Comment choisir lorsque deux belles opportunités s’offrent à nous ?
1. Se poser la question : qu’est-ce que je veux vraiment ? Ne faut-il pas commencer par peser le contre avant de peser le pour de chaque proposition qui nous est donnée ?
Que ce soit pour le choix d’une formation ou celle d’un emploi savoir ce que l’on veut vraiment peut-être très compliqué surtout lorsque le terrain nous est encore inconnu. Même si pour certains, le projet d’avenir a déjà été conçu depuis longtemps, qui ne s'est jamais posé la question ; suis-je en train de faire le bon choix ? Alors la vraie question à se poser est comment savoir réellement ce qui nous rendrait heureux et nous permettrait de nous épanouir pleinement ? Nous entendons souvent quelles sont vos centres d’intérêts, vos compétences, mais rarement la question de savoir ce qui vous déplaît, vos domaines d’incompétences ou simplement ce qui vous désintéresse
2. Etudier ces opportunités ! Ne pas avoir peur de vous mettre en avant, mais en restant modeste ! Et surtout soyez vous-même.
Bien savoir se renseigner sur ce que recherche le marché de l’emploi est primordiale. Trouver un emploi qui nous plaît est de plus en plus dur, avoir des atouts qui sortent du lot et qui sont recherchés dans le secteur d’activité dans lequel nous souhaitons travailler permet sans aucun doute de faire toute la différence. Pour cela, il faut avant tout en amont étudier les offres (emplois/formations) qui nous sont faites, faire la liste de ce que nous pouvons mettre en avant lors de notre futur entretien avec le recruteur. Ceci peut sembler simple, mais beaucoup moins lorsque nous avons du mal à rédiger cette liste par manque d’expérience, de formation ou tout simplement, car nous ne savons pas tout à fait comment nous mettre en avant. Le meilleur conseille que je peux vous donner est donc d’étudier chaque phrase, chaque mot dans son ensemble et de voir comment ceux-ci peuvent être assimilés à nos activités diverses et variées (loisirs, bénévolat, jobs étudiants, etc…).
3. Rechercher l’intérêt que je peux en tirer ? L’étape finale représente notre but réel.
Faire tout votre possible pour montrer que vous correspondez au profil recherché, OUI ! Mais, ne vous oubliez pas, penser avant tous à vous et rappelez-vous ce que vous voulez vraiment, garder en tête vos objectifs et vos projets. Enfin, la question à se poser et bel et bien, est-ce que je prends le bon chemin, m’amènera-t-il à mes objectifs ? Schématiquement, nous ne pouvons pas passer du premier étage au troisième sans passer par le second, lorsqu’il s’agit de nos objectifs, c’est pareil, il y a toujours des étapes transversales, moins importantes que l’étape finale, mais qui sont nécessaires.
4.Pour conclure ! N’oubliez surtout pas que dans les meilleures des cas, vous trouverez votre voie rapidement et si ça n’est pas le cas nous avons la vie devant nous pour réaliser nos projets.
Le principal n’est donc pas de savoir par où on passe, les moyens sont divers et variés et plus ou moins long tel un trajet d’un point A à un point B qui peut se faire en voiture ou en train l’importance est le point d’arrivée, ce point est votre objectif garder le toujours en tête ! Et si vous vous posez toujours la question de savoir si vous ne vous faites pas des illusions sur l’opportunité qui vous est offerte, je vous répondrais n’ayez pas peur de prendre des risques, essayer, tenter le coup et n’ayez surtout pas peur d’être déçu ! Ceci est une expérience supplémentaire qui forgera vos choix futurs.
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- Nos témoignages
Sarah, 26 ans
Marketing
Je suis actuellement en Master manager de projet marketing au sein de L'IFCE Strasbourg, cependant mon diplôme est délivré par ECEMA LYON qui est une école de commerce classée dans le top 30 des écoles de commerce en France. Cette formation en alternance me permet de mettre en pratique la théorie dans un milieu professionnel. L'école est assez présente pour vous aider à trouver une alternance, d'ailleurs c'est elle qui a proposé mon CV à l'entreprise dans laquelle je travaille actuellement. Nous avons effectue de nombreux travaux de groupe en classe l'année dernière. Cette année, nous devons effectuer un challenge de créativité, et un projet pour le compte d'une entreprise ou une association. L'année est très remplie car je dois aussi effectuer mon mémoire de fin d'année pour valider mon diplôme !
Pauline, 23 ans
Prépa A/L - Hypokhâgne et Khâgne
La classe prépa, tel que tout le monde se la figure, c'est quelque chose d'insurmontable. La légende dit même qu'on en revient pas entier. C'est presque ça, mais en mieux ! La première année, l'adaptation est rude mais une fois le rythme pris tout va mieux. Il faut savoir qu'on étudie les lettres mais aussi l'histoire, la géographie, les langues, la philosophie, les langues anciennes et qu'il y a des options artistiques et parfois pour préparer sciences-po possibles ! J'en garde un excellent souvenir, je me suis vraiment éclatée, on est sans cesse stimulé intellectuellement par les professeurs. D'ailleurs ceux-ci nous encadre de près, on est accompagnés un peu comme au lycée, les effectifs de classes bien qu'ils varient beaucoup d'un lycée à l'autre, sont vraiment réduits par rapport à la FAC, et permettent des échanges aisés avec les professeurs, un accompagnement même personnalisé. À la fin de ma première année (hypakhâgne) bien que j'attendais les vacances d'été avec impatience , j'étais finalement très pressée de replonger dans le bain culturel, laborieux et rigoureux qu'offre la prépa lettres. Il est vrai que ça ne correspond pas à tout le monde, qu'il n'est pas évident de s'imaginer uniquement derrière un bureau pendant 2 ans mais ça en vaut vraiment le coup ! C'est une richesse incroyable, une ouverture d'esprit sur énormément de matières. C'est aussi une richesse méthodologique, avec une pratique de la dissertation très intensive autant à l'oral qu'à l'écrit dans toutes les matières. La prépa offre vraiment deux ans de marathon mais au final ça nous donne une "avance" sur ceux qui ont fait l'université, dans le sens ou ça nous offre une méthode de travail et d'organisation très prisée par les différentes écoles (et il y en a beaucoup) que l'on peut demander à la fin des deux (ou 3) ans. On apprend aussi à bien écrire, et ça c'est précieux, ça fait la différence pour postuler dans le monde du travail. Puis, quand même il faut le dire même si ça fait élitiste, c'est assez prestigieux, on prépare pendant deux ans l'un des concours les plus difficile avec 2,22% d'admissibilité : l'ENS (l'École Normale Supérieure), ça renvoie une image de bosseur, d'étudiant rigoureux qui a reçut une très bonne formation post-bac. Les débouchés sont très vastes, de sciences-po aux écoles de commerces en passant par toutes les licences proposée autour des matières étudiées en prépa. On a une BEL (Banque des Écoles Littéraires) très riche, entre écoles de traduction (ISIT et ESIT), l'École des Chartres, l'École du Louvre, Saint-Cyr... En bref, quand on aime les matières littéraires, il faut envisager la prépa, même si ça fait peur ! Parlez-en avec nous les Advisors mais aussi à vos professeurs, ils sauront vous guider !
Pauline, 23 ans
Prépa A/L - Hypokhâgne et Khâgne
La classe prépa, tel que tout le monde se la figure, c'est quelque chose d'insurmontable. La légende dit même qu'on en revient pas entier. C'est presque ça, mais en mieux ! La première année, l'adaptation est rude mais une fois le rythme pris tout va mieux. J'en garde un excellent souvenir et bien que j'attendais les vacances d'été avec impatience, j'étais très pressée de replonger dans le bain culturel, laborieux et rigoureux qu'offre la prépa lettres. Il est vrai que ça ne correspond pas à tout le monde, qu'il n'est pas évident de s'imaginer uniquement derrière un bureau pendant 2 ans mais ça en vaut vraiment le coup ! C'est une richesse incroyable, une ouverture d'esprit sur énormément de matières. C'est aussi une richesse méthodologique incroyable. La prépa offre vraiment deux ans de marathon
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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