Quelques fois, du moins, quand les filières S, ES et L existaient encore au lycée, on s'orientait un peu en fonction des notes ou de nos afinités dans certaines matières. Moi, on m'a littéralement forcé. Très bonne élève en Seconde, je pouvais faire un peu tout ce qui me plaisait. Comme beaucoup, en fin de Seconde, je ne savais pas du tout quoi choisir ni ce que je voulais faire plus tard.
Par défaut, mes professeurs et mes parents m'ont indiqué de faire un bac orienté scientifique avec des maths, de la physique-chimie et de la SVT à gogo. Je n'avais rien pu dire car, pour mes parents ce n'était pas à moi de choisir si je ne savais pas quoi faire. "Tu es bonne élève donc quite à changer quand tu entreras dans le supérieur. Toutes les portes te seront ouvertes dans tous les cas...", m'avait-on dit.
Sauf que je détestais les maths et la physique...
Ma Première et ma Terminale furent très dures tant au niveau scolaire que moral. Je n'aimais pas les maths, ne comprennais pas et par conséquence, j'avais des notes en dessous de la moyenne. Il se passait la même chose pour la physique sauf que je me débrouillais bien dans la partie chimie pour faire des expériences donc ça allait plutôt bien du point de vue des notes. Je passais presque 11 heures dans des matières qui ne m'attiraient pas du tout donc on peut vite imaginer que le moral baisse plus vite surtout si les profs n'essaient pas de vous encourager ou de vous faire aimer leur matière car certains partent du principe que si on avait choisi S, c'est parce qu'on voulait être là.
Parmi ces innombrables heures scientifiques, j'avais réussi à trouver refuge dans les cours de langues. Ma capacité à reproduire les accents des langues que j'étudiais à savoir l'anglais, l'espagnol en LV2 et l'italien en LV3 y a sûremement joué un rôle très important. Mes profs de langues étaient ceux qui m'encourageaient le plus et qui me disaient que j'avais tout à fait ma place dans des études de langues.
Alors en terminale, sur anciennement Admission Post-Bac (aujourd'hui Parcoursup), je m'étais inscrite, à la volonté de mes parents, en double licence LEA anglais italien et Managment Sciences-Humaines à l'Université Lyon 3. Ce fut une bonne et une mauvaise décision car mes notes de langues au Bac m'avait montré que les langues étaient un domaines dans lequel je pourrais évoluer mais j'avais dû choisir sous quelque chose qui plaisait à mes parents et pas à moi-même.
Quand j'ai fait mes premiers pas à l'université et dans ma double licence, on m'a très vite orienté sur la partie management plutôt que langue en me disant que les langues n'offraient aucun avenir. Je m'étais retrouvée avec plus de cours d'économie, de droit ou de management que de traduction, grammaire ou civilisation. Déçue par cette approche non balancée sur cette double licence, je l'ai arrêté après un an d'essai et j'ai recommencé à zéro ma LEA en me concentrant sur ce qui me plaisait. J'ai fini ma licence à l'Université Catholique de Lyon, à l'ESTRI car ils proposaient un échange universitaire ou un stage obligatoire en fin de L3 et qu'on était bien moins nombreux que sur les bancs de Lyon 3. Au fil de ma LEA, je me suis rendue compte que ce type de licence ouvrait plein de voie. On pouvait s'orienter dans les relations internationales, dans le droit international, le marketing, la communication, l'événementiel, l'interprétariat, la traduction...
Ce qui ma fait tiquer pour continuer, c'est la traduction. Cette discipline rassemble plusieurs éléments qui sont, à mes yeux, essentiels : la combinaison linguistique, d'un certain point de vue l'aide au public et la transmition d'un message. Alors, c'est avec cette optique que j'ai intégrer en septembre 2020 un master de traduction à Strasbourg.
Pour conclure la présentation de mon parcours un peu atypique vers la traduction, je retiendrai toute ma vie que personne n'a le droit de décider les études d'autrui et de les emmener vers des filières qui ne leur correspondent pas. Sachez cependant que des parents souhaitent simplement le meilleur pour leurs enfants, même si les choix divergent. Il faut arriver à leur prouver pourquoi on est fait pour ce que l'on choisi d'étudier.
Certes, aujourd'hui avec la réforme du Bac, il est beaucoup plus simple de choisir les options que l'on veut étudier mais rien n'empêche que si on veut se réorienter, il y a toujours une solution et des personnes qui vous encouragerons à le faire.
Je suis vraiment contente d'avoir fait ce bac pro ASSP ainsi que cette formation aide soignante. Aujourd'hui, je vis de ma passion.
J'ai eu la chance de pouvoir étudier en LLCE Anglais à l'université de bordeaux Montaigne, tout d'abord pour aller dans cette licence il faut vraiment aimer l'anglais sous tous ses angles et en apprendre tous les jours que ce soit vocabulaire, phonétique et civilisation et surtout littérature Bon ce n'est pas avec une LLCE anglais que vous saurez parler anglais, il faut déjà avoir de bonnes connaissances pour entrer dans cette licence car dès l'arriver vous devais traduire des textes avec beaucoup de mots que l'on ne connais pas forcement en sortant de terminale, ensuite on a la phonétique qui est très dur et qui ne sert pas tellement à grand chose autant passer 1 semaine en Angleterre et vous en apprendrez autant, ensuite vous avez le vocabulaire, on vous fais apprendre des pages de vocabulaire par coeur ce qui est clairement inutile car dans 1 mois vous aurez tout oublier. Ensuite vous avez aussi la littérature et la civilisation qui reste les seuls cours interessants
AMOS Sport Business School 25 février 2020 Le sport et le business : LE SPORT EST AUJOURD'HUI UNE ÉCONOMIE À PART ENTIÈRE Il représente un vivier d'emploi sur avec de nombreuses opportunités de carrières pour des passionnés. Nos liens avec les professionnels et les entreprises du sport nous permettent de nous développer et de nous professionnaliser. Devenir expert en Sport management Parce que les pratiques sportives évoluent et que le secteur se professionnalise, nous travaillons au quotidien avec les organisations sportives pour concevoir des formations en réponse aux besoins du marché. TRAVAILLER DANS LE SPORT IMPLIQUE DE SE FORMER DANS UN SECTEUR QUI RECHERCHE DE PLUS EN PLUS D’EXPERTS ET QUI PROPOSE DE RÉELLES PERSPECTIVES D’ÉVOLUTIONS PROFESSIONNELLES. Le programme Les formations intègrent 3 éléments essentiels : Des cours fondamentaux : management, marketing, communication, gestion, finance, droit, événementiel, entrepreneuriat,ext... L'ouverture à l'international: un cursus international, des séminaires à l'étranger, etc. La multiplication des expériences professionnelles comme tremplin à l'emploi La vision d’Amos : Nous sommes persuadés que la passion ne se limite pas à notre temps libre, qu'elle peut aussi se vivre au quotidien dans le cadre de notre métier. Nous savons aussi par expérience que les passionnés de sport sont en général des passionnés tout court, qu'ils ont besoin de trouver du sens aux métiers qu'ils exerceront. Alors le meilleur que l'on puisse proposer en tant qu'école, c'est d'amener à croire en vos rêves et de vous donner les moyens de les réaliser. Le sport une passion, un métier : Intégrer AMOS, c’est faire le choix d’une école portée sur la recherche des compétences nécessaires et indispensables pour exercer les métiers d’aujourd’hui et de demain dans l’univers du sport. Le sport, comme beaucoup de secteur passion, se structure, se professionnalise et recherche de nouveaux profils qui allient compétences professionnelles et connaissance du secteur : le sport n’est pas un business comme les autres !
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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