Choisir Paris 1 c'est avant tout choisir un enseignement de qualité. En effet, Paris 1 est l'une si ce n'est la meilleure université de France quelque soit la matière enseignée. Choisir Gestion à Paris 1, c'est choisir les meilleurs profs de ton domaine. Les professeurs sont des enseignants/chercheurs, des professionnels reconnus dans leurs domaines en France et à l'étranger. Un exemple : Le professeur de droit public a été diplomate à Bruxelles, il est membre du Conseil d'Etat (la plus hautes juridiction administrative). Il faut savoir aussi que les profs d'université font cours dans les écoles de commerce et il est obligatoire d'avoir un prof d'université dans les jurys d'examens.
Choisir Paris 1, c'est choisir une université reconnue à l'internationale. En comparaison, Dauphine est surtout connue en France. Si tu veux travailler à l'étranger, c'est Paris 1 qu'il te faut! Des étudiants du monde entier postulent chaque année pour Paris 1, venant de Chine, d'Europe de l'Est, du Moyen-Orient, d'Amerique latine... Dans certains pays, Paris 1 représente le Graal des universités. Chosir Paris 1, c'est faire des rencontres culturelles enrichissantes.
Choisir Paris 1, c'est aussi choisir une université plutôt qu'une école de commerce ou Dauphine. En choisissant l'université, tu peux étudier sans débourser une fortune dans tes études en étant sûr de trouver un emploi à la clé dans ton domaine. Les écoles de commerce sont souvent hors de prix, tout le monde ne peut pas se le permettre. D'autant plus qu'avec certaines tu vas débourser sans trouver d'emploi à la fin de tes études. En allant à l'université, tu dois seulement payer les droits d'inscriptions (environ 250€/an) contre +10 000€ pour une école de commerce et à mutliplier par le nombre d'années d'études!
Si tu choisis de faire un Master (5 ans) à Paris1 après une licence de Gestion, tu es quasiment sûr de trouver un emploi. Beaucoup sont recrutés avant même d'avoir fini leur dernière année d'étude. Tu ressortiras de paris 1 avec un diplôme de qualité, très apprécié des employeurs! Tu trouveras à coup sûr un métier intéressant et bien payé! De plus en plus, la formation gestion à paris 1 se rapproche de celle des écoles de commerces. Il n'y a plus seulement les connaissances, les stages sont fortement recommandés et encouragés tout comme les années de césure (partir étudier à l'étranger/travailler), ce qui permet de se perfectionner dans les langues et avoir de l'expérience professionnelle
L'université fonctionne différemment des écoles de commerces mais s'en rapproche de plus en plus. Tu n'as pas cours toute la journée comme en école. Attention cela ne veut pas dire qu'on y travaille pas. Les heures de cours sont réduites mais il y a beaucoup de travail à la maison. En gestion tu n'as pas seulement des cours mais aussi des TD (travaux dirigés). C'est quoi un TD? On te demande pour chaque semaine de préparer des exercices qui seront corrigés en groupe de 30 comme au lycée avec un chargé de TD (comme un professeur). Contrairement aux écoles, il est plus facile d'avoir un job étudiant. (Privilégie quand même tes études)
Ah, la classe prépa... Que de fantasmes et d'idées (plus ou moins avérées) derrière quatre lettres : CPGE, Classe Préparatoire aux Grandes Ecoles. La prépa, qu'est-ce que c'est ? Reconstitution. Septembre. Jeune bachelier, 17-18 ans, le sourire aux lèvres et la mention en poche, tu franchis le seuil d'un lycée, encore. Qu'il soit le tiens ou non, les murs, les salles de classe, la cantine restent les mêmes que ceux que tu as connu pendant trois ans. Tu es parti pour deux, voire trois ans supplémentaires dans un établissement scolaire. Du lundi au vendredi, de 8h à 18h, des cours. De 17 à 20h, des khôlles, oraux en face à face avec un professeur qui permettent de tester tes connaissances dans chaque matière de ton programme. Le samedi, jusqu'à midi ou 14h, des DS, ou DST. L'angoisse de la page blanche. Des notes qui dégringolent, et qui peinent à remonter. Une belle équipe, qui se soutient. Beaucoup, beaucoup de travail, mais des professeurs passionnants et des cours intéressants. Une bonne école à la clef. Puisque c'est pour ça que l'on travaille, nous tous. Pour avoir l'école de nos rêves, pour faire partie des quelques 2500 élèves qui intègreront une "parisienne". En 2015, nous étions 45 élèves en première année dans cette deuxième classe d'ECS du lycée Montaigne. On en rêvait, de l'ESSEC ou de HEC. Avant de passer en khôlle de français. Et d'avoir 2/20. Heureusement, l'avantage des khôlles, c'est qu'on est 3. Trois personnes qui, pendant deux ans, vont souffrir ensemble, vont chuchoter nerveusement pendant la préparation pour se souffler les réponses, vont s'excuser mutuellement quand l'un d'eux manque à l'appel. Ça crée des liens. La prépa est un monde cruel pour l'estime de soi. La plupart de mes camarades ont eu mention TB au bac, c'est retour à la case départ. Tout recommence, il est temps d'adopter de nouvelles méthodes de travail, une nouvelle endurance, de devenir un peu plus humble et de ne pas se démotiver. Dès le premier jour, en deuxième heure, on avait commencé le programme de maths. Je n'en croyais pas mes yeux. Je n'avais même pas un stylo. J'ai appris en deux ans à prendre conscience de mes forces et de mes faiblesses, à compter sur les premières et à travailler sur les autres. J'ai appris à compter sur mes camarades, à demander de l'aide, à me reposer quand j'étais fatiguée plutôt que d'étudier jusqu'à 3h la veille d'un concours blanc. J'ai appris que, parfois, même quand on a révisé des heures, ça ne fonctionne pas. J'ai appris que les meilleurs amis se trouvent dans les pires moments. J'ai appris que le monde ne s'écroule pas, même quand on a pas l'école pour laquelle on a tant travaillé. Et qu'on peut quand même garder un super souvenir de 2 ans passés à réviser. La prépa, ce n'est pas facile. Ce n'est pas épanouissant (enfin, pas sur le moment). On est fatigués, il y a des moments où on veut abandonner. Mais en sortant de là, plus on s'en éloigne, plus on se rend compte de ce que ça nous a apporté. Tout paraît facile, après. Et notre confiance en soi est boostée par la fierté de l'avoir fait. On se découvre un amour pour des sujets obscurs, l'envie d'étudier même en dehors de l'école, le pouvoir de déplacer des montagnes pour parvenir à l'objectif qu'on s'est fixé. Je suppose que l'on peut apprendre tout ça, de même que l'amour du travail bien fait, en dehors de la classe prépa. Mais pour moi, c'était l'endroit parfait.
Salut, je m'appelle Clara ! Aujourd'hui, je viens te parler du DUT Génie Biologique que j'ai effectué à BREST. J'y suis rentrée en 2017 suite à un BAC S. J'ai choisi comme option, l'option Analyses Biologiques et Biochimiques. Au cours de ma formation, j'ai pu acquérir de nombreuses connaissances en biologie, biochimie, chimie, statistiques...J'ai découvert la microbiologie. J'ai également acquis de nombreuses compétences techniques ! Le diplôme te permet de travailler en labo médical, de chimie, de recherche...tout ce qui est analyses, expérimentations etc... Eh oui, à la fin de la formation à l'IUT tu es TECHNICIEN DE LABORATOIRE, c'est à dire que tu peux travailler en laboratoire pour des chercheurs et ingénieurs, tu réaliseras les expérimentations, les analyses et tu transmettras tes résultats à ton équipe. A l'IUT c'est 50% manip et 50% théorie donc si tu aimes manipuler et apprendre, fonce en IUT c'est parfait pour toi ! A la fin du DUT GB tu as un stage de 14 semaines à faire. J'ai réalisé mon stage à l'INRA, un labo de recherche en agronomie. Et vraiment, j'ai kiffé. Ca a été pour moi une découverte mais ça m'a également permis de confirmer mon projet pro' (tu sais ce truc dont on te parle tout le temps au lycée, en long, en large et en travers...) Alors si tu veux parler de la formation, de ton projet pro, si t'as des questions...Je t'invite à me contacter, c'est avec plaisir que je répondrai à tes questions ! ;D
Contribuer au rayonnement des projets que l’on me confie par la définition d’une stratégie de communication efficace et sa mise en œuvre, notamment par la création et la publication de contenus, est ce qui me passionne et a guidé mes choix dans mon parcours de formation et dans mes expériences professionnelles et personnelles. Actuellement en Master 1 Marketing Anglais à KEDGE Business School, je vous propose de vous donner un aperçu de tout ce que cette merveilleuse école peut vous apporter. Après l'obtention d'un baccalauréat Économiques et Sociales avec mention et d'un DUT Gestion des Entreprises et des Administrations, j’ai intégré le Programme Grande École de KEDGE Business School à Bordeaux afin de consolider mon projet professionnel notamment dans le domaine de la communication/ marketing. Cette année, j’ai donc décidé de me spécialiser dans le marketing et la communication en choisissant la majeure Marketing Anglais pour mon master. Je suis très investie dans la vie associative de mon école. En effet, je suis community manager de Com'On, l'association d'audiovisuel de KEDGE bs. Mes missions sont de créer des visuels (figés ou vidéos) innovants et attrayants pour nos activités ainsi que de couvrir en photo, les événements mis en place par l’école et ses étudiants. Mon ambition est d’améliorer la visibilité de mon association et de promouvoir la vie étudiante de KEDGE. De plus, la gestion du compte Instagram Com’On (1600 abonnés) me permet d'acquérir une expérience pratique dans la communication digitale. Je suis également responsable communication chez PIX-Photography Contest, le concours annuel de photographie ouvert aux étudiants bordelais. Dans ce cadre, je manage une équipe de 5 personnes, réalise des interviews (membres du jury, parrain de l'édition...), des montages vidéo et des visuels pour les réseaux sociaux et je démarche des professionnels de la photographie. Je suis aussi très intéressée par le domaine de la mode, des cosmétiques et des soins. Je fais d’ailleurs partie du pôle marketing et communication du Koffret by KEOS, un projet étudiant qui conçoit et vend des boxs beauté grâce aux démarchages de marques de cosmétique et de mode éthiques et éco-responsables. Comme vous pouvez le comprendre, Kedge Business School est une école fabuleuse pour développer vos connaissances et les appliquer aux profits de différents projets qui vous anime. Camille, 21 ans, Etudiante en M1 Marketing Anglais à Kedge Business School
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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