La crise affecte les étudiants. Nous devons faire fasse à une précarité de plus en plus importante. Les cours en distanciels sont maintenus ce qui entraîne des contacts sociaux moindre et un risque de décrochage accru.
Il ne faut pas oublier que des aides existent.
- Les centres de santé restent ouverts. En cas de difficultés ou de détresse le personnel médical et social reste présent pour nous aider et trouver des solutions.
- Il existe des aides financières et alimentaires. Il ne faut pas hésiter à se renseigner auprès des services sociaux.
- Des étudiants ont été recruté dans les résidences universitaires.
- Contre le décrochage, rester en contact avec ses camarades de classe et avec ses professeurs. Il ne faut pas hésiter à exprimer ses difficultés. Pour ma part, je trouve cela difficile de rester attentif et captivé par les cours.
- Contre la fracture numérique, les universités mettent leurs salles informatiques à disposition sur rendez-vous, du prêt de matériel...
- Garder le contact. Il est important de rester en contact avec sa famille, ses amis, ses camarades de classe, ses professeurs, le personnel universitaire... Il est important d'exprimer ses doutes, ses angoisses ou encore ses difficultés à une tiers personne.
- Les étudiants studyadvisor sont également à votre écoute. Nous pouvons mettre à profit notre expérience pour vous aider, vous accompagner et vous orienter en cas de besoin.
En attente de vous lire.
A bientôt.
Le BTS est une formation très intéressante dans la mesure où il représente un bon compromis entre la théorie et la pratique. Les nombreuses semaines de stage permettent d'appliquer la théorie apprise au cours des semaines au lycée et cette dimension du "terrain" est souvent très attractive pour ceux ayant déjà une idée du domaine dans lequel ils voudront exercer au terme de leurs études, ou même pour ceux voulant préciser cette idée.
La classe prépa ? Découvrez la vérité sur ces deux années. Intégrer une classe prépa représente pour beaucoup une véritable pression : "Est-ce que cela est fait pour moi ?" "C'est vrai qu'on a plus de vie en prépa ?" "On ne fait que travailler et déprimer ?" A toutes ces questions, la réponse est NON. La prépa représente une parenthèse incroyable dans une vie. Alors oui cela demande de la rigueur, de l'investissement, du travail. Oui, en prépa, on ne fait pas la fête tous les soirs mais de temps en temps. La prépa est un réel challenge qui vous changera. C'est le moment de vous surpasser, de devenir la meilleure version de vous même. Vous allez découvrir une réelle méthode de travail, comment gérer le stress et également apprendre et approfondir de multiples connaissances. Même si vous n'avez jamais vraiment travailler au lycée, vous allez réussir à prendre le rythme prépa. La prépa en quelques mots c'est donc : une expérience inoubliable, certes beaucoup de travail mais aussi des moments très forts avec vos camarades. Osez !
La classe prépa, tel que tout le monde se la figure, c'est quelque chose d'insurmontable. La légende dit même qu'on en revient pas entier. C'est presque ça, mais en mieux ! La première année, l'adaptation est rude mais une fois le rythme pris tout va mieux. Il faut savoir qu'on étudie les lettres mais aussi l'histoire, la géographie, les langues, la philosophie, les langues anciennes et qu'il y a des options artistiques et parfois pour préparer sciences-po possibles ! J'en garde un excellent souvenir, je me suis vraiment éclatée, on est sans cesse stimulé intellectuellement par les professeurs. D'ailleurs ceux-ci nous encadre de près, on est accompagnés un peu comme au lycée, les effectifs de classes bien qu'ils varient beaucoup d'un lycée à l'autre, sont vraiment réduits par rapport à la FAC, et permettent des échanges aisés avec les professeurs, un accompagnement même personnalisé. À la fin de ma première année (hypakhâgne) bien que j'attendais les vacances d'été avec impatience , j'étais finalement très pressée de replonger dans le bain culturel, laborieux et rigoureux qu'offre la prépa lettres. Il est vrai que ça ne correspond pas à tout le monde, qu'il n'est pas évident de s'imaginer uniquement derrière un bureau pendant 2 ans mais ça en vaut vraiment le coup ! C'est une richesse incroyable, une ouverture d'esprit sur énormément de matières. C'est aussi une richesse méthodologique, avec une pratique de la dissertation très intensive autant à l'oral qu'à l'écrit dans toutes les matières. La prépa offre vraiment deux ans de marathon mais au final ça nous donne une "avance" sur ceux qui ont fait l'université, dans le sens ou ça nous offre une méthode de travail et d'organisation très prisée par les différentes écoles (et il y en a beaucoup) que l'on peut demander à la fin des deux (ou 3) ans. On apprend aussi à bien écrire, et ça c'est précieux, ça fait la différence pour postuler dans le monde du travail. Puis, quand même il faut le dire même si ça fait élitiste, c'est assez prestigieux, on prépare pendant deux ans l'un des concours les plus difficile avec 2,22% d'admissibilité : l'ENS (l'École Normale Supérieure), ça renvoie une image de bosseur, d'étudiant rigoureux qui a reçut une très bonne formation post-bac. Les débouchés sont très vastes, de sciences-po aux écoles de commerces en passant par toutes les licences proposée autour des matières étudiées en prépa. On a une BEL (Banque des Écoles Littéraires) très riche, entre écoles de traduction (ISIT et ESIT), l'École des Chartres, l'École du Louvre, Saint-Cyr... En bref, quand on aime les matières littéraires, il faut envisager la prépa, même si ça fait peur ! Parlez-en avec nous les Advisors mais aussi à vos professeurs, ils sauront vous guider !
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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