Au lycée, parmis les innombrables possibilités que nous offrent les études supérieures, il est normal de se sentir perdus quant au réel aspect des études que nous allons choisir.
Le stress de Parcoursup, la peur de l'inconnu, l'angoisse de l'erreur, les questionnements sans réponse..
Même les profils les plus sûrs d'eux mêmes, et ceux qui vous inspirent peut-être le plus d'assurance autour de vous, n'en savent en réalité que très peu des études supérieures. C'est un monde qui varie, qui change et qui vous change, et qui offre à chaque individu, une expérience différente. Vous ne vivrez pas vos études de la même façon qu'une autre personne, aussi similaires puissiez vous être.
Pendant ma dernière année de lycée, j'ai été comme la plupart d'entre vous, confrontée à cet ennemi de toujours : Parcoursup.
Cette plateforme stressante, et détestée de la majorité des étudiants, pour son aspect démotivant.
J'y ai moi-même été confrontée, et me suis retrouvée a devoir choisir mon avenir en cliquant sur des licences, des écoles, dont je n'avais pour la plupart, pas pu faire les portes ouvertes, à cause de la distance, des délais, mais surtout du peu d'informations dont je disposais, quant à ce vaste millieu des études supérieures. Je ne savais pas vraiment ce que je voulais faire, j'avais le rêve de faire une carrière dans le cinéma, mais j'avais la volonté de m'engager dans un parcours supérieur qui pourrait m'assurer de nombreux débouchés et un vaste choix de matières, afin d'être certaine de pouvoir y trouver mon bonheur. C'est avec cette volonté-ci, que je me suis orientée vers le droit. Il s'agit bien du millieu le plus vaste que je conaisse. La justice est omniprésente, qu'on le remarque ou non, le droit est partout autour de nous, et il en existe dans tous les domaines, c'est d'ailleurs pour cette raison que vous risquez de retrouver une part de cette matière dans tous les programmes d'étude supérieure.
Je me suis donc lancée dans une licence de droit. Mes raisons : c'est donc un millieu vaste, ce sont des études solides, je peuc m'assurer un avenir, j'aurai du temps pour moi quand même (car lorsqu'on a un profil fêtard, duquel on a du mal à se détacher, mais qu'on accorde de l'importance à son parcours professionel, c'est important de choisir un cursus qui nous permet d'organiser une vie personelle).
Aujourd'hui en millieu de semestre 2, je soutiens que m'être lancée dans ce parcours d'étude est certainement le meilleur choix que j'ai pu faire de ma vie. Les matières sont vastes, et les cours sont intéressants. C'est un domaine assez logique, puisque sans le savoir, et comme je l'ai déjà dit, vous y êtes confrontés chaque jour depuis votre naissance. Ayant un esprit très analogique, j'ai souvent souffert au lyçée du manque d'exemples concrets dans les cours, j'avais un profil littéraire, et j'intégrais plutôt mal tout ce qui touchait au raisonnements mathématiques, aux résolutions d'équations purement chiffrées.
En droit, tout est fondé sur de réelles situations, sur de réels exemples, on a souvent la chance de construire nos cours sur des anecdotes de professeurs qui excercent en parallèle par exemple, le métier d'avocat.
Il ne s'agit pas d'un domaine qui peut convenir à tout le monde pour autant, mais avec un peu de volonté, et de bons conseils, la licence est loin d'être insurmontable. Les cours de première année sont bien loins de ce l'idée qu'un lycéen peut s'en faire, le droit contrairement à beaucoup d'idées reçues, ce n'est pas apprendre le code civil par coeur, ni réciter des articles, croyez en mon expérience.
Après avoir obtenu mon BTS, j'ai décidé de poursuivre mes études en m'inscrivant en licence Science de la vie L1.= La première chose que j'ai remarquée, c'est que la L1 semblait simplifiée par rapport à mon BTS. Cependant, le niveau de mathématiques en licence Science de la vie était nettement plus élevé par rapport à mon BTS. Ce qui est important à la fac, c'est d'être assidu de sois même un exercice qui peut être compliqué après un BTS. Il peut arriver que certaines matières semblent moins intéressantes au début, mais il faut voir au-delà de cette première année de tronc commun. C'est en construisant une base solide de connaissances que nous pourrons nous spécialiser par la suite dans les domaines qui nous passionnent le plus.
J'arrive en fin de cursus donc je me permets de décrire mon expérience à centrale marseille, école d'ingénieur généraliste. Si réussir le concours demande pour la plupart des étudiants de supporter une très grosse charge de travail, l'arrivée en école est vécue comme une libération ! Les cours sont bien plus simples à suivre, et si l'on est débordé, c'est uniquement "a cause" des projets personnels ou associatifs que l'on prend plaisir à développer. Bien que généraliste, l'école centrale marseille nous permet de nous "spécialiser" un peu dans un domaine, dans mon cas la mécanique. L'équipe pédagogique était à l'écoute, la formation est modulable en fonction des projets de chacun: que l'on sache ou non ce que l'on veut faire après, on est guidés tout au long de cet apprentissage et la pluridisciplinarité de l'école permet de s'orienter vers n'importe quel domaine par la suite !
Chercher une voie en informatique, tappé au sommet, se retrouver en École d'ingénieur en informatique, enfin en classe préparatoire intégré de l'école. Je me rend vite compte que nous n'apprennons pas l'informatique, mais c'est que de la science... 2h d'informatique bas niveau par semaine, suivi d'une 20h d'heure de science tel physique chimie, maths, algèbres relationnel, etc... J'ai voulu choisir une filiaire informatique, je me suis vite rendu compte que je m'etais trompé de chemin.
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