Comme toute école cela demande de l'organisation et du travail régulier. Ce domaine est très enrichissant, pour te donner un petit exemple nous avons eu un client qui veut qu'on boot sa marque. Il nous demande comment y parvenir. Nous en tant qu'étudiant nous allons étudier sa marque voir les possibilités et comment on peut developper sa marque pour qu'elle se fasse connaître. Apres avoir fait cela on doit présenter un brief (présentation client concurrence, avantages etc..) pour donner envie au client de prendre ton idée. Tout est dans la créativité et le social.
Pour te donner un petit avant gout d'une école de communication, publicité et marketing les cours sont ciblés sur L'introduction à la marque (matière que j'adore), introduction marketing, économie, Histoire du monde contemporain, anglais, espagnol, tu peux choisir une LV3 pour enrichir ton CV. Il y a aussi des cours pour photoshop, illustartor etc. Tu auras aussi des associations comme BDS, BDA... Tu peux même en créer une ! Tu auras aussi des cours sur comment créer une pub, webdisgn, motiondesign, culture digital, événementiel et relation presse ! Tout pour être prêt lors de l'arrivée dans le monde professionnel.
Comme je l'ai dit au début, cette formation demande de l'organisation car on te demandera souvent des comptes rendu comme les briefs, des revues de presse (ne t'inquiète pas je n'en ai jamais fait non plus nous sommes là pour apprendre). Une chose à savoir et que dans cette formation dès la première année tu découvres les métiers de la communication pour que dès la 3eme année tu te spécialises dans le domaine que tu veux. Et le travail que j'ai a faire chez moi n'est pas une corvée au contraire j'aime le faire et c'est d'autant plus agréable par rapport à l'année dernière crois moi ! Si tu as des questions, prend rdv pour un appel avec moi je serais ravi d'y répondre !
Ah, la classe prépa... Que de fantasmes et d'idées (plus ou moins avérées) derrière quatre lettres : CPGE, Classe Préparatoire aux Grandes Ecoles. La prépa, qu'est-ce que c'est ? Reconstitution. Septembre. Jeune bachelier, 17-18 ans, le sourire aux lèvres et la mention en poche, tu franchis le seuil d'un lycée, encore. Qu'il soit le tiens ou non, les murs, les salles de classe, la cantine restent les mêmes que ceux que tu as connu pendant trois ans. Tu es parti pour deux, voire trois ans supplémentaires dans un établissement scolaire. Du lundi au vendredi, de 8h à 18h, des cours. De 17 à 20h, des khôlles, oraux en face à face avec un professeur qui permettent de tester tes connaissances dans chaque matière de ton programme. Le samedi, jusqu'à midi ou 14h, des DS, ou DST. L'angoisse de la page blanche. Des notes qui dégringolent, et qui peinent à remonter. Une belle équipe, qui se soutient. Beaucoup, beaucoup de travail, mais des professeurs passionnants et des cours intéressants. Une bonne école à la clef. Puisque c'est pour ça que l'on travaille, nous tous. Pour avoir l'école de nos rêves, pour faire partie des quelques 2500 élèves qui intègreront une "parisienne". En 2015, nous étions 45 élèves en première année dans cette deuxième classe d'ECS du lycée Montaigne. On en rêvait, de l'ESSEC ou de HEC. Avant de passer en khôlle de français. Et d'avoir 2/20. Heureusement, l'avantage des khôlles, c'est qu'on est 3. Trois personnes qui, pendant deux ans, vont souffrir ensemble, vont chuchoter nerveusement pendant la préparation pour se souffler les réponses, vont s'excuser mutuellement quand l'un d'eux manque à l'appel. Ça crée des liens. La prépa est un monde cruel pour l'estime de soi. La plupart de mes camarades ont eu mention TB au bac, c'est retour à la case départ. Tout recommence, il est temps d'adopter de nouvelles méthodes de travail, une nouvelle endurance, de devenir un peu plus humble et de ne pas se démotiver. Dès le premier jour, en deuxième heure, on avait commencé le programme de maths. Je n'en croyais pas mes yeux. Je n'avais même pas un stylo. J'ai appris en deux ans à prendre conscience de mes forces et de mes faiblesses, à compter sur les premières et à travailler sur les autres. J'ai appris à compter sur mes camarades, à demander de l'aide, à me reposer quand j'étais fatiguée plutôt que d'étudier jusqu'à 3h la veille d'un concours blanc. J'ai appris que, parfois, même quand on a révisé des heures, ça ne fonctionne pas. J'ai appris que les meilleurs amis se trouvent dans les pires moments. J'ai appris que le monde ne s'écroule pas, même quand on a pas l'école pour laquelle on a tant travaillé. Et qu'on peut quand même garder un super souvenir de 2 ans passés à réviser. La prépa, ce n'est pas facile. Ce n'est pas épanouissant (enfin, pas sur le moment). On est fatigués, il y a des moments où on veut abandonner. Mais en sortant de là, plus on s'en éloigne, plus on se rend compte de ce que ça nous a apporté. Tout paraît facile, après. Et notre confiance en soi est boostée par la fierté de l'avoir fait. On se découvre un amour pour des sujets obscurs, l'envie d'étudier même en dehors de l'école, le pouvoir de déplacer des montagnes pour parvenir à l'objectif qu'on s'est fixé. Je suppose que l'on peut apprendre tout ça, de même que l'amour du travail bien fait, en dehors de la classe prépa. Mais pour moi, c'était l'endroit parfait.
Je viens d'intégrer le master architecture intérieure à lim'art j'en suis très contente même si c'est pas facile tous les jours avec le covid et venant d'un BTS design despace la marche était assez haute mais je pense qu'en travaillant et surtout en s'organisant on peu y arriver. Ce que j'ai le plus dans cette formation ce sont les profs tous des professionnels passionnés qui nous racontent leur anecdotes leur astuce en tant qu'architcte qu'on aurait pas eu avec de simple prof. Les projets sont des projets réels bien concrets que nos profs (1 prof différent à chaque projet) nous partage ce sont leur projet qui sont en train de réaliser ou qu'ils ont realiser on peut donc visiter le lieu lorsqu'il sagit de rénovation nos cours sont assez complets et précis on a aussi pleins d'intervenants sur l utilisation de la lumière dans notre projet de scénographie, sur les habitats écologiques (work shop) et surtout cette ecole propose des ateliers pratique sur differentes thématiques : ceramique, bois, decoupe laser, bricolage, art floral ... suivant les année les atliers changent. On a 2 ateliers par an tous les mercredi en bachelor et 1 par an sur 1mois en master. Le master pouvant être fait en alternance comme moi et c'est très formateur
Salut!J Je suis à l'INSA de Strasbourg en deuxième année et l'année dernière j'étais en prépa intégrée dans cette même école. J'ai trouvé cette année géniale grâce à l'ambiance de l'école. Il fallait certes travailler dur en comparaison avec le lycée, mais il était tout à fait possible de garder une vie à côté des cours. En arrivant en spécialité, j'avais certes de moins bonne bases que les personnes sortant de prépa classique mais le cursus est fait pour ne pas être désavantagé et le retard est vite rattrapé. En prépa intégrée, nous avions donc des semaines avec des horaires similaires au lycée, nous n'avions pas de colles mais des contrôles tous les mercredis. Cela nous forçait à garder un rythme de travail soutenu.
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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