Guides d'orientation : tout savoir sur une filière
groupe d'advisors

Témoignages Bac Général

Il existe 1001 façons de choisir sa filière, mais ce n'est pas toujours évident de s'y retrouver au milieu de toutes ces informations 🔎, et de savoir si on a fait le bon choix !

Les témoignages de nos Advisors sont là pour t'aider à y voir plus clair 💡.

Si tu veux en savoir plus sur leurs parcours, prends RDV avec eux 🤳 !

35 résultats correspondants :

Irina, 21 ans

Psychomotricité

Lors de la séance de TP de rentrée, les formatrices nous ont dit "on n'arrive pas en psychomotricité par hasard..." Après une année passée au sein de ces études si particulières, je comprends maintenant mieux ce qu'elles voulaient dire... Je vous propose ainsi de vous partager mon parcours, ma découverte de la psychomotricité et l'organisation du cursus en général (avec les spécificités de l'IFP d'Orléans). Bonne lecture ! 1. Une découverte plutôt tardive de la psychomotricité (mais comme on dit souvent mieux vaut tard que jamais !) Depuis toute petite, je rêve de faire un métier pour apaiser les souffrances des gens, pour trouver des solutions à leurs problèmes... C'est ainsi que de mes 8 ans jusqu'à mes 18 ans j'étais décidée à devenir psychologue. Mais ces dix années ont filé, et du jour au lendemain je me retrouve en terminale à devoir valider mon choix final. C'est à ce moment précis que tout se trouve chambouler en moi, que tout y compris ce rêve devient incertain... C'est alors que je tombe par hasard sur le métier de psychomotricien en naviguant sur mon PC... Je comprends que c'est un professionnel de santé du paramédical, axé sur la place du corps et son image dans les différents troubles. Je comprends qu'il essaye de ré instaurer les liens corps-esprits, pour rétablir une harmonie au sein du patient... J'ai alors un flash de moi en train d'exercer ce métier (alors que je n'en savais pas encore grand chose oui je sais !). Je commence des recherches plus poussées, et l'IFP d'Orléans devient mon nouvel objectif. A l'époque, on pouvait faire une fac de sciences (science de la vie/chimie) pour avoir plus de chance d'entrer à l'IFP. Ayant besoin de plus de temps pour réfléchir à ce projet, et ayant toujours envie de découvrir l'ambiance de l'Université, je décide donc d'entrer en L1 sciences de la vie/ chimie à Orléans. Après une année intense marquée par le confinement, je valide la double L1 et je suis acceptée à l'IFP d'Orléans : c'est le début d'une nouvelle aventure pour moi ! 2. Pourquoi le métier de psychomotricien me correspond ? Tout simplement car il me permet de pouvoir être dans le soin, ce fameux "care", en abordant les patients de façon globale. J'aime le fait qu'on prenne en compte aussi bien l'importance du support organique de l'Homme, son corps (pôle neuromusculaire), que son psychisme/esprit (pôle cognitif), et enfin la part émotive, sensible (pole psycho-affectif). Ainsi c'est un métier riche d'outils, de techniques, où notre créativité, notre imagination nous accompagne dans chaque prise en charge. Ainsi, les psychomot' aiment beaucoup jouer ! Ce que je trouve également intéressant en psychomotricité, c'est le côté ludique qu'on met en place, quelque soit l'âge du patient d'ailleurs. On essaie de valoriser leurs ressources et leurs capacités au maximum. Cela se retrouve dans la relation de confiance et de co-construction qu'on établit avec le patient : on n'oublie jamais que ce dernier a toujours quelque chose à apporter dans le processus thérapeutique. 3. L'organisation des études en psychomotricité Tout comme le métier, le cursus est riche (on ne s'ennuie jamais !) et se compose de trois grands temps d'enseignement : - les cours théoriques (qu'ils traitent de psychomotricité en tant que tel, de psychologie, psychiatrie, etc...) - les TP (travaux pratiques) qui permettent d'expérimenter corporellement certains concepts théoriques, de se former à certaines techniques (relaxation, toucher thérapeutique, bilans psychomoteurs...), d'appréhender des cas cliniques, et enfin d'apprendre à mieux se connaitre ! - les stages. En 1ère année ils visent à observer le développement psychomoteur (normal) de 0 à 6 ans. Ils deviennent cliniques à partir de la deuxième année. On pratique alors sur différentes populations et dans différentes lieux en 2ème et 3ème année. Le cursus se passe donc en 3 ans, avec la validation d'un DE (ou diplôme d'état) à la fin. 4. Les plus de l'IFP d'Orléans On y est 25 par promo, ce qui permet de se former au mieux, de manière presque personnalisée finalement. On peut poser toutes les questions qu'on a en tête, à tout moment. On se connait tous et toutes, et l'entraide est très présent entre nous. Tout au long de l'année, on est accompagné de manière individuelle via des entretiens pédagogiques pour voir si on se sent toujours bien au sein de la formation, du métier, dans notre vie en général... Si on a des doutes, ou si on rencontre des difficultés les formatrices sont là pour nous écouter et nous aiguiller au mieux. Côté vie étudiante, le BDE (bureau des étudiants) est très organisé et assez actif ! Des évènements nous sont très régulièrement proposés... pour ceux qui aiment s'amuser et sortir en parallèle des études c'est l'idéal ! Ces particularités permettent de créer une vrai ambiance de travail, plutôt chaleureuse et détendue. 5. Mon ressenti sur ma 1ère année de DE Au final, je ne regrette pas d'avoir quitté la fac ! Ni la psycho ! Je sais maintenant qu'il m'aurait manqué quelque chose en psychologie : cette approche globale de la psychomotricité, le plaisir et l'utilité des médiations corporelles. Avant je n'aimais pas du tout le sport, je n'aimais pas bouger mon corps, je me laissée accaparer par les vicissitudes de mon esprit. Aujourd'hui, l'image que j'ai de mon corps et de moi a changé et c'est en partie grâce à mes études. En psychomotricité, on ne se forme par seulement à un métier, on apprend à se développer personnellement. Je suis également heureuse de toutes les expériences que j'ai vécu en seulement un an... Le souvenir de l'équithérapie par exemple résonne encore en moi... tout comme les TP d'expression corporelle pour ne citer que quelques exemples. Côté travail et résultats, j'avais peur de ne pas réussir à suivre, notamment en anatomie ou en neurophysiologie (n'ayant pas fait médecine avant). Mais finalement en s'y mettant, en fournissant un minimum d'efforts (inhérents au principe des études), et avec la patience des enseignements et des systèmes d'entraide (entre étudiants dans la promo + cours en plus pour revenir sur certaines notions) on y arrive (même en sortant du bac d'ailleurs) ! Vous l'aurez compris mes études me passionnent et m'aident à m'épanouir... J'espère que ce témoignage vous aura parlé, appris des choses, peut être même intrigué... Si vous vous posez encore des questions, n'hésitez pas à me contacter via la plateforme, je serais enchantée de prendre le temps de vous écouter ! ;)

Julia, 25 ans

Droit pénal et sciences criminelles

Le master droit privé et sciences criminelles à la faculté Catholique de Lille est une formation que je conseille fortement! Pour ceux qui souhaitent se destiner à la préparation des examens et concours pour devenir magistrats, greffiers, avocats ou notaires, ce master est idéal. Il permet l’étude d’un large panel de matières balayant le droit privé et le droit pénal. Elle offre également des cours de culture générale et des entraînements à la note de synthèse dès le M1! La note de synthèse qui est la bête noire des élèves préparant les concours et laquelle n’est pas forcément étudiée dans tous les masters de droit!

Joy, 30 ans

Psychologie

J'ai effectué ma licence de Psychologie à l'université de Nice (UFR Lettres, Arts et Sciences Humaines) de 2012 à 2016. La licence est l'un des diplômes auxquels on peut prétendre après l'obtention du baccalauréat, elle se déroule sur 3 ans et chaque année comporte 2 semestres. Voici d'après moi les avantages et les inconvénients (à savoir que certains points ne sont pas communs à toutes les facultés !) : Avantages : - on peut accéder à la licence avec simplement l'obtention du bac (même sans mention) ; - on se spécialise dans un domaine (en l'occurence dans mon cas la psychologie) ; - les premières années on a peu d'heures de cours (de mémoire en L1 j'avais en moyenne 18 heures de cours par semaine), il faut donc apprendre à être très autonome et organisé car une grosse partie du travail se fait en dehors des heures de cours ; - c'est général ce qui veut dire que l'on peut explorer différentes facettes de la psychologie pour trouver ce qui nous plaît et nous spécialiser ensuite en master ; - depuis 2019, la sélection s'est généralisée à la fin de la licence (avant elle était à la fin de la première année de master), ce qui permet, en cas de refus, de se réorienter plus vite et plus facilement (en théorie), il est bien sûr possible de repostuler l'année suivante ; - la licence est l'occasion de rencontrer de nouvelles personnes, des étudiants venant d'horizons divers, c'est très enrichissant ! Inconvénients : - ça reste très général dans le domaine choisi (par exemple, en licence de psychologie à Nice, on avait des cours comme : histoire de la psychologie, statistiques, psychopathologie, psychologie cognitive, psychologie sociale, neurobiologie, psychanalyse, psychologie du travail, anthropologie, sociologie, philosophie, etc.) - il faut être organisé, méthodique et autonome ; - l'administration de la fac est une catastrophe ; - il y a énormément d'étudiants, en L1 nous étions 750 pour 20 places en moyenne par master, ce qui veut dire qu'une sélection s'opère au cours de chaque année, environ 1/3 des étudiants abandonnent au cours du premier semestre de la L1, ensuite la sélection se fait à partir de la moyenne. À Nice, il faut avoir au moins 10 sur la moyenne de l'année (semestre 1 + semestre 2 se compensent), mais dans d'autres facs il faut avoir la moyenne à chaque semestre ; - il n'y a pas de stage obligatoire pour valider la licence, néanmoins c'est fortement conseillé pour 1) pouvoir accéder au master et 2) gagner en compétences pratiques !! Sauf que les stages sont très difficiles à trouver pour plusieurs raisons : les étudiants en master sont prioritaires ; il y a plus d'étudiants en psychologie que de psychologues accueillant des stagiaires ; pas tous les psychologues ne prennent de stagiaires ; au-delà de 308h de stage cumulées le stage doit être rémunéré ; certaines facs exigent que les garants aient au moins 3 ans d'expérience pour reconnaître le stage ; - il y a des partiels à chaque semestre concentrés sur une même période (ce qui est assez intense en termes de rythme et de stress). Mes conseils : - se rapprocher de ses camarades pour travailler, partager les infos, se sentir soutenu ; - il y a généralement des groupes Facebook qui sont créés pour chaque promo, très utile pour avoir toutes les infos, demander les cours auxquels on n'a pas pu assister et développer des relations (ce sont peut-être des futurs collègues !) ; - lire beaucoup (des livres mais aussi des articles scientifiques) et s'intéresser à des sujets qui ne sont pas forcément développés en cours (pour cela la Bibliothèque Universitaire sera votre meilleure amie) ; - ne pas hésiter à entrer en contact avec des étudiants de la promo supérieure pour avoir des tips (notamment pour les sujets de partiels et pour les lieux de stages !) ; - ne pas hésiter à aller au BAPU (bureau d'aide psychologique universitaire) si l'on se sent trop en difficulté, trop sous pression, trop isolé, trop vulnérable. Vous y trouverez de l'aide et en plus c'est gratuit ! Toi qui me lis, profite bien de tes années d'études et n'hésite pas à naviguer sur ce site pour te faire une idée de ce que sont les études supérieures ! Amuse-toi bien :)

Audrey, 24 ans

Prépa Concours Educateur spécialisé

Cette année j’ai intégré une classe préparatoire sanitaire et social pour me préparer aux concours de moniteur éducateur et d’éducatrice spécialisé. Avec tous les clichés et vision qu’on peut avec sur une année de prépa, je ne m’attendais pas du tout à ça. La prépa dans le milieu du travailleur social et très différent des prépas en commerce ou autres.Premièrement les 6 mois de formation passent à une vitesse folle. Alterner entre les stages (2 fois 4 semaines), les cours théoriques et les oraux qui prennent généralement 1 journée entière, qui nous apportent beaucoup de connaissances en méthodologie de l’écrit et oral et avec les sorties bénévoles sur les territoires qui nous fond acquérir des expériences bénévole. Mais surtout on apprend le vivre ensemble, la dynamique de groupe, cette dynamique qui te donne envie d’aller en centre de formation pour travailler et échanger avec les autres étudiants qui partagent le même centre d’intérêt que toi. On apprend de soi mais aussi des autres grâce à la richesse du groupe ( certaines sortes du bac et d’autres viennent tout droit d’une licence). Les formateurs et intervenants ( éducateurs, chef de service....) qui travaillent toute l’année avec nous sont à l’écoute et toujours disponible, ce sont un peu nos « agents » comme on dit maintenant. Notre petit nombre de 15 étudiants permet à tous d’avoir un accompagnement individuel même en classe entière. Nous sommes quelquefois mélangé avec les santés ( aide-soignant, auxiliaire de puériculture) ce qui nous permet d’avoir un autre point de vu et plus de connaissances dans ce secteur. Personnellement pour avoir tenté les concours l’année dernière, je vois une nette amélioration sur mon aisance à l’oral, comme à l’écrit, ainsi que dans le contenu de mon vocabulaire professionnel que j’utilise. Les stages mon permis de commencer à me construire une identité professionnelle et de me présenter aux oraux avec déjà une expérience du terrain. Si tu as la moindre question concernant le déroulement d’une classe préparatoire n’hésite pas à me contacter.

Noémie, 23 ans

Design, Création industrielle

Salut à toi qui te prend des taqués là où tu veux aller, " Sache qu'il ne faut pas t'arrêter à un NON, dis-toi que tu peux aller encore plus loin et faire ce qu'il te plait ! " Pour ma part c'est ce qu'il m'est arrivée plus d'une fois : qu'on me dise NON. NON car on ne savait pas où me diriger après le collège sur ce que j'aimais faire : "Ah tu aimes la déco, c'est bien ! Mais.. j'y connais rien" ou le "Ah c'est bien, tu sais ce que tu veux faire déjà, mais tu vas faire quoi comme Bac ?" NON car je n'avais pas une moyenne assez élevé aller où je veux : "Ah mais c'est bien 16, mais nous nos élèves ils ont 18 pour ce Bac" ou "Ah tu n'as que 16, essaye de revenir quand tu auras 18 en 2nd dans ce cas" Du collège jusqu'au lycée, on n'a pas su me guider, m'aider ou m'accompagner vers là où je voulais aller. J'ai du faire mon chemin à moi, trouver des solutions allant jusqu'à X, Y voir même Z en cas où ça me marchait pas. Mais aujourd'hui, je ne regrette rien ! Je ne regrette pas les choix que j'ai fais pour arriver là où j'en suis. Je ne regrette pas d'avoir mis des jours et des jours pour enfin trouver ma voie. Je ne regrette pas d'avoir acquérir des compétences comme une autonomie et une ambition hors paire. Oui je ne regrette pas le temps passé à mettre pris des NON en pleine face, pour aujourd'hui être heureuse de ce que je fais. Alors oui, tu qui te pose un millier de question sur ce qu'il en est de ta vie, de tes études, de ton futur ; ne lâche rien ! Car même si ça m'est du temps, un jour tu souriras en voyant tout ce que tu as accomplit sans l'aide de personne.

Manon, 21 ans

Webdesigner

Hello tout le monde, et bienvenue sur mon premier article ! :) Aujourd'hui, je me suis dis pourquoi pas vous parlez un peu de mon parcours. Il faut savoir que j'ai toujours été un peu perdue concernant mon futur durant mon adolescence, je pense un peu comme tout le monde. Lorsque j'étais au lycée, mes profs étaient assez stressant par rapport aux notes, aux spécialités qu'il fallait qu'on prenne pour ne pas se fermer des portes pour notre futur etc. Finalement ils avaient pas tord mais bon, on était quand même jeune pour penser à tout ça. En terminal, c'est la que les choses se sont corsées de mon côté. En première, j'ai choisi comme spécialité : Maths Physique-Chimie SVT, un bac S en gros, je devais donc choisir quel spécialité abandonnée pour la terminal. Ayant eu des bonnes notes en Maths, j'étais sur de la garder, mais pour SVT et Physique-Chimie le choix était un peu plus dur... La Physique-Chimie m'intéressait, je me donnais à fond pour avoir des bonnes notes mais malheureusement je n'en avais pas, je n'y arrivais pas. À l'inverse de la SVT qui ne m'intéressait pas forcément, mais je ne travaillais pas vraiment mais j'arrivais facilement à avoir un peu plus que la moyenne. Malheureusement mon choix s'est porté sur la SVT pour être sur d'obtenir mon BAC, car si je choisissais Physique-Chimie je n'étais pas aussi sur que ça de l'avoir. Après ce choix, l'attention se portait sur Parcoursup, un enfer! On commençait à faire nos choix tout en continuant nos études, puis viens le moment de savoir si on a été pris, si on est en liste d'attente ou encore si on est refusé. Habitant entre Grenoble et Lyon, je dépendais de l'académie de Grenoble, mais c'était hors de question pour moi d'aller à Grenoble (je n'aime pas vraiment la ville et les transports étaient vraiment très compliqué ne pouvant pas avoir un appartement directement sur place faute de moyen). Donc cela allait être encore plus compliqué de trouver une école sur Lyon n'étant pas prioritaire. Malheureusement, lors des résultats, j'ai été soit refusé, soit sur liste d'attente... C'est à partir de ce moment la qu'on commence à paniquer pour son avenir et à se demander ou s'est qu'on va bien pouvoir faire l'année prochaine. Bien évidemment, l'école que je voulais le plus, était l'école où j'étais le plus loin dans la liste d'attente. Le temps passa et nous voilà déjà en août, 1mois avant la rentrée et n'ayant toujours pas d'école. Après quelques semaines de réflexion, je pris la décision avec l'aide de mes parents de faire une année de césure, c'est-à-dire une année de "pause" entre le BAC et les études, pour partir aux USA apprendre l'anglais. J'avais comme projet d'aller dans l'informatique, et n'ayant vraiment pas un bon niveau en anglais ce qui est nécéssaire pour l'informatique, je me suis dis que c'était une bonne idée. Les recherches avança et voilà que le voyage est organisé : 4mois aux USA, à San Diego plus précisément. Pendant ce voyage, j'apprenais bien l'anglais tout en continuant mes recherches pour mon école et aussi un travail pour les 6mois qui restait avant la rentrée. Enfin rentrée de ce voyage, je travaille et je trouve mon école assez rapidement, en janvier/février : Ynov. Cette école m'a tout de suite plu car elle dure 5 ans : 3 années de Bachelor puis 2 année de Master, et puis elle me permettait les deux premières années de voir l'Informatique en général puis ensuite choisir la spécialité vers laquelle je voulais me tourner. Me voilà maintenant dans cette école, étant contente d'avoir pris cette année de césure et ne regrettant pas mon choix d'école ! :) Si l'envie vous prend d'avoir plus d'information à mon sujet ou bien au sujet de mon école, je suis disponible pour vous répondre lorsque vous le souhaitez ! N'hésitez pas à prendre un rendez vous avec moi :) Manon.

Elise, 24 ans

L'apprentissage en école d'architecture. L'apprentissage en école d'architecture offre de nombreux avantages pour les étudiants qui souhaitent devenir architectes. Tout d'abord, une formation en école d'architecture permet aux étudiants d'acquérir les connaissances théoriques et pratiques nécessaires pour devenir architectes. Les cours couvrent des sujets tels que la conception architecturale, la construction, l'histoire de l'architecture, les matériaux de construction, les normes et les réglementations, ainsi que les aspects juridiques et économiques de la profession. En outre, les écoles d'architecture offrent souvent des programmes de stage pour les étudiants. Les stages permettent aux étudiants de se familiariser avec le monde professionnel et de développer leur expérience pratique en travaillant sur des projets réels. Cela les aide à comprendre les défis et les exigences réelles de la profession, et à se préparer à leur carrière future. De plus, les écoles d'architecture sont généralement connectées à des réseaux professionnels qui peuvent aider les étudiants à trouver des stages et des emplois après l'obtention de leur diplôme. Les relations construites avec les professeurs et les professionnels peuvent également jouer un rôle clé dans la réussite professionnelle des étudiants. Enfin, l'apprentissage en école d'architecture permet aux étudiants de développer leur créativité et leur capacité à penser de manière critique. La conception architecturale est un processus créatif qui nécessite de penser de manière innovante pour résoudre des problèmes complexes. Les écoles d'architecture favorisent l'apprentissage par la pratique et l'expérimentation, ce qui permet aux étudiants de découvrir leur propre style et leur propre approche en matière de design. En somme, l'apprentissage en école d'architecture est essentiel pour les étudiants qui souhaitent devenir architectes. Il permet d'acquérir les connaissances théoriques et pratiques nécessaires, de se familiariser avec le monde professionnel, de développer des relations professionnelles et de stimuler la créativité et la pensée critique.

Léa, 24 ans

Droit international

J'ai eu la chance de suivre un Master 2 spécialisé droit international des affaires à l'Université Paris V, et je dois dire que cela a été l'une des expériences les plus enrichissantes de ma vie. Le programme était intense et exigeant, mais également très stimulant et intéressant. Nous avons étudié un large éventail de sujets liés au droit international des affaires, allant de la fiscalité internationale à la résolution des conflits commerciaux internationaux. Les cours étaient dispensés par des enseignants qualifiés et expérimentés de facs internationales (Cornell..), qui ont su rendre les concepts juridiques complexes accessibles et compréhensibles. Le Master 2 nous a également offert des occasions de développer nos compétences pratiques, notamment grâce à des exercices de négociation, des études de cas et des simulations de procès. Nous avons également eu la chance de rencontrer des professionnels de différents secteurs, comme des avocats, des juges et des représentants de grandes entreprises internationales, qui nous ont apporté leur expérience et leur savoir-faire. Dans l'ensemble, je recommande vivement ce Master 2 à tous ceux qui cherchent à développer leurs compétences juridiques et à s'immerger dans le monde complexe et fascinant du droit des affaires international. C'est une année qui m'a beaucoup appris sur le droit, sur les affaires et qui m'a préparé de manière optimale pour traiter des dossiers de droit des affaires au sein de cabinets d'avocats.

Léa, 24 ans

Droit

J'ai récemment obtenu ma Licence de Droit et je peux dire sans hésitation que cette expérience a été enrichissante à plus d'un niveau. Au cours de mes études, j'ai acquis une solide connaissance des lois et des réglementations. J'ai pu les appliquer que ça soit fictivement par des cas pratiques ou réellement grâce à la Clinique Juridique de l'université Paris Cité qui permet d'aider de vrais justiciables tout en étant encadré par une équipe de professeurs et professionnels. La formation en Licence de Droit offre également une occasion unique d'améliorer ses compétences en matière de communication, de rédaction et de résolution de problèmes, ce qui est indispensable pour exercer dans ce domaine. De plus, les nombreux débats et discussions permettent de stimuler ses capacités d'éloquences et d'avoir un esprit critique. Enfin, la licence permet de nouer des relations avec des futurs collègues ou confrères. Le cursus permet de travailler avec des professionnels expérimentés et passionnés qui donnent de précieux conseils. Je ne peux que recommander la Licence de Droit à quiconque souhaite se lancer dans ce domaine passionnant et stimulant. Les compétences et les connaissances que vous y acquérez vous seront utiles tout au long de votre carrière.

Léa, 24 ans

Droit des affaires

J'ai effectué ce master en gardant un souvenir et une richesse dans l'apprentissage imparable. Les professeurs de renom, les conférences et les colloques permettent de faire des rencontres et mieux appréhender le monde des affaires. Il s'agit d'une porte d'entrée vers le monde professionnel en côtoyant juristes et avocats. Les enseignements permettent d'acquérir des connaissances solides en droit des affaires notamment pour passer le CRFPA.