Parce que les internautes sont très sensibles aux images !
Que ce soit sur votre blog, votre site Internet ou vos réseaux sociaux, les visuels délivrent un message, ils captivent l’attention et jouent un rôle important sur l’action. C’est eux qui donneront envie aux internautes de cliquer sur votre lien ou de poursuivre leur navigation.
Et pour trouver de belles photos, inutile de payer une fortune ! Il existe des banques d’images gratuites et parfaitement exploitables.
Avec plus de 860 000 photos totalement libres de droits, Pixabay est une véritable référence. Tous y est gratuit et ouvert à une utilisation commerciale. La qualité est au rendez-vous, tout comme la variété. En plus, il n’est pas obligatoire de s’inscrire pour télécharger les photos.
Venue du Canada, la banque d’images Unsplash regroupe plus de 25 000 photographes qui alimentent ponctuellement ou régulièrement le site. Les startups en abusent pour leur site web comme pour leur support papier.
Rien que pour le plaisir des yeux, cette banque d’images est à découvrir ! Sachez que tout le monde peut profiter des sublimes photos d’Unsplash pour un usage commercial ou personnel.
FreeJPG est une banque d’images qui propose plus de 11 000 photos très actuelles et de grande qualité.
Pour trouver les visuels qui illustreront vos contenus web, vous pouvez choisir parmi plus d’une vingtaine de catégories (animaux, architecture, paysage, médical, amour, musique, sport…) !
Ce site vous offre notamment la possibilité de trier les images par couleur. Très pratique, Freejpg est un atout pour enrichir votre blog ou vos réseaux sociaux.
Pexels est une banque d’images qui se distingue par la qualité de ses photos. Celles-ci sont libres de droits et compatibles avec une utilisation commerciale.
Bien qu’il n’y ait « que » 25 000 photos, il est difficile de faire son choix parmi les clichés colorés, contemporains et parfaitement en accord avec les besoins d’aujourd’hui.
Je suis en première année d'études à EPITA Rennes, en prépa intégrée, année qu'on appelle SUP. A la base je viens de la Réunion et je ne suis pas habitué du tout au climat de la métropole, encore moins du climat breton en hiver. Parfois se lever tous les lundis matins à 6h30 pour des QCM à points négatifs était très déprimant : il fait encore nuit, froid et je vais me taper une mauvaise note, encore. Le travail est particulier, les QCM de certaines matières, en particulier maths, algorithmique, et physique se révisent en ligne sur des mini moocs appelés Mimos. Ce système de classe inversée est pratique car on a moins d'heures en présentiel mais il m'a fallu apprendre à travailler à la maison. En revanche je n'arrivais pas encore bien à travailler chez moi, j'avais besoin d'une distinction entre le travail et la maison. C'est alors que j'ai découverts les avantages de l'école et de la vie étudiante : Rien n'empêche dans la journée quand on a pas cours de travailler à la bibliothèque, ou encore mieux, de revenir à l'école. À EPITA, la carte étudiante constitue un badge qui nous permet d'accéder à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit, qu'importe le jour, aux salles informatiques et aux réfectoire, les tables servant d'openspace. Certes partir de chez soi la nuit ou rester à l'école jusqu'à tard est contraignant, mais être forcé d'y rester 50h par semaine le serait plus à mon avis. Tandis que là il y a en moyenne 25h de cours par semaine en présentiel, le reste c'est à chacun de gérer son travail en fonction de ses aptitudes. Après un premier semestre marqués d'absences et de mauvaises notes en QCM et en contrôles de TD, j'ai pu remonter la pente et ait finit par m'attacher à cette école. EPITA Rennes est la plus petite des EPITA, et la proximité entre les professeurs, les élèves, et l'administration est grande, et cela crée un sentiment de bien être malgré la charge de travail.
De 2016 à 2018, j'ai effectué un BTS Communication. Important : à titre personnel je l'ai fait en formation initiale, mais cette formation existe aussi en alternance selon les établissements. C'était un choix un peu hasardeux pour moi à l'époque : avant ce BTS je ne savais pas trop quoi faire, j'avais tenté une année de fac qui s'était soldée par un échec, je ne savais pas trop ce qui me plairait assez pour en faire mon métier, ... Je me suis tournée vers ce BTS pour 2 raisons : premièrement parce que je voulais tenter un cursus court, professionnalisant et concret, car j'en avait assez de la théorie déconnectée de la réalité ; et deuxièmement parce que j'avais déjà eu l'occasion de faire un peu de communication dans le cadre d'une association lycéenne, et que ça m'avait plu. En faisant ce BTS, j'ai vraiment trouvé ce que j'étais venu y chercher. Ce qui m'a plu, contrairement au lycée ou à la fac, c'était de voir vraiment et rapidement l'utilité de ce que j'apprenais. En BTS, on fonctionne beaucoup par projets, et en partenariat avec des vrais organismes (entreprisses, associations, collectivités locales). Du coup, la majorité de nos cas d'études était des cas réels, pas des exemples fictifs, et on voyait vraiment les retombées de nos actions. C'est très valorisant de se rendre utile et de prendre conscience de l'impact de son travail ! C'est une source de stress parfois, mais on est aussi très bien encadré par les professeurs généralement, qui sont là pour nous aider si on galère vraiment. Il y a deux grandes catégories de matières : - Le socle commun à tous les BTS : LV1 Anglais, Droit, Economie, Management. Pour ces matières, il n'est pas nécessaire de bien s'y connaître, puisque le programme reprend les notions de base. - Les matières spécifiques au BTS Communication : Culture de la communication (en gros, de la culture générale), Veille opérationnelle, Projet de communication et atelier de production (où on nous enseigne comment choisir et créer des supports de communication adaptés), Atelier relation commerciale et Conseil relation annonceur (où on nous apprend comment négocier avec un client pour aboutir à la signature d'un contrat). Et dans la plupart des établissements, une LV2 optionnelle est possible (et peut rapporter des points faciles à l'examen). Il y a également 12 semaines de stage obligatoire au total sur 2 ans, généralement divisées en 2 périodes distinctes. Certains établissements en imposent plus : dans mon cas, j'ai fait 20 semaine de stage en tout ! C'est un vrai plus sur mon CV aujourd'hui, comparé à des amies qui sortent de fac et n'ont jamais travaillé. Et comme on peut faire ces stages dans des lieux très variés (service communication d'une entreprise, d'une mairie, agence de communication, associations), si on se motive ils ne sont pas trop compliqué à trouver. Selon moi les principales qualités à avoir (ou développer) pour réussir en BTS Communication sont : la motivation, l'assiduité, l'organisation, la créativité (mais pas besoin d'être un grand artiste, juste de s'intéresser un peu à ce qui se fait et essayer d'avoir des idées neuves). Il faut aussi savoir gérer son stress, parce qu'on alterne des périodes assez tranquilles avec des périodes de gros rush de fin de projet. Mais c'est comme tout, ça s'apprend aussi au fur et à mesure. Le défaut de cette formation c'est peut-être le fait que, puisqu'elle est intégré à un lycée, on est encore considéré comme des élèves, et pas vraiment comme des étudiants. Cela a ses bons et ses mauvais côtés : à la fois on nous materne beaucoup, donc on ne se sent jamais abandonné dans la nature, et à la fois on est un peu "fliqué" parfois. Mais personnellement, cela m'a apprit une rigueur de travail que je n'arrivait pas à m'imposer à la fac. Et à l'issu de mon BTS, puisque j'avais acquis une meilleur méthode de travail, j'ai même pu retourner à la fac pour faire un Bac+3 et un Bac+5, avec succès ! J'espère que mon témoignage vous aura été utile, n'hésitez pas à prendre rendez-vous avec moi si vous avez plus de questions !
L'Université ouvre l'étudiant à plein de possibilités avec un programme à la fois général et spécifique. Un diplôme Master donc niveau Bac+5 est techniquement équivalent à un diplôme d'Ingénieur, même si les employeurs auront plus tendance à favoriser les noms des grandes écoles qu'ils connaissent. C'est pour ça qu'il faut aussi montrer sa motivation et montrer ce que l'on sait faire.
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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