La spécialisation d'infirmier anesthésiste m'a toujours attiré depuis mon entrée dans la formation initiale infirmière. J'avais le sentiment de me retrouver dans la description de ce métier. Il fallait de toute façon exercer une certaine durée avant de pouvoir prétendre à passer le concours. Je vous raconte ici mon parcours, mes difficultés et mes débuts dans la formation IADE
Au cours de mes études en soins infirmiers, j'ai eu l'occasion de travailler les week ends à la régulation du SAMU de ma région. C'est durant cette expérience que j'ai pu rencontrer pour la première fois des professionnels infirmiers anesthésistes. L'exercice en SMUR de l'IADE n'étant clairement pas le coeur de métier, je me suis par la suite renseigné sur leur fonction "majeure" d'exercice au bloc opératoire. La valorisation des connaissances, l'aspect technique et l'étroite collaboration avec le médecin anesthésiste réanimateur sont autant d'éléments qui m'attiraient dans cette fonction.
A la suite de mon diplôme, j'ai directement exercé en milieu hospitaliers tels que la neurologie, l'ORL et l'unité de neurologie vasculaire. J'ai exercé pendant 3 ans avant de me décider à passer le concours. Plusieurs éléments ont accélérés ma décision : mon âge (je ne souhaitais pas trop attendre afin de ne pas être bloqué par la suite par des contraintes familiales) et mon envie d'évoluer (j'avais envie de changer de service et je me suis dit que l'anesthésie serait une belle évolution).
Le concours IADE me semblait initialement inaccessible. Comportant une épreuve écrite et orale, je pensais que ma courte expérience et les types de services dans lesquels j'exerçait serait un frein à mon entrée en école. J'ai d'abord acheté des ouvrages préparant au concours. J'ai également pu m'inscrire à un cycle préparatoire au concours IADE. Cela m'a permis de m'entraîner sur les grands thèmes retrouvés au concours et également sur l'épreuve orale. Je me suis inscrit dans les concours de trois écoles d'IADE en France.
Malgré un concours que j'ai trouvé particulièrement difficile, de nombreuses craintes et un stress intense, j'ai réussi à obtenir le concours. Cela m'a permis d'obtenir un financement de la formation par mon centre hospitalier. J'ai débuté la formation avec beaucoup d'entrain et... c'était très sympathique de pouvoir acquérir de nouvelles connaissances mais également très intense ! Le début de formation est très concentré sur la pharmacologie, l'accueil du patient et la préparation du site d'anesthésie. Il me reste encore beaucoup de choses à acquérir avant d'être IADE mais j'accueille la formation avec beaucoup de motivation.
J'ai eu la chance de suivre un Master 2 spécialisé droit international des affaires à l'Université Paris V, et je dois dire que cela a été l'une des expériences les plus enrichissantes de ma vie. Le programme était intense et exigeant, mais également très stimulant et intéressant. Nous avons étudié un large éventail de sujets liés au droit international des affaires, allant de la fiscalité internationale à la résolution des conflits commerciaux internationaux. Les cours étaient dispensés par des enseignants qualifiés et expérimentés de facs internationales (Cornell..), qui ont su rendre les concepts juridiques complexes accessibles et compréhensibles. Le Master 2 nous a également offert des occasions de développer nos compétences pratiques, notamment grâce à des exercices de négociation, des études de cas et des simulations de procès. Nous avons également eu la chance de rencontrer des professionnels de différents secteurs, comme des avocats, des juges et des représentants de grandes entreprises internationales, qui nous ont apporté leur expérience et leur savoir-faire. Dans l'ensemble, je recommande vivement ce Master 2 à tous ceux qui cherchent à développer leurs compétences juridiques et à s'immerger dans le monde complexe et fascinant du droit des affaires international. C'est une année qui m'a beaucoup appris sur le droit, sur les affaires et qui m'a préparé de manière optimale pour traiter des dossiers de droit des affaires au sein de cabinets d'avocats.
Lorsque j'ai intégré le BTS CG, je ne savais pas du tout à quoi m'attendre. Ca a pourtant été l'un des meilleurs choix que j'ai fait. En effet, les BTS peuvent s'effectuer en initial ou en alternance. Intégrer un BTS CG en alternance est compliqué si on a réellement jamais fait de comptabilité avant, ce qui était mon cas. C'est pourquoi je l'ai fait en initial: il m'a permis de réaliser des stages pour une durée totale de 7 semaines qui m'a permis d'acquérir de l'expérience et donc de renforcer mon CV. Ca a été pour moi la découverte de nouvelles matières comme la comptabilité, la fiscalité et le contrôle de gestion qui m'ont ouvert les yeux sur la suite de mon parcours. De plus, mon parcours en BTS s'est fait à la suite d'une année à l'université qui m'a montrée que je ne pouvais pas être sans encadrement scolaire. Je le conseille si vous voulez par la suite travailler, aller en DCG/DSCG ou faire une licence/master professionnel-le dans la fiscalité, le contrôle de gestion ou comme moi, aller en école de commerce où vous aurez un avantage en comptabilité et en gestion.
Mon année à l'université, et plus précisément, en LEA ne s'est pas du tout déroulée comme je l'imaginais. En effet, je pensais que la FAC serait comme dans les films américains alors que pas du tout. Il faut travailler en trouvant des méthodes d'organisation pour le faire, être raisonnable, et aller en cours, et ce même malgré des CM non obligatoires. Pour moi, c'était impossible à l'époque car mon année à la fac a plus ressemblé à une année sabbatique dû au manque d'encadrement que j'ai ressenti même si les professeurs sont de plus en plus présents pour leurs étudiants. Je pense que si comme moi, vous avez besoin d'encadrement et d'organisation, la fac ne sera pas faite pour vous et il faudra trouver une alternative. Concernant les LEA, il faut savoir que quand on intègre le cursus d'une langue jamais pratiquée, on entre en L0 soit, une année où on ne nous enseigne uniquement la langue et l'anglais est toujours enseigné mais grâce aux options. A la fin de cette année, on intègre la L1 où là les cours des différentes langues sont enfin donnés. La L0 est une année très éprouvante, avec des test chaque jour pour vous aider à assimiler la nouvelle langue, ce qui peut être fastidieux et redondant. Il faudra donc être motivé et redoubler d'efforts.
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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