Après ma classe prépa, j'ai été admissible dans quelques écoles dont GEM (Grenoble) et KEDGE (Bordeaux et Marseille), puis l'EM ! Gros coup de coeur pendant la visite de l'école pendant les oraux, et pendant les entretiens. Ça a été réciproque, j'ai eu de très bonnes notes à l'oral et du coup j'ai été accepté. Surprise totale, je n'aurais jamais pensé atteindre ce genre d'école !
Les formations dans les écoles de commerce sont toutes à peu près similaires, ce qui compte c'est ce qu'on fait PERSONNELLEMENT de son école. Rapidement, j'ai vu une opportunité pour réaliser des projets personnels, du coup j'ai utilisé le réseau de l'école pour réaliser un projet d'études du comportement entrepreneurial dans 19 pays autour du monde, financé par des partenaires. Bref, j'ai appris à utiliser mon entourage dans ce que je fais au quotidien :)
Réussir à rester concentré sur mes projets personnels. Il est vite tentant en école de commerce de se dire qu'à la sortie, si on choisit le bon métier on aura le bon salaire qui va avec, et tous les avantages à côté quitte à faire quelque chose qui ne nous ressemble pas trop. J'ai préféré faire ce qui me ressemble, quitte à ne pas avoir tous les avantages que pourraient fournir un diplôme d'école de commerce comme l'EMLYON. Savoir rester qui ont est :)
Comme dit précédemment : rester concentré sur ce que je voulais vraiment faire. Les écoles de commerce sont des niches à contacts et bons plans pour ceux qui souhaitent se lancer dans des projets personnels comme des associations ou des entreprises. Il faut juste rester passionné, persévérant et parfois un peu têtu dans ce qu'on fait. Mais au bout du compte, on y arrive toujours, d'une manière ou d'une autre.
J'étais un élève issu d'une prépa provinciale inconnue, et pourtant j'ai réussi à intégrer l'EMLYON en réussissant mes oraux. Pendant mes études à l'EM, j'ai passé plus de deux ans à l'étranger, dont un an à voyager dans des pays en développement avec mon sac-à-dos et mon appareil photo grâce à un projet monter en collaboration avec l'école. Donc si toi aussi tu rêves de réaliser des projets insolites en école de commerce, ou si tu as des doutes sur les oraux d'EMLYON, je suis là pour ça !
C'est un BTS très interessant et complet, cependant, j'ai jugé que mon niveau n'étais pas suffisant aux vues des connaissances scientifiques qu'il nécessitait et notamment un niveau S en maths est recommandé. De plus, il s'agit d'un métier technique et manuel avec des cours d'atelier, qui sont réellement très enrichissants mais pour ma part cela s'avérait trop complexe. J'avais davantage le profil commercial, que technique.
C'est un BTS réellement passionnant, très juridique et très complet. Il nécessite donc travail et rigueur. Cependant, je suis la preuve même qu'avec un BAC totalement opposé à cette voie on peut réellement réussir. Au cours de ces deux années, j'ai pu réaliser 10 semaines de stages qui ont confirmé ma conviction de travailler dans l'immobilier.
La licence de droit science politique m’a beaucoup plu! Hésitant entre une profession juridique et une profession tournée vers le journalisme ou les sciences politiques, cette formation a été un bon compromis! Elle m’a fourni un solide socle de connaissances essentielles en droit ainsi que des connaissances complémentaires dans les matières relevant des relations internationales et des régimes politiques, qui apportent un autre regard sur le monde. En L1, j’avais d’ailleurs des difficultés à assimiler la méthode juridique qui était rigoureuse. Ainsi, les matières de sciences politiques m’ont permis d’être au-dessus de la moyenne et de valider mes semestres! A la fin de ma licence, plusieurs débouchés s'offraient à moi! Que ce soit des masters en droit privé, droit administratif ou sciences politiques. Ce qui est rassurant et laisse le temps de choisir son orientation au terme des trois années de licence.
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec lui
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