Après avoir passé des heures et des heures à chercher quelle formation tu souhaites faire parmi toutes celles que l'enseignement supérieur propose, tu as enfin trouvé ! Mais où la faire ? Pour cela, je te conseille le site suivant : "onisep.fr". Il s'agit d'une plateforme répertoriant toutes les formations pré et post-bac comme les lycées, mais aussi les BTS ou DUT par exemple. A chaque formation sa fiche, ainsi que tous les établissements dans lesquels sont proposés cette formation dans l'onglet "où se former" de la fiche formation. Après, pour savoir réellement dans quel établissement tu souhaites aller, il y a différents profils et les voici. Trouve celui qui te correspond.
Ces personnes-là ont tendance à donc ne pas trop s'éloigner du domicile familial pour espérer pouvoir rentrer le plus souvent possible. Il est vrai que de quitter le nid familial pour certaines personnes peut s'avérer plus dur qu'on ne le pense. Vivre seul(e) du jour au lendemain peut être dur. Si tu fais partie de ce genre de personnes, voilà ce que je te conseille : dans l'onglet "où se former" dont je parlais précédemment, recherche les établissements qui ne se situent pas trop loin de chez toi. Généralement, les parents ne veulent pas faire énormément d'heures de route pour venir nous voir (même si nous sommes leurs enfants !), ça tourne le plus souvent à max 3 ou 4h selon les parents.
Mais, pense aussi à toi. Si tu tiens à rentrer vraiment genre tous les weekends ou presque chez tes parents, ne prend pas plus de 2h de route qui vous sépareraient car de faire le voyage est quelque chose de fatiguant, d'autant plus quand tu as ta semaine dans les pattes. Alors, ouvre un onglet de ton navigateur dans lequel tu mettras Google Maps et en prenant comme point de départ (ou point d'arrivée peu importe) ton domicile, tu pourras voir combien de temps de route il y a entre ton domicile et la ville que tu as potentiellement choisi.
Certaines personnes n'ont pas envie de rester chez leurs parents, et meurent d'envie, dès la première occasion, de partir de chez eux. Les étudiant(e)s dans ce cas s'imaginent que les parents ne seraient pas prêts à faire des heures et des heures de route pour venir les voir. Mais le fait que tu sois parti(e) aussi rapidement, avec une telle volonté, pousse les parents à venir te voir aussi souvent qu'ils le peuvent, comme attirés par ta nouvelle ville. Je ne dis pas ça pour te faire peur, rassure-toi, mais il arrive que les parents aient du mal a laissé partir l'enfant. Là, peu importe où tu iras, ils te retrouveront !
Tout le monde connait Erasmus, le programme d'échange d'étudiants et d'enseignants entre les universités du monde entier dans 27 pays. De plus en plus d'étudiant français partent pour des pays étrangers pour leurs études et découvrir en même temps de nouveaux pays, cultures etc... Des aides financières sont proposées par Erasmus pour soutenir les étudiants. Pour en bénéficier, tu dois te tourner vers ton établissement dans lequel tu étudies et ce sera ton établissement qui transmettra ta demande en tant qu'organisme et non en tant que particulier (comme tu aurais été si tu avais directement fait la demande toi-même). Bonne chance dans tes recherches futur(e) étudiant(e) !
Je suis arrivée en licence de psychologie sans vraiment savoir quoi faire. En fait, suite à mon échec en PACES, j'étais complètement déboussolée. J'ai donc chercher quelque chose à faire de ma vie, qui ne me mettrai pas autant de pression que la PACES, et qui me permettrai d'avoir accès à un métier qui me conviendrai. J'ai donc choisi la psychologie, et suis partie de mon île (la Guadeloupe), pour étudier en Métropole. J'avais peur au début, car, sortant d'une filière technologique qui rassemble la santé et le social, je pensais avoir énormément de lacune vis à vis des cours qui seraient plutôt littéraires. Cependant, cette année m'a montré que rien est impossible avec du travail. De plus, la psychologie n'est pas, comme je le pensais, que pour les profils littéraires, mais elle peut rassembler plusieurs types de profils.
Mon partage d’expérience aux lycéens, Au travers de mon cursus universitaire, nous devons effectuer des unités d’enseignement d’ouverture. Ceux-ci sont au choix, et parmi eux se trouvent l'unité dite, “Du lycée à l’université”. Mon choix a été tout d’abord motivé par une envie de partage. En effet, lorsque j’étais moi-même au lycée, nous avions eu la chance d’accueillir à différentes reprises des élèves et professionnels pour nous parler de leurs parcours, études et profession. Je garde encore aujourd’hui de très bons souvenirs de ces différentes interventions. Dans un second temps, l’opportunité qu’offre l’UEO en qualité d’exercice oratoire m’a également attiré. Il est vrai que le fait de pouvoir s’exercer à l’oral, face à un jeune public, était un vrai plus. Je voyais ici la possibilité de partager à mon tour mon expérience avec les plus jeunes. Également, cette unité d’enseignement, au-delà du partage d'expérience, me permettait de suivre un enseignement qui sorte d’un cadre scolaire que je pourrais qualifier de “classique”. Il est vrai qu’étant étudiante en droit, nous avons une approche plus méthodologique et littéraire. Ainsi, cet UEO permettait de sortir de ce cadre “stricte” du droit, pour se placer dans une dynamique de partage. Dans le cadre de cet UEO j’ai donc eu pour ma part la mission d'animer une séance dite “Explore Sup”. Elle se constitue en 3 séances d’une heure, la classe est divisée en 2 groupes. La première est dédiée à une présentation par l’étudiant de l'université et également un zoom sur sa formation, en particulier si des élèves sont intéressés. Les 2e et 3e séances sont dédiées à la recherche puis à l’exposé des formations que projette de faire les lycéens. Lors de mon intervention, la classe a été séparée en 2 groupes (8-10 et 17-18 selon les séances et absences des élèves) via un critère de “thème” de formation. Ainsi, lors des exposés notamment, les élèves pouvaient en apprendre davantage sur les formations plus susceptibles de les intéresser selon les filières (scientifiques et plus littéraires de l’autre, pour grossir le trait). Dès la première séance, j’ai pu observer l'intérêt des élèves pour cette intervention. En effet, même s'ils n'osaient pas tous prendre la parole pour poser des questions, ils étaient tous attentifs. Lors des 2e et 3e séances, les élèves étaient toujours très investis. Pour leur passage à l’oral, nous avons pu créer un environnement léger et qu’ils puissent s’exprimer sereinement. Ils ont tous fait des efforts pour s'entraîner sur leur qualité oratoire. J’ai pris l’initiative, lors des exposés, de demander après chaque passage l’avis de la classe sur l’oral, sur des points tels que le volume de la voix, l'attitude etc… Les lycéens ont progressé à chaque passage et écoutaient leurs camarades avec bienveillance. Via les séances de recherches et d’exposés, j’ai pu à mon niveau essayer de les guider sur les plateformes ou de trouver au mieux leurs formations. Mais également de les pousser à se poser des questions sur les portes qu’elles pourraient leur ouvrir. Grâce à mon parcours scolaire mais aussi à mon redoublement de (la première année de droit, qui aura été plus que bénéfique pour moi), j’espère avoir transmis un message de persévérance. La fluidité des formations dans le supérieur permet de changer de voie, d’avoir un droit à l’erreur et de pouvoir recommencer en étant plus fort. Ce qui m’a marqué lors de mes interventions, c’est l’envie de découvrir des lycéens, leurs investissements et notamment lors de discussions avec certains d’entre eux. Essayer de les aider m’a été très agréable et d’avoir le sentiment d’apporter plus de confiance en leur projet. Le message que j’ai voulu passer, est que si l’on fait quelque chose qui nous plaît, alors ce sera facile de s’investir. Lorsque l’on se donne les moyens on y arrive, peu importe les difficultés, on arrive à avancer. In Fine, ces différentes séances passées auprès des lycéens ont été très enrichissantes. J’ai pu observer que j’étais à l’aise avec le fait d’animer des activités et face à un public de lycéens, notamment sur la prise de parole. Cela a vraiment fait écho à mon travail saisonnier de monitrice de voile, ou j’ai là, l'habitude de travailler avec des plus jeunes 5-8-10 ans. En effet, une aisance orale est importante aussi bien dans notre quotidien, que dans le cadre des études et plus tard dans ma profession, le droit étant une filière très oratoire. Cette UEO, à notamment motivé ma présence sur Study advisor, afin de continuer de partager mon expérience et mon parcours en tant qu'étudiante en Droit !!!
Salut à toi qui te prend des taqués là où tu veux aller, " Sache qu'il ne faut pas t'arrêter à un NON, dis-toi que tu peux aller encore plus loin et faire ce qu'il te plait ! " Pour ma part c'est ce qu'il m'est arrivée plus d'une fois : qu'on me dise NON. NON car on ne savait pas où me diriger après le collège sur ce que j'aimais faire : "Ah tu aimes la déco, c'est bien ! Mais.. j'y connais rien" ou le "Ah c'est bien, tu sais ce que tu veux faire déjà, mais tu vas faire quoi comme Bac ?" NON car je n'avais pas une moyenne assez élevé aller où je veux : "Ah mais c'est bien 16, mais nous nos élèves ils ont 18 pour ce Bac" ou "Ah tu n'as que 16, essaye de revenir quand tu auras 18 en 2nd dans ce cas" Du collège jusqu'au lycée, on n'a pas su me guider, m'aider ou m'accompagner vers là où je voulais aller. J'ai du faire mon chemin à moi, trouver des solutions allant jusqu'à X, Y voir même Z en cas où ça me marchait pas. Mais aujourd'hui, je ne regrette rien ! Je ne regrette pas les choix que j'ai fais pour arriver là où j'en suis. Je ne regrette pas d'avoir mis des jours et des jours pour enfin trouver ma voie. Je ne regrette pas d'avoir acquérir des compétences comme une autonomie et une ambition hors paire. Oui je ne regrette pas le temps passé à mettre pris des NON en pleine face, pour aujourd'hui être heureuse de ce que je fais. Alors oui, tu qui te pose un millier de question sur ce qu'il en est de ta vie, de tes études, de ton futur ; ne lâche rien ! Car même si ça m'est du temps, un jour tu souriras en voyant tout ce que tu as accomplit sans l'aide de personne.
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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