Se poser les bonnes questions, c'est faire un point sur soi-même, sur son niveau scolaire, sur les études qu'il est possible de faire ... et construire son projet et ses idées. Il n'est pas toujours facile de savoir ce que l'on veut faire après ses études et même choisir ses études. Par exemple, par expérience j'ai été mal orienté puisque je voulais faire agent de joueur et on m'a orienté vers les STAPS alors qu'en réalité, ce métier très spécifique requiert plus de connaissance en droit des contrats, des assurances, qu'en sport, même si la qualité a repéré des talents reste évidemment importante.
Erreur qui m'a fait perdre 1 an, puisque que pendant ma 1ère année de STAPS, j'ai compris que cette formation ne convenait pas du tout à mon projet. J'ai dû changer de cap et renoncer au métier d'agent de joueur. J'ai fait un point sur ma situation, une remise en question. J'avais envie de continuer les études tout en gagnant de l'argent, je me suis donc penchée sur les formations en alternance, avec un intérêt pour les formations autour du commerce. Mais le commerce c'est très vaste, un jour on vend des pneus, un autre jour des shampoings. j'ai donc cherché des spécialités en lien avec une passion ou quelque chose qui me plait.
C'est en discutant avec un ami que l'idée m'est venue. Il voulait s'orienter vers le commerce des vins, et il me parlait de cette école qui n'est pas très loin de chez moi. Après cette discussion, je me suis renseigné sur cette école pour savoir ce qu'elle proposait. Et là "lumière", un BTSA technico-commercial en Vins et spiritueux en alternance, du commerce et un type de produit qui ne me déplait pas. A partir de cet instant, il a fallu faire toute les démarches : entretien avec l'école pour être pris, recherche d'alternance, entretiens d'embauche, recherches d'appartements etc...
Je suis donc actuellement apprentis dans un domaine prestigieux de la Côte Rôtie (AOC), je fais un peu le couteau-suisse entre la cuverie, la cave, le caveau de vente, les commandes, les vignes, entretien du domaine, visites oenotouristique ... J'ai vraiment trouvé ma voie, je suis passionné. Néanmoins, c'est beaucoup d'investissement, beaucoup de travail car il faut gérer les cours, les révisions, les dossiers à rendre, ... tout en pensant à l'après diplôme. Et donc en permanence amener des idées à son projet futur. Personnellement j'en ai 3.
Un projet, il faut le nourrir d'idées, il faut aller à la pêche aux informations, sur internet en discutant avec l'entourage, les amis, les professeurs, les collègues de classe, en se créant un réseau, des futurs clients, fournisseurs, ou même employeurs. Evidemment, choisissez un domaine qui vous plaît, mais étudiez bien votre projet de façon à savoir s' il y a beaucoup de débouchés ou non. Et en fonction du projet il faut chercher la bonne formation. Contactez-moi pour plus d'information et d'aide.
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Suite aux conseils extérieurs, j’ai « voulu » faire une prépa pour devenir ingénieur puis j’y ait survécu et en suis sorti grandit et scientifiquement qualifié. Venant d’un bac S et ne sachant pas dans quel domaine poursuivre mes études j’ai préféré choisir une classe préparatoire publique plutôt que les prépas intégrées dans les écoles d’ingénieur. En 2017 j’ai donc choisi la prépa de proximité du lycée Jean Bart à Dunkerque en filière PCSI. Au lycée je travaillais irrégulièrement comme la plupart des lycéens, mais en arrivant en prépa je me suis adapté à un nouveau rythme de travail. Je me suis pris quelques « claques » mais rien d’exceptionnel. Arrivé en deuxième année en PSI, le rythme était de nouveau plus intense mais pas beaucoup plus pour moi puisque je travaillais déjà régulièrement en première année. Vers le milieu de l’année j’ai eu quelques coups de « mou » mais j’ai su me remotiver pour les concours. Dans la prépa, ce qui est nouveau c’est le classement qui peut amener à la concurrence dans certaines prépas. Grâce au classement et aux oraux réguliers (kholles) nous sommmes très bien préparés pour le concours J’ai beaucoup muri pendant ces 2 années de prépa, et pour mon cas je ne suis toujours pas sûr de vouloir être ingénieur mais ce qui est sûr c’est que je ne regrette en rien d’avoir fait une prépa. Je ressors beaucoup d’atouts de cette formation comme les méthodes de travail, la rigueur acquise. En attendant les réponses des concours, j’ai l’intention d’intégrer une école si possible, sinon je compte faire une licence 3 dans l’environnement soit pour continuer dans cette spécialité jusqu’à un master soit pour retenter le concours l’année prochaine. La prépa est une étape très gratifiante pour s’assurer un avenir professionnel prometteur. Je conseille déjà à tous les élèves qui veulent devenir ingénieur de passer par une prépa ; et pour ceux qui ne sont pas sûr comme je l’étais, je tiens à dire que ça ne peut être que bénéfique. Même si c’est dur, c’est une bonne préparation pour la rudesse du monde du travail. Il n’y a rien à perdre alors pourquoi ne pas tenter ? Si vous avez d’autres questions n’hésitez pas à me contacter via mon profil en prenant un rendez-vous ;) Rémi LOUAGE
Le BTS assistant manager c'est de mon point de vue du blabla. On apprend à se servir d'outils et d'options dont on a pas forcément la necessité. De ce que mon expérience à la suite de ça, a pu m'apporter: il faut simplement être débrouillard et logique. Etre assistant manager c'est être polyvalent, réactif et communiquant. Les cours ne m'ont servit qu'à embellir ma culture et ma logique mais certainement pas à me créer un profil pour un métier.
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec lui
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