Guides d'orientation : tout savoir sur une filière
groupe d'advisors

Témoignages École supérieure d'Art

Il existe 1001 façons de choisir sa filière, mais ce n'est pas toujours évident de s'y retrouver au milieu de toutes ces informations 🔎, et de savoir si on a fait le bon choix !

Les témoignages de nos Advisors sont là pour t'aider à y voir plus clair 💡.

Si tu veux en savoir plus sur leurs parcours, prends RDV avec eux 🤳 !

10 résultats correspondants :

Noémie, 23 ans

Design, Création industrielle

Salut à toi qui te prend des taqués là où tu veux aller, " Sache qu'il ne faut pas t'arrêter à un NON, dis-toi que tu peux aller encore plus loin et faire ce qu'il te plait ! " Pour ma part c'est ce qu'il m'est arrivée plus d'une fois : qu'on me dise NON. NON car on ne savait pas où me diriger après le collège sur ce que j'aimais faire : "Ah tu aimes la déco, c'est bien ! Mais.. j'y connais rien" ou le "Ah c'est bien, tu sais ce que tu veux faire déjà, mais tu vas faire quoi comme Bac ?" NON car je n'avais pas une moyenne assez élevé aller où je veux : "Ah mais c'est bien 16, mais nous nos élèves ils ont 18 pour ce Bac" ou "Ah tu n'as que 16, essaye de revenir quand tu auras 18 en 2nd dans ce cas" Du collège jusqu'au lycée, on n'a pas su me guider, m'aider ou m'accompagner vers là où je voulais aller. J'ai du faire mon chemin à moi, trouver des solutions allant jusqu'à X, Y voir même Z en cas où ça me marchait pas. Mais aujourd'hui, je ne regrette rien ! Je ne regrette pas les choix que j'ai fais pour arriver là où j'en suis. Je ne regrette pas d'avoir mis des jours et des jours pour enfin trouver ma voie. Je ne regrette pas d'avoir acquérir des compétences comme une autonomie et une ambition hors paire. Oui je ne regrette pas le temps passé à mettre pris des NON en pleine face, pour aujourd'hui être heureuse de ce que je fais. Alors oui, tu qui te pose un millier de question sur ce qu'il en est de ta vie, de tes études, de ton futur ; ne lâche rien ! Car même si ça m'est du temps, un jour tu souriras en voyant tout ce que tu as accomplit sans l'aide de personne.

Blessonny Eliezer, 22 ans

Banque

— Présentation et Débrief d'expérience à L'ESCE Je me nomme Kouakou Blessonny Eliezer, Etudiant en 2ème année a l'ESCE Je suis d'origine étrangère. Comme tout élève de terminale je n'avais aucune idée du parcours à emprunter. Pour d'autres généralement une piste d'orientation est déja envisagée mais encore floue . J'ai rejoint l'ESCE Paris à la suite de ma participation au concours Sésame Pour ceux qui ont peut être parcouru ma bio sur Study Advisor, j'ai mentionné le fait qu'étant étudiant étranger, le fait de découvrir le monde des écoles de commerce a été instructif Le fait de découvrir de nouvelles personnes, de nouvelles cultures, de nouveaux plats ( Parce que je suis un gourmand '-'). Je n'aurai pas demandé mieux pourtant au départ je ne voulais ni étudier à l'ESCE ni participer au concours Sésame Lorsque l'on veut intégrer une école de commerce il y a vraiment énormément d'avantages mais cela requiert un prix à la fois dans notre poche ;p et dans notre attitude Et ce dans n'importe quelle école de commerce — Avis sur la question de l'incidence du prestige de l'école de commerce Selon moi, je pense que les personnes qui visent à entrer dans les écoles de commerce comme HEC, ESSEC etc... se bourrent un peu la face Car on peut bien avoir le talent, et l'aptitude pour évoluer dans une école de commerce mais opter pour ce niveau d'école est un risqué pour notre moral ( parce que le moral, la détermination est un facteur déterminant pour notre cursus post-bac et parfois même pendant la période avant le bac) Lorsque l'on veut intégrer une école de commerce il y a vraiment énormément d'avantages mais cela requiert un prix à la fois dans notre poche ;p et dans notre attitude Et ce dans n'importe quelle école de commerce L'alternative pour moi est inexistante (excusez moi du terme) car lorsque nous faisons les choix ou que nous ne doutons pas , il n'y a pas lieu d'une alternative. L'alternative intervient lorsque la personne n'est pas définie sur le point concernant son orientation, c'est la raison pour laquelle nombreux sont les personnes qui changent de cursus ou même tirent un terme à leur cursus universitaire — Avis sur la question de l'incidence du prestige de l'école de commerce - 2 L'alternative pour moi est inexistante (excusez moi du terme) car lorsque nous faisons les choix ou que nous ne doutons pas , il n'y a pas lieu d'une alternative. L'alternative intervient lorque la personne n'est pas définie sur le point concernant son orientation, c'est la raison pour laquelle nombreux sont les personnes qui changent de cursus ou même tirent un terme à leur cursus universitaire Il est plus envisageable d'opter pour des écoles de commerce ayant une notoriété pas non plus faible mais assez convenable. Selon moi je pense qu'un élève qui vise l'HEC ou tout autre école de commerce prestigieuse désire inconsciemment ou consciemment impregner l'école de sa trace mais aussi désire etre compétitif lors d'un entretien d'embauche. Cependant ni meme pas tous arrivent à intégrer l'HEC et consor. Cependant intégrer les écoles de commerce de notoriété moyenne, permettrait à plusieurs personnes qui désirent évoluer dans une école de commerce, de poursuivre le parcours envisagé et de déboucher sur un métier "idéal" Moi personnellement, je vous conseille l'ESCE — Briève présentation de L'ESCE - 1 L'ESCE ( Ecole Supérieure du Commerce Extérieur ) est une école de commerce délivrant un diplôme visé grade de master. Elle est située dans le XVe Arrondissement de paris et dans le VII arrondissement de Lyon. Il est accrédité EPAS ( EFMD Programme Accreditation System ). Elle est membre de la conférence des grandes écoles et appartient depuis 2016 au groupe INSEEC U.A ma connaissance, il existe deux programmes phares -- Le Programme Grande Ecole (PGE) visé Bac+5 -- Le Programme Bachelor (Bac+3) Personnellement je suis dans le programme PGE Ils ont également différents diplômes alternatifs -- Le Programme MSc ( Double diplôme ) -- Le Programme d'été -- Le Cursus en Apprentissage — Saviez-vous que l'ESCE est classée parmi les premières écoles dans le classement L'Etudiant voyages à l'étranger en post-bac ? L'école donne la possibilité aux étudiants d'effectuer un voyage hors de France pendant la durée d'un semestre et ce dès la 2ème année Pour les fondus de commerce international, vous ne serez pas déçus ;) Vous voulez en savoir plus Toutes les informations seront disponibles et accessibles sur le site web de l'école Et voila c'est tout Si vous avez d'autres questions que vous désirez élucider concernant les écoles de commerce ou sur la vie à l'ESCE Je suis disponible pour un rendez-vous tous les jours Consultez ma bio pour savoir mes disponibilités

Mathilde, 22 ans

Architecture, urbanisme, paysage

J'ai obtenu un bac S option Sciences de l'Ingénieur en 2019. Un peu plus tôt dans l'année il a fallu mettre des vœux sur Parcoursup. Le problème ? Je n'avais aucune idée de ce que je voulais faire pour le reste de ma vie ! Et c'est bien normal ! Avec une retraite à 64 ans, qui peut choisir à 18 ans ce qu'il va faire jusque là ? Mais l'échéance arrivait et il fallait faire un choix ! Comme on l'entend souvent en entretiens "j'aime les sciences, j'aime le dessin, alors pourquoi pas archi ?". J'avais quelques connaissances en ENSA, je savais à quoi m'attendre alors allons y ! Quelques mois plus tard je commence ma première année en architecture à Versailles. Je suis complètement à la ramasse, comme dans un monde parallèle. Tous les étudiants ont un architecte préféré, un avis sur tout, parlent de choses que je ne comprends pas. De ma vision de campagnarde arrivée là par chance et hasard, ce que je savais citer à ce stade c’était le vieil Orléans, sa cathédrale et les châteaux de la Loire, je n’ai même pas réussi à retenir les architectes du FRAC Centre que j’avais pourtant cité en long en large et en travers lors de mes entretiens. Le souvenir le plus fort que je garderai de ma licence est mon tout premier workshop. Dès les premières semaines nous avons été mis dans le bain : par 6 nous avons dû nous lancer dans la construction d’une maison en carton à l’échelle une. C’est là qu’on a commencé à apprendre. Le premier travail de groupe, les premiers croquis, les premières idées, interrogations et maquettes, les premiers questionnements structurels, les premières charrettes, les premières défaites, les premières victoires. Mais par-dessus tout, alors que nos professeurs étaient persuadés que le toit de notre structure allait s’effondrer, ce fut la satisfaction de voir notre œuvre achevée qui m’a fait réaliser que j’étais bel et bien lancée dans le cursus et qui m’a fait entrevoir que j’avais peut être finalement bien ma place ici. Le retard que j'avais l'impression d'avoir n'était finalement pas si grand. de toutes façons nos connaissances évaluées étaient basées sur les cours magistraux que nous avions tous et pour les cours de projets nous partions tous du même point. En parlant du cours de projet : il a été très déstabilisant. Au premier semestre nous étions frustrés de ne pas réellement faire projet. On a fait une coupe et un peu de programmation mais rien de ce que nous attendions réellement de cet enseignement. Le deuxième semestre a été déstabilisant d'une autre manière, nous avons du concevoir sans connaitre les codes. Nous n'avions aucune notion technique donc très peu de contraintes et nous avons du nous les imposer nous mêmes pour concevoir probable sans vraiment comprendre les limites de réalisme que nous devions avoir. Ce sentiment est resté au semestre 3 pour petit à petit s'effacer. En troisième année, la difficulté était tout autre. Mes camarades et moi nous sommes vite retrouvés face à une charge de travail dépassant tout ce que nous avions connu. La quantité et la qualité des documents requis avait drastiquement augmenté, je me suis à deux reprises retrouvée à présenter 3 projets complets avec documents finis dans la même semaine. L’exigence des maquettes avait aussi augmenté, mais ayant passé deux semestres loin de l’école, ses ateliers et son fablab, il ne nous avait été demandé aucune maquette depuis plus d’un an (à cause des confinements successifs). Mais ce n’était pas un argument, les difficultés m’ont permis de me débrouiller par moi-même et de me dépasser. Cette troisième année a été un réel sacrifice. Je me suis consacrée corps et âme dans le projet, je n’avais plus de temps pour faire autre chose, je ne voyais même plus mes amis qui travaillaient pourtant dans la même école que moi, je me contentais d’échanges brefs avec ceux assis à la même table, j’y ai laissé beaucoup de cartouches de sommeil ; encore aujourd’hui je récupère certaines heures sacrifiées lors des derniers rendus du premier semestre. Il a été moralement et psychologiquement dur : lorsqu’on se consacre autant à son travail, tout devient personnel et la critique est plus dure à digérer. Lorsque j'ai écris ces mots dans mon rapport de fin de licence, je sentais un note d'aigreur en moi. J'avais sacrifié un peu de ma vie pour des cours... Je me suis souvent dit que "les études ce n'est pas ta vie entière, pense un peu à toi" et je ne l'avait pas fait une fois. Cependant, avec le recul, ce sacrifice m'a au moins donné la tranquillité d'esprit de me dire que j'avais donné tout ce que j'avais à donner et que le projet n'aurait pas pu être mieux. Mais malgré tout, ce que je trouve dommage c’est que pour cette matière j’ai dû mettre de côté certains enseignements annexe par manque de temps ; j’assistais aux cours mais mon cerveau ne pensait que projet ou se mettais en off pour récupérer un peu de temps de repos. Cette année nous avions un professeur de droit passionnant et il m'est arrivé plusieurs fois de somnoler pendant ses cours à cause de la fatigue accumulée alors que ce que j'avais en face de moi intéressait vraiment. Dans notre cursus nous avons une grande pluralité d’enseignements autre que le projet et qui se rapproche plus ou moins de notre potentiel futur métier. En premier il y a la construction. Venant d’un bac SI, j’avais déjà quelques wagonnets d’avances qui m’ont permis de ne pas écouter la première année et de m’en sortir assez correctement. La deuxième et troisième année les choses se sont corsées, plus de calculs, plus de notions, on entrait dans le côté architectural de la matière. Les quatre heures consécutives hebdomadaires de cette matière ne m’ont guère tenue en éveil bien qu’elles semblaient intéressantes. Mais la fatigue du projet n’aidant pas j’ai eu du mal à m’y accrocher et encore plus à m’y mettre par la suite. Sont venues aussi les matières manuelles. En premier lieu nous avons eu des cours de représentations. J’ai beaucoup aimé ces cours. J'en garde un souvenir très agréable. Je mets dans le même lot les modules d’art plastique. 3 jours, deux fois par semestre pendant 2 ans. A l’époque je râlais beaucoup car je n’en voyais pas le sens, mais aujourd’hui j’en tire la joie d’avoir manipulé, expérimenté, et de travaillé sans me prendre la tête. Et sans eux cette année, j’ai pu me rendre compte qu’ils offraient une pause profitable au milieu du semestre de projet. Ces matières ont comblé mon amour du travail manuel, tout comme mon stage de première année. J’ai effectué ce stage dans une menuiserie-charpenterie du Loiret et j’ai passé deux formidables semaines à vagabonder à faire des planchers, des terrasses... J’ai pris plaisir à avoir mes yeux sur autre chose qu’un écran et avoir des mouvements plus amples que ceux du dessin et du travail sur ordinateur. Durant ces 3 ans j’ai aussi découvert des matières plus littéraires. L’histoire de l’architecture qui m’a immédiatement passionnée mais la longueur des cours ont eu raison de ma concentration. J’ai adoré les cours de première année sur les racines de l’architecture, et si j’ai eu un peu plus de mal avec l’architecture moderne explorée en L2 c’est avec plaisir que je l’ai retrouvée mêlée au patrimoine lors de ma troisième année. J’ai trouvé ces cours très intéressants et j’ai tout particulièrement apprécié l’enseignement d'une de mes professeures qui nous a appris à voir l’architecture autrement et y développer un réel esprit critique par le biais de son discours mais également des débats qu’elle organisait. Nous avons également eu des cours de droit, et si ils m’ont peu intéressés en L2, les cours de L3 était nettement différents. J’ai grandement apprécié aussi d’avoir eu l’occasion d’élargir le domaine de l’architecture à travers de sujets plus inattendus tels que la philosophie ou l’anthropologie ainsi que le cinéma. Je suis actuellement en Master. Je regrette presque que ces trois années soient passées si vite. La licence, même si elle est éprouvante, est la période de l'architecture libre, créative, émotionnelle... On s'amuse, on expérimente. Le master est là pour appliquer toute l'expérience accumulée pendant ses 3 ans, il est plus sérieux, plus appliqué. Ce contraste m'aide beaucoup sur ma vision de l'architecture que je veux pratiquer plus tard. J'ai envie de retrouver cette pratique "fun". Je pense que c'est quelque chose que je pourrais potentiellement trouver dans la scénographie ou le maquettisme... Affaire à suivre...

David, 22 ans

Génie civil

Un jeune étudiant timide qui arrive dans le supérieur : Avant d'intégrer mon école d'ingénieur, j'étais quelqu'un de réservé, timide au lycée. J'appréhendais beaucoup le supérieur, car je changeais de ville, je n'avais aucun repère, aucun ami, rien. En entrant dans mon école, j'ai senti que je n'étais pas le seul dans ce cas-là. J'ai essayé de parler avec les personnes où elles venaient me voir carrément. Les 2 premières semaines, le BDE organisait plein d'activité pour qu'on apprenne à se connaître, et c'était génial. J'ai petit à petit pu combattre ma timidité. J'ai découvert des gens incroyables, et cela, m'a transformé. Maintenant, je suis beaucoup moins timide même si j'ai des restes un peu. Je suis devenue adulte, sans m'en apercevoir. Le supérieur est génial. C'est normal d'avoir peur, peur de l'inconnu, de l'inconfort. N'hésitez pas et foncez.

Louise, 23 ans

Classe préparatoire intégrée

L'avantage d'une école d'ingénieur avec une classe préparatoire intégrée, c'est qu'il n'y a plus de concours en interne. Une fois le premier concours pour rentrer dans l'école passé, nous nous retrouvons dans une promotion dont le nombre varie en fonction de l'école et qui ne bougera que très peu au fil des années. Bien que certaines personnes arrêterons le cursus avant la fin des cinq années d'études, il n'y a que très peu d'esprit compétitif entre élèves d'une même promotion. En effet, le fait qu'il n'y ait pas de concours en interne signifie que tous les étudiants réussissant leurs années préparatoires passeront en cycle ingénieur. Il n'y a aucune histoire de quota. Si les 200 élèves de la promotion réussissent leurs partiels, alors ils seront 200 à intégrer le cycle ingénieur. Cette non-présence de compétition, contrairement aux renommés PACES, entraîne une forte entraide entre les étudiants. J'ai eu la chance d'être accompagné par des personnes de ma promotion, mais également des promotions supérieures lors de mes premières années d'étude. À mon tour, quand j'étais en deuxième année de classe préparatoire, j'ai aidé les premières années à comprendre leurs cours, notamment de biochimie. C'était très enrichissant, des deux points de vue. Bref, entrer dans une école avec prépa intégrée, c'est l'assurance de passer cinq années d'études avec peu de stress, même s'il y en a toujours à l'approche des partiels. Révise tranquillement tes cours, appuies-toi sur tes amis, révisez ensemble, aidez-vous avec d'autres personnes de la promo qui ont mieux compris que vous certains principes et vous réussirez. Je crois en vous !

Solenn, 23 ans

D'après mon expérience en école d'architecture, voici ce que j'en retiens : c'est une formation extrêmement complète qui fait intervenir tant des qualités plastiques et créatives que orales. On apprends beaucoup sur soi, à travailler en groupe, et à acquérir un esprit de synthèse par exemple. On ressens très vite quand on commence les études que bien s'exprimer à l'oral et pouvoir synthétiser tout son travail en trois lignes c'est primordial. Au niveau des matières, ce sont des études "touchent à tout", du moins de mon point de vue. On étudie l'histoire, l'histoire de l'art, l'urbanisme, la politique urbaine, l'économie des territoires, les mutations sociétales qui ont influencées les villes, les comportements humains qui entrent en jeu quand on parle d'habiter un espace... Tout cela nous ouvre l'esprit sur ce qui nous entoure et nous fait voir le monde d'une autre manière. C'est peut être une phrase bateau, je vous l'accorde, mais elle est terriblement juste quant il s'agit des enseignements qui nous sont donnés. L'architecte conçoit et construit l'environnement donc en tant que futurs architectes nous devons avoir en main un éventail de connaissances sur le monde dans lequel nous allons exercer. Alors oui, ce sont des études fastidieuses et très souvent démoralisantes mais on se rend compte de tellement de choses qu'on a envie de continuer !

Pauline, 21 ans

Infirmier

Bonjour à toutes et à tous, je tenais à faire un "flash back" sur mon année de terminale; année assez stressante entre Parcoursup, le bac (et le confinement qui est venu se mettre au milieu). Toute l'année j'ai entendu que "en sortant d'un baccalauréat économique et social, je ne pourrai jamais être admise en IFSI avec ce baccalauréat". Est venue l'épreuve de Parcoursup; la boule au ventre parce que j'avais mis une seule alternative à cette formation, pour ne pas rester en stand-by pendant un an et enrichir mes connaissances, mais qui ne m'intéressait que peu. Puis à la mi mai, j'ai été admise, certes sur liste d'attente, dans toutes les IFSI que j'avais demandé; et aucun de mes professeurs ne m'a cru. Alors vraiment, à l'approche des examens conjointement à la plateforme Parcoursup; croyez en vous!

Thomas, 23 ans

Droit

La licence en droit : Une expérience très enrichissante et qui m'a fait mûrir. Depuis la première année, on nous martèle que nos années de licences seront difficiles et qu'il faudra s'accrocher. C'est tout à fait vrai. Mais c'est tout à fait possible et atteignable, j'en suis la preuve vivante. J'ai vécu en réalité 4 ans en licence de droit car j'ai redoublé ma première année. J'ai mis beaucoup de temps à comprendre ce qu'on attendait de moi, quelle était la charge de travail que je devais fournir. Ce que je peux dire de mes années de licence de droit, c'est qu'elles m'ont enseignés une certaine discipline de travail propre au droit et à l'université. Grâce à ces premières années, je me suis découvert au travail. Je ne savais pas ce qu'était réellement travailler jusqu'au bac pour tout vous dire. J'ai eu beaucoup de regrets pendant ma licence notamment sur le travail que je devais fournir. Je n'étais pas à 100% de mes capacités, je me contentais du minimum pour passer en année supérieure. C'est certes suffisant, mais sûrement pas assez pour intégrer un master très demandé que vous souhaitez avoir à tout prix. Alors je regrette en partie certains moments de ma licence où j'aurais pu davantage travailler. Ce qui est certain, c'est que grâce à ma licence de droit, je ne vois plus les choses de la même manière, je ne vois plus mon environnement et ce qui m'entoure de la même façon. J'apporte une réflexion que je n'avais pas avant ma licence sur beaucoup plus de domaines et de sujets. Un conseil sur votre licence : Accrochez vous à un objectif qui vous fait avancer et qui vous rappelle pourquoi vous vous levez chaque matin. Dans les moments difficiles, dites vous qu'avec le temps, il y aura forcément de meilleurs moments.

Claire, 19 ans

Ayant toujours été intéressée par les relations internationales et les sciences politiques, il m'a paru évident de poursuivre des études dans un établissement proposant une formation sur ces deux axes. J'ai été très satisfaite par ce choix, et notamment par mon choix d'école, car les enseignements dispensés sont particulièrement enrichissants, surtout dans un contexte mondial comme celui que nous connaissons. Connaître au mieux ce qui nous entoure, savoir échanger, je pense que ce sont deux mots d'ordre pour ces études. Alors à tous les étudiants qui seraient intéressés par ce domaine d'étude, n'hésitez pas. Cela ne fera que vous ouvrir des portes pour la suite.

Andréa, 22 ans

Psychologie

Actuellement, je suis en 3ème année d'une Licence de Psychologie à l'Institut National Universitaire Champollion, à Albi. Ce que j'ignorais avant d'entrer à la fac, c'est l'étendue des possibilités et des opportunités qui peuvent construire notre parcours étudiant. Je vais centrer mon témoignage sur les stages et autres expériences à valoriser durant les 3 années de Licence. En première année, j'avais une idée assez fixe de ce que je voulais poursuivre après la licence, j'ai donc centré mon attention sur ce "vœux", y compris dans mes travaux universitaires. J'ai eu ensuite mon premier job étudiant en travaillant au McDonald's juste avant l'été. Cette première expérience, bien que banale, peut mettre en valeur des compétences chez moi. En seconde année, je me suis concentrée sur mes passions personnelles, j'ai donc pris un enseignement d'ouverture tourné sur l'écriture et j'ai commencé mon travail (toujours actuel) de tutrice de français. Ces activités ont éveillé en moi des envies nouvelles, celles de l'enseignement. En même temps, j'ai effectué une mission de bénévolat pendant 2 mois auprès d'un centre d'appels qui lutte contre la maltraitance des personnes âgées et handicapées. J'ai également suivi différents MOOCs certifiants sur une plate-forme lors de mes temps libres. N'ayant pas pensé plus tôt à mes envies d'enseignement, j'ai loupé l'opportunité de m'inscrire dans le Parcours VPE de ma licence, ce parcours permet d'aborder des notions du Master MEEF, Master auquel je souhaite candidater. Je me retrouve alors actuellement en 3ème année de Psychologie, avec un stage en Addictologie qui sera effectué à partir de janvier 2022. J'ai alors décidé d'avoir un entretien avec la conseillère d'orientation de mon université, et au-delà de mettre en valeur mes expériences, elle m'a guidée pour que je trouve une expérience à faire dans l'enseignement. J'ai alors commencé à chercher une nouvelle mission de bénévolat à effectuer dans une école. Après quelques péripéties, je vais finalement effectuer un stage en Formation Ouverte (disponible dans mon université, sous conditions pour moi) dans une école afin d'observer et de m'interroger sur une problématique en lien avec l'enseignement. Qu'il s'agisse de jobs, de stages, de bénévolat ou encore de cours en ligne, une multitude d'options existent pour valoriser votre parcours et vous mettre en avant. Les notes, bien qu'importantes, sont loin d'être les seuls éléments pris en compte dans une candidature en Master. C'est un dernier semestre chargé de deux stages à effectuer, d'un mini mémoire à rédiger et de mes cours à l'université, que je suis prête à vivre à fond avec l'envie de poursuivre mes études.