Actuellement en 3ème année de licence de droit, je suis au cœur de la courses qu'est la sélection en Master. À mon arrivée à l'université je ne connaissais personne, en effet j'avais quitté ma ville natale dans le but de poursuivre mon projet professionnel. Me voici alors seule à l'université, je fais connaissance avec une camarade de mon TD et nous décidons de nous inscrire à la journée d'intégration puis au week-end d'intégration. Ce fût l'occasion de faire de nombreuses rencontres dont la plupart sont mes plus grands potes aujourd'hui. Suite à ce premier mois d'intégration, et une adaptation plutôt facile à l'organisation de la faculté, j'intègre mon association de filière, l'occasion de faire toujours plus de rencontres, non seulement en droit mais aussi dans d'autres filières. Pour ce qui est des cours, j'ai très facilement pris le rythme, je valide mon premier semestre au haut la main en allant aux cours magistraux (CM) et en préparant mes travaux dirigés (TD) . Après les vacances de Noël débute le deuxième semestre. Mon organisation se détériore, je ne vais presque plus en CM mais je prépare toujours mes TD. Mes occupations se résument plus à des soirées qu'à des révisions, je valide tout de même haut la main mon semestre en ayant trouvé un job pour l'été. Je rentre alors chez mes parents pour l'été, je rate tous les moments avec mes amis. Je reviens ensuite pour débuter ma L2. Mon organisation est toujours aussi catastrophique, de plus je suis trésorière de mon association. Je ne vais pas en cours, je réussis à me faire dispenser de TD, une catastrophe. Je ne valide pas mon semestre, je m'y attendais. Le confinement pointe le bout de son nez au S4, je valide mon semestre en distanciel, rien à signaler sur ce semestre, j'ai mon année. Me voici alors en L3, j'ai désormais un emploi en 20h dans une pizzeria en même temps que mes études. Je tiens jusqu à octobre puis je démissionne, moi qui ne suis pas organisée s'en est trop pour moi. Je me permets cela car ce n'est pas un emploi alimentaire. Les cours ont lieu en présentiel pendant quelques mois, puis le confinement frappe une deuxième fois, je comprends de moins en moins bien les cours et les nouvelles notions, le distanciel devient compliqué, je valide malgré le peu de bienveillance des professeurs qui pensent que nous sommes des "bêtes de triche". Je suis désormais dans la dernière ligne droite pour valider ma licence, le distanciel ruine de plus en plus ma motivation et augmente les lacunes mais je tiens bon dans l'espoir de pouvoir réaliser mon projet professionnel et obtenir le Master que je veux. Je débute tout juste les candidatures, au milieu de mes révisions pour les futurs partiels, j'accumule les documents à scanner et les fiches de renseignements. En grande stressée, j'envisage de candidater à 42 masters dans toute la France. Comme on dit "Qui ne tente rien n'a rien".
Il y a un an je n'aurais jamais cru m'envoler aujourd'hui pour Oxford. Et me voilà pourtant à poursuivre mes études en Angleterre, où je peux me forger un avenir plus solide, et découvrir d'autres formations que celles traditionnelles en France. Ayant été dans une impasse concernant mon orientation (au niveau des concours, des sélections des formations proposées), j'ai préféré aller voir ailleurs, car le monde est grand, et il ne se limite pas écoles et universités !
J'ai eu mon bac au rattrapage et je n'étais pas sûre de ce que je voulais faire mais j'étais attirée par le marketing. J'ai donc rejoint l'EGC à Valence (Ecole de Commerce et de Gestion) en passant le concours d'entrée et je l'ai eu. Je me suis entraînée par avance car c'était la seule école dans laquelle je souhaitais aller pour de nombreuses raisons comme la taille de l'école, l'organisation, les compétences que je pouvais acquérir,... Les stages ont été l'occasion de me plonger dans l'univers professionnel et j'ai fait le choix de partir à l'étranger pour deux d'entre eux (Dublin et Calgary, Canada), c'est une décision qui m'a permis de mûrir, de progresser en langues mais aussi sur le plan professionnel en terme de maturité. J'ai terminé mon Bachelor à l'EGC en 2016 que j'ai eu avec 14 de moyenne. L'EGC fut une excellente expérience pour moi. Si tu as des questions concernant cette formation, les écoles de commerce en général, les stages à l'étranger, ou mon parcours, n'hésite pas à aller sur mon profil et prendre rendez-vous gratuitement. Je t'appellerai avec plaisir pour qu'on puisse en parler tous les deux :)
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N’hésite pas à le contacter pour discuter avec lui
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