Pendant 2 ans, j'ai été réceptionniste tournante dans un Mercure Hôtel;
Les principales tâches qui m'étaient confiées quotidiennement étaient:
- Gestion des arrivées et départs des clients
- Responsabilitées liées au bon fonctionnement du room service
- Assistance dans la gestion du bar et du service petit déjeuner
La rigueur, l'organisation et la serviabilité étaient des atouts majeurs pour le bon déroulement de mon alternance.
Après un bac S, et souhaitant devenir ingénieur, plusieurs voies se sont offertes à moi: la classe préparatoire (mpsi ou pcsi), la prépa intégrée ou, un peu moins courant, le DUT. Je ne souhaitais pas entrer en DUT car je trouvais les programmes trop "spécifiques" à un domaine en particulier, je ne voulais pas m'enfermer dans une spécialité dès le début. On m'avait toujours décrit la classe préparatoire comme la voie royale pour obtenir de bonnes écoles d'ingénieurs très cotées, seulement après plusieurs échanges je me suis rendue compte que cela représentait beaucoup de sacrifices. Il faut généralement travailler énormément pour espérer avoir l'école que l'on souhaite, l'emploi du temps y est également très chargé. Et enfin, en me renseignant j'ai découvert que certaines écoles proposaient des cycles préparatoires intégrés, c'est à dire que l'on fait bien 2 ans de préparation, mais pas de concours à la fin, puisque l'on reste dans notre école, en cycle ingénieur cette fois. Cela me semblait être la meilleure option, le cursus reste général, et pas de stress, pas de concours, pas d'incertitude. Aujourd'hui je suis donc en première année au cycle préparatoire de l'INSA de Rouen en Normandie, et je ne regrette pas ce choix! Pour ceux qui recherchent l'excellence, J'ai constaté que dans beaucoup de prépas, si on n'étudie pas en classe étoile, les écoles auxquelles on accède ne sont pas mieux classées que celles à prépa intégrée, bien au contraire. Il existe de très bonnes écoles d'ingénieurs à prépa intégrée, comme l'UTC ou l'INSA de Lyon qui sont classées parmis les meilleures auprès des Mines ou Centrale. Le cycle préparatoire dans lequel je suis me permet de continuer d'avoir une vie en dehors de l'école, de faire du sport, de sortir avec mes amis et ça c'est vraiment un plus! Enfin pour ceux qui sont un peu moins "théorie" et qui aiment la pratique, en cycle préparatoire on peut (et c'est même souvent une obligation) faire des stages dès la première année, en tant qu'ouvrier, pour découvrir le monde de l'entreprise. Le travail à fournir n'est pas aussi conséquent qu'en prepa puisqu'il ne s'agit pas d'être le meilleur à un concours, mais de réussir ses études. Beaucoup de travaux de groupe sont organisés, ce qui favorise la création de lien entre les élèves et nous apprend le travail d'équipe. En bref, je suis vraiment contente d'avoir fait ce choix , j'espère que ce témoignage vous aura été utile! À bientôt.
Je ne pensais pas qu'étudier en licence LEA allait autant m'apporter! Vous ne le savez peut être pas mais la LEA n'est pas seulement l'étude de deux langues, c'est aussi des cours de droit, de géopolitique, d'économie, de civilisation étrangère etc.. ! C'est tellement enrichissant de savoir parler trois langues et en plus de se rendre compte que plusieurs licences sont regroupée en une seule!
Le concours d'orthophoniste est un des plus sélect de France. Il est possible de le passer dans la plupart des grandes villes de France. Il est quasiment impossible de réussir le concours sans préparation au préalable. C'est pourquoi, je recommande les classes préparatoires pour pouvoir passer le concours avec le plus gros bagage possible. Dans ces concours vous y retrouverez : des mathématiques et toutes sortes de problèmes logiques ; du français que ce soit grammaire, orthographe, vocabulaire, conjugaison, etc. ; de la culture générale (et beaucoup d'actualité) ; des sciences de la vie et de la terre ; des langues. Puis, si vous êtes admissibles, vous passez un oral. Si vous réussissez cet oral, vous rentrez dans l'école d'orthophonie et vous voilà partis pour cinq années d'études, avec un métier fantastique à l'arrivée.
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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