Il y a 42 grandes écoles de commerce reconnues par le ministère de l'éducation. Le concours Passerelle réunit 13 grandes écoles de commerce (ex : Grenoble) classées dans le Top 40. Il existe deux concours passerelle, Passerelle 1 qui permet d'entrer à partir de la L3 en école et Passerelle 2 qui permet d'entrer à partir du master 1. Il comporte une épreuve écrite, orale et un entretien de motivation. Tout le monde peut le passer même en venant d'une formation littéraire ou scientifique. L'admissibilité se fait uniquement sur les résultats obtenus au concours et non sur les relevés de notes par exemple.
La partie écrite consiste à répondre à des questions sur un ordinateur que vous devez amener. Il y a une compréhension de texte qui dure 2h (QCM + synthèse de document). L'épreuve écrite d'anglais dure environ 1h25 (compréhension, grammaire, vocabulaire, trouver l'erreur). Une épreuve dure 45 minutes sur un thème (11 thèmes possibles). Il est possible de s'entrainer sur le site concourspasserelle.com avec une learning box
Le concours est aussi composé d'une épreuve orale. Elle dure 40 minutes. Elle consiste en une écoute et dans le commentaire d'un audio. Il y a 20 minutes de préparation et 20 minutes d'oral. L'entretien de motivation avec un jury dure 20 à 30 minutes. Ils peuvent vous évaluer autant sur le contenu que sur votre aisance à l'oral
Exemple du déroulement du concours 2019
- inscriptions : 3 avril
- épreuve écrite : 17 avril
- Résultats d'admissibilité : 15 mai
- Prise de RDV aux oraux : du 15 au 23 mai
- Oraux : 24 mai au 15 juin
- résultats d'admission : 25 juin
Les droits d'inscription au concours sont de 255€. Ils sont GRATUIT pour les BOURSIERS. L'oral coûte 50€, il est de 25€ pour les BOURSIERS. Les droits d'inscription annuelles dans écoles du concours sont en moyenne de 10000€ (7000 pour mines telecom, 14 000 pour Grenoble). Il y a plusieurs moyens pour financer ses études.
- alternance : 2 semaines entreprise / 2semaines école ou 3 semaines entreprise / 1 semaine école
- stages rémunérés
- année de césure
- job étudiant
- prêts étudiants (remboursés en moyenne au bout de 3 ans)
- bourses
Article réalisé sur la base d'une conférence à laquelle j'ai assisté et donnée par une responsable du concours Passerelle
Je me suis dirigée dans la diététique car c’est un métier d’avenir. De plus en plus de personne souffre de pathologie en lien avec l’alimentation et je trouvais cela normal d’apprendre ce métier afin de pouvoir leur venir en aide. En diététique, il y a toujours des choses à apprendre plus intéressantes les unes que les autres et c’est ça qui me plaît !
Au sortir de la terminale, les contours de mon orientation restaient encore flous. J'avais tenté le concours commun des IEP sans trop me préparer à l'épreuve, espérant m'en sortir sans avoir trop travailler les sujets au préalable. Bien entendu, cette expérience s'est soldé par un échec. Je n'ai pourtant pas pour autant renoncé à mon objectif d'entrer au sein de la formation Sciences Po. Cette formation représentait à mes yeux une opportunité de bénéficier d'un enseignement pluridisciplinaire, stimulant intellectuellement et ouvrant sur le monde (j'ai été particulièrement séduite par la 3ème année à l'étranger obligatoire) . N'ayant aucun domaine spécifique dans lequel je voulais axer mes études, tout comme n'ayant aucune vocation à exercer tel ou tel métier, j'ai donc décidé de poursuivre cet objectif : réussir le concours commun aux IEP. En recherchant les diverses formations qui permettaient de préparer à ce concours, j'ai découvert celle de l'Université de Lille. L'Université de Lille proposait une classe préparatoire aux concours des IEP adossé à une licence soit d'Histoire, de Littérature ou de Philosophie. Cette formation étant limité en nombre de place, les candidats étaient acceptés sur dossier et lettre de motivation. Alors que les premières réponses d'APB (ancêtre de parcoursup) sont tombées, je me suis retrouvée en liste d'attente sur cette formation. A défaut d'avoir connu parcoursup, j'ai connu la période d'incertitude resultant de la "première phase" qui nous laisse désorienté et anxieux quant à notre avenir. Néanmoins, j'ai finalement eu la chance d'être accepté dans cette formation. Rapidement, la qualité des enseignements dispensés nous ont permis d'acquérir un savoir et une méthodologie efficace, qui me servent encore aujourd'hui dans mes études. Nous étions répartis en 3 classes avec de petits effectifs, permettant de mettre en place un véritable accompagnement des élèves par les enseignants. Cette année en classe préparatoire, m'a permis d'élaborer de nouvelles méthodes de travail, plus particulièrement celle de travail de groupe. La solidarité et l'entraide sont de mise au sein de la formation, se préparer au concours est une activité qui s'exerce en groupe, en se stimulant entre nous, en débattant ensemble. Ainsi, je considère cette formation comme un atout, un atout pour l'ouverture culturel qu'elle nous procure, un atout pour l'enseignement dont elle nous dispense et la méthodologie qu'elle nous pousse à appliquer. Les matières abordées concernent les matières du concours, à savoir histoire, anglais, espagnol, culture générale... auxquelles s'ajoutent celle de la licence choisie. Bien évidemment, on ne peut parler de cette formation sans parler de la rigueur et de l'assiduité au travail qu'elle implique. Néanmoins, son modèle reste calqué sur celui de l'Université, c'est-à-dire que le travail demandé est avant tout du travail personnel nécessitant recherches et lectures. Par conséquent, il y a peu de "devoir maison" car l'on considère que le travail est avant tout un investissement personnel. A défaut de "devoir maison", des concours blancs ont lieu très souvent en fin de semaine. Si à la fin de l'année tout le monde n'a pas eu la chance de réussir les concours, l'apport de cette formation reste non-négligeable et continue à nous aider quelque soit notre orientation. J'ajouterais que le fait de partir loin de chez soi pour les études, n'est certes pas facile au départ, mais permet de se construire de façon autonome et indépendant plus rapidement. Loin de souffrir de solitude dans une ville que je ne connaissais pas, cette année à l'Université de Lille m'a permis de me construire comme personne autonome et de faire de très belles connaissances.
Au sortir de la terminale, les contours de mon orientation restaient encore flous. J'avais tenté le concours commun des IEP sans trop me préparer à l'épreuve, espérant m'en sortir sans avoir trop travailler les sujets au préalable. Bien entendu, cette expérience s'est soldé par un échec. Je n'ai pourtant pas pour autant renoncé à mon objectif d'entrer au sein de la formation Sciences Po. Cette formation représentait à mes yeux une opportunité de bénéficier d'un enseignement pluridisciplinaire, stimulant intellectuellement et ouvrant sur le monde (j'ai été particulièrement séduite par la 3ème année à l'étranger obligatoire) . N'ayant aucun domaine spécifique dans lequel je voulais axer mes études, tout comme n'ayant aucune vocation à exercer tel ou tel métier, j'ai donc décidé de poursuivre cet objectif : réussir le concours commun aux IEP. En recherchant les diverses formations qui permettaient de préparer à ce concours, j'ai découvert celle de l'Université de Lille. L'Université de Lille proposait une classe préparatoire aux concours des IEP adossé à une licence soit d'Histoire, de Littérature ou de Philosophie. Cette formation étant limité en nombre de place, les candidats étaient acceptés sur dossier et lettre de motivation. Alors que les premières réponses d'APB (ancêtre de parcoursup) sont tombées, je me suis retrouvée en liste d'attente sur cette formation. A défaut d'avoir connu parcoursup, j'ai connu la période d'incertitude resultant de la "première phase" qui nous laisse désorienté et anxieux quant à notre avenir. Néanmoins, j'ai finalement eu la chance d'être accepté dans cette formation. Rapidement, la qualité des enseignements dispensés nous ont permis d'acquérir un savoir et une méthodologie efficace, qui me servent encore aujourd'hui dans mes études. Nous étions répartis en 3 classes avec de petits effectifs, permettant de mettre en place un véritable accompagnement des élèves par les enseignants. Cette année en classe préparatoire, m'a permis d'élaborer de nouvelles méthodes de travail, plus particulièrement celle de travail de groupe. La solidarité et l'entraide sont de mise au sein de la formation, se préparer au concours est une activité qui s'exerce en groupe, en se stimulant les uns des autres, en débattant ensemble. Ainsi, je considère cette formation comme un atout, un atout pour l'ouverture culturel qu'elle nous procure, un atout pour l'enseignement dont elle nous dispense et la méthodologie qu'elle nous pousse à appliquer. Les matières abordées concernent les matières du concours, à savoir histoire, anglais, espagnol, culture générale... auxquelles s'ajoutent celle de la licence choisie. Bien évidemment, on ne peut parler de cette formation sans parler de la rigueur et de l'assiduité au travail qu'elle implique. Néanmoins, son modèle reste calqué sur celui de l'Université, c'est-à-dire que le travail demandé est avant tout du travail personnel nécessitant recherches et lectures. Par conséquent, il y a peu de "devoir maison" car l'on considère que le travail est avant tout un investissement personnel.
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N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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