur je le reconnais, ça sera pas des années faciles. Mais j’ai un projet de recherche, j’ai un sujet, un directeur de mémoire. Je sais enfin où je vais. Qu’en retenir ? C’est pas grave d’être perdu en première année, t’y joues pas ta vie ! Tu peux te réorienter, ou bien te laisser le temps de découvrir ce que tu veux faire comme métier. C’est pas grave si tu sais pas, on peut arriver sans projet précis. Laisses-toi vivre, apprends des choses, fais des expériences. Je te garantie que sans te mettre la pression tu trouveras plus facilement ta vocation.

Coralie, 24 ans

Administration, gestion et médiation culturelle

2 années de master en direction de projets ou établissements à l'institut Denis Diderot à Dijon. Une première année intense avec beaucoup de cours et beaucoup de notions : droit, comptabilité, budget, communication, marketing... Ce master permet d'acquérir l'ensemble des compétences pour travailler dans la culture à tous les niveaux (administration, relations publiques...). Les rencontres avec les professionnels nous aide à connaître le monde de la culture ainsi que de commencer à établir un réseau. Le stage en master 1 dure entre 4 et 6 mois, il permet d'affiner nos ambitions. La deuxième année de master est en alternance. Le rythme est de 2 semaines de cours, 2 semaines d'entreprises.

Perrine, 18 ans

Psychologie

Étant dans la seule école de psychologie reconnue par l'État c'est totalement différent de la fac. Si tu veux tout savoir sur mon école et connaître les différences école/fac n'hésites pas à me contacter. Je pourrai te donner des astuces pour le concours d'entrée, le rythme scolaire, les cours donnés, les partiels...

Océane, 25 ans

Gestion des ressources humaines des pme pmi

J'ai effectué ma Licence Professionnelle en Gestion des Ressources Humaines à l'Université de Saint Quentin en Yvelines sur le campus de Montigny le Bretonneux. J'ai beaucoup aimé cette formation qui était en partenariat avec l'ESSYM. De ce fait, nous avions des professeurs d'universités ainsi que des intervenants professionnels qui nous ont également beaucoup appris en nous partageant leurs expériences professionnelles. Durant ce diplôme, nous avons étudiés les matières suivantes : - Evolution des RH - Gestion des personnels et des compétences à l'international - Management organisationnel - Droit du travail individuel - Les outils de recrutement et d'intégration - Relation avec les administrations et organismes sociaux - Langue et communication interculturelles - Management d'équipe et individuel - Anglais avec passage du TOEIC Ce diplôme a été très formateur pour moi car nous avons mis en pratique les connaissances théoriques apprises durant les cours ce qui permet de mieux retenir. De plus, la professeur d'anglais nous faisait une préparation au TOEIC, que nous avons passé à la fin de l'année scolaire ce qui est un avantage sur le CV.

Mathilde, 22 ans

Architecture, urbanisme, paysage

J'ai obtenu un bac S option Sciences de l'Ingénieur en 2019. Un peu plus tôt dans l'année il a fallu mettre des vœux sur Parcoursup. Le problème ? Je n'avais aucune idée de ce que je voulais faire pour le reste de ma vie ! Et c'est bien normal ! Avec une retraite à 64 ans, qui peut choisir à 18 ans ce qu'il va faire jusque là ? Mais l'échéance arrivait et il fallait faire un choix ! Comme on l'entend souvent en entretiens "j'aime les sciences, j'aime le dessin, alors pourquoi pas archi ?". J'avais quelques connaissances en ENSA, je savais à quoi m'attendre alors allons y ! Quelques mois plus tard je commence ma première année en architecture à Versailles. Je suis complètement à la ramasse, comme dans un monde parallèle. Tous les étudiants ont un architecte préféré, un avis sur tout, parlent de choses que je ne comprends pas. De ma vision de campagnarde arrivée là par chance et hasard, ce que je savais citer à ce stade c’était le vieil Orléans, sa cathédrale et les châteaux de la Loire, je n’ai même pas réussi à retenir les architectes du FRAC Centre que j’avais pourtant cité en long en large et en travers lors de mes entretiens. Le souvenir le plus fort que je garderai de ma licence est mon tout premier workshop. Dès les premières semaines nous avons été mis dans le bain : par 6 nous avons dû nous lancer dans la construction d’une maison en carton à l’échelle une. C’est là qu’on a commencé à apprendre. Le premier travail de groupe, les premiers croquis, les premières idées, interrogations et maquettes, les premiers questionnements structurels, les premières charrettes, les premières défaites, les premières victoires. Mais par-dessus tout, alors que nos professeurs étaient persuadés que le toit de notre structure allait s’effondrer, ce fut la satisfaction de voir notre œuvre achevée qui m’a fait réaliser que j’étais bel et bien lancée dans le cursus et qui m’a fait entrevoir que j’avais peut être finalement bien ma place ici. Le retard que j'avais l'impression d'avoir n'était finalement pas si grand. de toutes façons nos connaissances évaluées étaient basées sur les cours magistraux que nous avions tous et pour les cours de projets nous partions tous du même point. En parlant du cours de projet : il a été très déstabilisant. Au premier semestre nous étions frustrés de ne pas réellement faire projet. On a fait une coupe et un peu de programmation mais rien de ce que nous attendions réellement de cet enseignement. Le deuxième semestre a été déstabilisant d'une autre manière, nous avons du concevoir sans connaitre les codes. Nous n'avions aucune notion technique donc très peu de contraintes et nous avons du nous les imposer nous mêmes pour concevoir probable sans vraiment comprendre les limites de réalisme que nous devions avoir. Ce sentiment est resté au semestre 3 pour petit à petit s'effacer. En troisième année, la difficulté était tout autre. Mes camarades et moi nous sommes vite retrouvés face à une charge de travail dépassant tout ce que nous avions connu. La quantité et la qualité des documents requis avait drastiquement augmenté, je me suis à deux reprises retrouvée à présenter 3 projets complets avec documents finis dans la même semaine. L’exigence des maquettes avait aussi augmenté, mais ayant passé deux semestres loin de l’école, ses ateliers et son fablab, il ne nous avait été demandé aucune maquette depuis plus d’un an (à cause des confinements successifs). Mais ce n’était pas un argument, les difficultés m’ont permis de me débrouiller par moi-même et de me dépasser. Cette troisième année a été un réel sacrifice. Je me suis consacrée corps et âme dans le projet, je n’avais plus de temps pour faire autre chose, je ne voyais même plus mes amis qui travaillaient pourtant dans la même école que moi, je me contentais d’échanges brefs avec ceux assis à la même table, j’y ai laissé beaucoup de cartouches de sommeil ; encore aujourd’hui je récupère certaines heures sacrifiées lors des derniers rendus du premier semestre. Il a été moralement et psychologiquement dur : lorsqu’on se consacre autant à son travail, tout devient personnel et la critique est plus dure à digérer. Lorsque j'ai écris ces mots dans mon rapport de fin de licence, je sentais un note d'aigreur en moi. J'avais sacrifié un peu de ma vie pour des cours... Je me suis souvent dit que "les études ce n'est pas ta vie entière, pense un peu à toi" et je ne l'avait pas fait une fois. Cependant, avec le recul, ce sacrifice m'a au moins donné la tranquillité d'esprit de me dire que j'avais donné tout ce que j'avais à donner et que le projet n'aurait pas pu être mieux. Mais malgré tout, ce que je trouve dommage c’est que pour cette matière j’ai dû mettre de côté certains enseignements annexe par manque de temps ; j’assistais aux cours mais mon cerveau ne pensait que projet ou se mettais en off pour récupérer un peu de temps de repos. Cette année nous avions un professeur de droit passionnant et il m'est arrivé plusieurs fois de somnoler pendant ses cours à cause de la fatigue accumulée alors que ce que j'avais en face de moi intéressait vraiment. Dans notre cursus nous avons une grande pluralité d’enseignements autre que le projet et qui se rapproche plus ou moins de notre potentiel futur métier. En premier il y a la construction. Venant d’un bac SI, j’avais déjà quelques wagonnets d’avances qui m’ont permis de ne pas écouter la première année et de m’en sortir assez correctement. La deuxième et troisième année les choses se sont corsées, plus de calculs, plus de notions, on entrait dans le côté architectural de la matière. Les quatre heures consécutives hebdomadaires de cette matière ne m’ont guère tenue en éveil bien qu’elles semblaient intéressantes. Mais la fatigue du projet n’aidant pas j’ai eu du mal à m’y accrocher et encore plus à m’y mettre par la suite. Sont venues aussi les matières manuelles. En premier lieu nous avons eu des cours de représentations. J’ai beaucoup aimé ces cours. J'en garde un souvenir très agréable. Je mets dans le même lot les modules d’art plastique. 3 jours, deux fois par semestre pendant 2 ans. A l’époque je râlais beaucoup car je n’en voyais pas le sens, mais aujourd’hui j’en tire la joie d’avoir manipulé, expérimenté, et de travaillé sans me prendre la tête. Et sans eux cette année, j’ai pu me rendre compte qu’ils offraient une pause profitable au milieu du semestre de projet. Ces matières ont comblé mon amour du travail manuel, tout comme mon stage de première année. J’ai effectué ce stage dans une menuiserie-charpenterie du Loiret et j’ai passé deux formidables semaines à vagabonder à faire des planchers, des terrasses... J’ai pris plaisir à avoir mes yeux sur autre chose qu’un écran et avoir des mouvements plus amples que ceux du dessin et du travail sur ordinateur. Durant ces 3 ans j’ai aussi découvert des matières plus littéraires. L’histoire de l’architecture qui m’a immédiatement passionnée mais la longueur des cours ont eu raison de ma concentration. J’ai adoré les cours de première année sur les racines de l’architecture, et si j’ai eu un peu plus de mal avec l’architecture moderne explorée en L2 c’est avec plaisir que je l’ai retrouvée mêlée au patrimoine lors de ma troisième année. J’ai trouvé ces cours très intéressants et j’ai tout particulièrement apprécié l’enseignement d'une de mes professeures qui nous a appris à voir l’architecture autrement et y développer un réel esprit critique par le biais de son discours mais également des débats qu’elle organisait. Nous avons également eu des cours de droit, et si ils m’ont peu intéressés en L2, les cours de L3 était nettement différents. J’ai grandement apprécié aussi d’avoir eu l’occasion d’élargir le domaine de l’architecture à travers de sujets plus inattendus tels que la philosophie ou l’anthropologie ainsi que le cinéma. Je suis actuellement en Master. Je regrette presque que ces trois années soient passées si vite. La licence, même si elle est éprouvante, est la période de l'architecture libre, créative, émotionnelle... On s'amuse, on expérimente. Le master est là pour appliquer toute l'expérience accumulée pendant ses 3 ans, il est plus sérieux, plus appliqué. Ce contraste m'aide beaucoup sur ma vision de l'architecture que je veux pratiquer plus tard. J'ai envie de retrouver cette pratique "fun". Je pense que c'est quelque chose que je pourrais potentiellement trouver dans la scénographie ou le maquettisme... Affaire à suivre...

Léa, 24 ans

Droit international

J'ai eu la chance de suivre un Master 2 spécialisé droit international des affaires à l'Université Paris V, et je dois dire que cela a été l'une des expériences les plus enrichissantes de ma vie. Le programme était intense et exigeant, mais également très stimulant et intéressant. Nous avons étudié un large éventail de sujets liés au droit international des affaires, allant de la fiscalité internationale à la résolution des conflits commerciaux internationaux. Les cours étaient dispensés par des enseignants qualifiés et expérimentés de facs internationales (Cornell..), qui ont su rendre les concepts juridiques complexes accessibles et compréhensibles. Le Master 2 nous a également offert des occasions de développer nos compétences pratiques, notamment grâce à des exercices de négociation, des études de cas et des simulations de procès. Nous avons également eu la chance de rencontrer des professionnels de différents secteurs, comme des avocats, des juges et des représentants de grandes entreprises internationales, qui nous ont apporté leur expérience et leur savoir-faire. Dans l'ensemble, je recommande vivement ce Master 2 à tous ceux qui cherchent à développer leurs compétences juridiques et à s'immerger dans le monde complexe et fascinant du droit des affaires international. C'est une année qui m'a beaucoup appris sur le droit, sur les affaires et qui m'a préparé de manière optimale pour traiter des dossiers de droit des affaires au sein de cabinets d'avocats.

Salomé, 22 ans

Activités juridiques : contentieux et recouvrement

Étant bonne élève au lycée, on m'a toujours poussée à faire une prépa après le bac puis une école d'ingénieur. Tout le monde a des préjugés sur l'université mais je ne regrette pas du tout d'avoir choisi la licence !

Julia, 25 ans

Droit pénal et sciences criminelles

Le master droit privé et sciences criminelles à la faculté Catholique de Lille est une formation que je conseille fortement! Pour ceux qui souhaitent se destiner à la préparation des examens et concours pour devenir magistrats, greffiers, avocats ou notaires, ce master est idéal. Il permet l’étude d’un large panel de matières balayant le droit privé et le droit pénal. Elle offre également des cours de culture générale et des entraînements à la note de synthèse dès le M1! La note de synthèse qui est la bête noire des élèves préparant les concours et laquelle n’est pas forcément étudiée dans tous les masters de droit!

Astrid, 22 ans

Métiers de la communication : chargé de communication

Mon partage d’expérience aux lycéens, Au travers de mon cursus universitaire, nous devons effectuer des unités d’enseignement d’ouverture. Ceux-ci sont au choix, et parmi eux se trouvent l'unité dite, “Du lycée à l’université”. Mon choix a été tout d’abord motivé par une envie de partage. En effet, lorsque j’étais moi-même au lycée, nous avions eu la chance d’accueillir à différentes reprises des élèves et professionnels pour nous parler de leurs parcours, études et profession. Je garde encore aujourd’hui de très bons souvenirs de ces différentes interventions. Dans un second temps, l’opportunité qu’offre l’UEO en qualité d’exercice oratoire m’a également attiré. Il est vrai que le fait de pouvoir s’exercer à l’oral, face à un jeune public, était un vrai plus. Je voyais ici la possibilité de partager à mon tour mon expérience avec les plus jeunes. Également, cette unité d’enseignement, au-delà du partage d'expérience, me permettait de suivre un enseignement qui sorte d’un cadre scolaire que je pourrais qualifier de “classique”. Il est vrai qu’étant étudiante en droit, nous avons une approche plus méthodologique et littéraire. Ainsi, cet UEO permettait de sortir de ce cadre “stricte” du droit, pour se placer dans une dynamique de partage. Dans le cadre de cet UEO j’ai donc eu pour ma part la mission d'animer une séance dite “Explore Sup”. Elle se constitue en 3 séances d’une heure, la classe est divisée en 2 groupes. La première est dédiée à une présentation par l’étudiant de l'université et également un zoom sur sa formation, en particulier si des élèves sont intéressés. Les 2e et 3e séances sont dédiées à la recherche puis à l’exposé des formations que projette de faire les lycéens. Lors de mon intervention, la classe a été séparée en 2 groupes (8-10 et 17-18 selon les séances et absences des élèves) via un critère de “thème” de formation. Ainsi, lors des exposés notamment, les élèves pouvaient en apprendre davantage sur les formations plus susceptibles de les intéresser selon les filières (scientifiques et plus littéraires de l’autre, pour grossir le trait). Dès la première séance, j’ai pu observer l'intérêt des élèves pour cette intervention. En effet, même s'ils n'osaient pas tous prendre la parole pour poser des questions, ils étaient tous attentifs. Lors des 2e et 3e séances, les élèves étaient toujours très investis. Pour leur passage à l’oral, nous avons pu créer un environnement léger et qu’ils puissent s’exprimer sereinement. Ils ont tous fait des efforts pour s'entraîner sur leur qualité oratoire. J’ai pris l’initiative, lors des exposés, de demander après chaque passage l’avis de la classe sur l’oral, sur des points tels que le volume de la voix, l'attitude etc… Les lycéens ont progressé à chaque passage et écoutaient leurs camarades avec bienveillance. Via les séances de recherches et d’exposés, j’ai pu à mon niveau essayer de les guider sur les plateformes ou de trouver au mieux leurs formations. Mais également de les pousser à se poser des questions sur les portes qu’elles pourraient leur ouvrir. Grâce à mon parcours scolaire mais aussi à mon redoublement de (la première année de droit, qui aura été plus que bénéfique pour moi), j’espère avoir transmis un message de persévérance. La fluidité des formations dans le supérieur permet de changer de voie, d’avoir un droit à l’erreur et de pouvoir recommencer en étant plus fort. Ce qui m’a marqué lors de mes interventions, c’est l’envie de découvrir des lycéens, leurs investissements et notamment lors de discussions avec certains d’entre eux. Essayer de les aider m’a été très agréable et d’avoir le sentiment d’apporter plus de confiance en leur projet. Le message que j’ai voulu passer, est que si l’on fait quelque chose qui nous plaît, alors ce sera facile de s’investir. Lorsque l’on se donne les moyens on y arrive, peu importe les difficultés, on arrive à avancer. In Fine, ces différentes séances passées auprès des lycéens ont été très enrichissantes. J’ai pu observer que j’étais à l’aise avec le fait d’animer des activités et face à un public de lycéens, notamment sur la prise de parole. Cela a vraiment fait écho à mon travail saisonnier de monitrice de voile, ou j’ai là, l'habitude de travailler avec des plus jeunes 5-8-10 ans. En effet, une aisance orale est importante aussi bien dans notre quotidien, que dans le cadre des études et plus tard dans ma profession, le droit étant une filière très oratoire. Cette UEO, à notamment motivé ma présence sur Study advisor, afin de continuer de partager mon expérience et mon parcours en tant qu'étudiante en Droit !!!