Ah le commerce...
On a tous déjà été dans un magasin, on a tous déjà parlé à un conseiller et on a tous déjà vu un commercial.
Mais connaissez-vous vraiment ce secteur ?
Tout d'abord, c'est un domaine très large, avec une multitude d'acteurs.
Les métiers y sont très variés. Connaissez vous, par exemple, la journée type d'un commercial itinérant ?
Entre la prospection, les rendez-vous et la fidélisation des clients, le commercial ne s'ennuie pas. Il est sur la route toute la journée afin de vendre ses produits, dont il est expert. Il est indépendant, et organise ses journées comme il le souhaite.
Mais le commerce, ce n'est pas que la vente.
On retrouve également du management, de la gestion, des budgets à calculer, du marketing....
Les commerciaux finalement, c'est un peu des couteaux suisses !
Vous souhaitez en savoir plus?
N'hésitez plus, et prenez rendez-vous avec moi !
Oryane
Etant en quatrième année à l'ESCE (école supérieure de commerce extérieure) j'ai fait le choix de me spécialiser en "International People Management" pour réaliser mon master. Ce programme est entièrement en anglais, il est en relation avec les matières suivantes: - Corporate Social Responsibility - Novel organisation and design - Managing People and performance - Managing across borders - Managing international mobility - Methodology quantitative and qualitative - International trade and globalization - Geopolitical risks L'objectif de nos cours est de savoir manager des équipes internationales, de savoir définir des buts, des responsabilités et de pouvoir s'évaluer mais également évaluer les autres à travers leurs évolutions et performances. Cela nous permet également de travailler dans un cadre multinational avec de nombreux projets de groupe avec des étudiants internationaux. Cela nous permet d'apprendre à travailler avec des cultures différentes et de s'avoir s'y adapter.
Je suis rentrée en PACES en septembre 2019. Mon objectif était clair : me buter au travail pour réussir le concours et aller en deuxième année de médecine. Le mois de septembre s'est plutôt bien passé, j'avais des notes correctes pour mon premier tuto (= concours blanc si vous préférez) et j'étais très motivée. Cependant, dès octobre j'ai eu une grosse chute de motivation et j'avais énormément de mal à travailler, en outre à cause de raisons personnelles et d'une remise en question certaine sur mon orientation. Je me posais beaucoup de questions, je n'étais plus réellement sûre de vouloir continuer là-dedans, tout devenait flou dans ma tête. Je voyais mes amis bosser comme des dingues, suivre les cours à la perfection tandis que moi je ne trouvais même plus la force de venir à la fac. J'ai donc commencer à parler à des gens en deuxième année, à regarder des vidéos sur YouTube et à me remettre en question pour savoir si je m'étais trompée dans mon orientation ou si c'était simplement par manque de motivation face à la difficulté du concours. J'ai fini par comprendre que médecine n'était vraiment pas une filière pour moi. Avec mon niveau en terminale et sortant d'un bac S, la solution pour mes profs était évidente : faire médecine. Depuis petite j'y pensais et je dois bien avouer que ça me faisait rêver. Malheureusement, je n'étais clairement pas motivée pour les bonnes raisons. En effet, ce qui m'intéressait dans la filière médicale... c'était le salaire à la clé ! Ouais je sais, c'est vraiment pas dingue comme motivation, mais au début je ne m'en rendais pas compte du tout. C'est lorsque que je me suis dis "Si le salaire n'était pas aussi élevé, est-ce que tu te tuerais à la tâche pour passer 11 ans de ta vie à étudier ?". La réponse était, sans l'ombre d'un doute pour ma part, "non". Je me rendais petit à petit compte que je n'avais pas du tout la fibre médiacle, je n'étais tout simplement pas faite pour ça. Je continue à croire, encore auourd'hui, que médecine est une véritable vocation, et tout le monde ne peut pas devenir médecin, clairement pas. J'ai donc cherché à trouver un nouveau projet d'orientation au plus vite (juste avant le premier concours de décembre) afin de ne pas perdre plus de temps. Les recherches étaient vraiment compliquées, je n'avais au final jamais réfléchi à un autre métier, et c'est comme si je reprenais tout à 0. C'était la panique à bord ! Après énormément de recherches, j'ai fini par me poser et me dire "Quel train de vie tu veux avoir ?". Au final, la gloire ne m'intéressait pas, je voulais simplement gagner suffisamment d'argent pour mener une vie simple, qui me permettrait d'économiser pour faire des beaux projets. Je voulais un métier qui me permettrait de rentrer tous les soirs à la maison et surtout d'avoir une vie de famille. J'ai alors recherché des études dans lesquelles je pensais me sentir à l'aise, et j'ai tout de suite penser aux maths. C'était ma matière fétiche au lycée, j'adorais vraiment ça. Sur Parcoursup, j'ai trouvé une licence "Mathématiques et Informatique". C'est vrai que je n'avais jamais songé à l'informatique avant, mais cette idée ne m'était pas exclue. Je me suis donc renseignée sur les débouchés, et il y a beaucoup de masters suite à une licence infomartique qui m'ont interpellés. J'étais excitée et impatiente à l'idée de découvrir cette filière, et j'ai été acceptée pour la rentrée de 2020. Désormais, je suis épanouie, et si vous voulez savoir comment se passe mon premier semestre dans cette licence, je vous invite à aller voir mon autre témoignage à ce sujet !
Mon expérience à Sciences Po est positive dans l'ensemble. La diversité des cours (histoire, sciences po, économie, sociologie, anthropologie, culture générale) permettent d'avoir une base de connaissances que recherchent les employeurs. Le master Politique Culturel et Mécénat que j'effectue est le juste milieu entre la théorie, avec cours d'histoire des arts, et la pratique, avec des projets autour de la culture à réaliser de A à Z. A Sciences Po Aix, la vie étudiante est variée et très dynamique. Il y a un tas d'associations, et les étudiants ont de véritables responsabilités dans les assocs. Un autre point positif est l'année à l'étranger, qui est obligatoire en 3A. De nombreux partenariats sont proposés sur l'ensemble du monde et permet également d'avoir une expérience pro par le stage.
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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