Il est important de suivre certaines directives pour réussir les études de droit. Voici quelques conseils qui vous aideront à valider vos semestres et à atteindre vos objectifs.
1. Assister aux cours magistraux : Il est important d'être présent à chaque séance. Vous pouvez ainsi interagir avec les enseignants et poser des questions. Cela peut vous aider à comprendre les concepts clés, obtenir des informations supplémentaires et vous forcer à commencer l'assimilation du contenu du cours. Les semaines de révisions passent extrêmemnt vite et il est important d'avoir appris le cours au fur et à mesure du semestre en assistant aux CM.
2. Apprendre à bien gérer votre temps et à vous organiser : Le temps est précieux, alors utilisez-le judicieusement. Établissez un calendrier et planifiez votre travail en fonction des échéances et des priorités. Réservez des temps pour les tâches les plus importantes, telles que la fabrication des fiches de révision et la préparation des travaux dirigés.
3. Comprendre les notions de base : Il est essentiel de comprendre les concepts de base du droit avant de passer aux sujets plus avancés. Consacrez suffisamment de temps à la lecture et à la compréhension des fondamentaux pour éviter de vous perdre dans des détails inutiles et vous assurer de ne rien manquer d'important. Une technique efficace consiste à résumer chaque CM, le soir chez vous, avec des mots très simples. Cela vous permettra d'assimiler plus facilement les notions difficiles.
4. Préparez soigneusement chaque séance de TD : chaque semaine vous allez aborder une notion fondamentale à la matière que vous étudiez en CM. Si vous préparez bien vos TD, il vous sera alors plus simple d'apprendre le contenu du CM au cours du semestre.
5. Essayez de créer un groupe d'entraide avec vos camarades de classe : Vous pouvez travailler ensemble sur les sujets clés, discuter des points de vue et poser des questions. Cela peut vous aider à comprendre les concepts plus en profondeur et à préparer plus efficacement vos examens. Vous pouvez également vous répartir la lecture des plaquettes de TD, ce qui vous fera gagner du temps pour le consacrer aux exercises de la semaine.
6. Utiliser les ressources disponibles : Les bibliothèques et les les catalogues en lignes (fournis par vos universités) sont des ressources précieuses pour les étudiants en droit. Utilisez-les pour vous aider à approfondir votre compréhension du droit et pour trouver des informations supplémentaires.
7. Prendre soin de soi : L'équilibre entre vie personnelle et professionnelle est essentiel pour réussir dans le domaine du droit. Prenez soin de votre corps et de votre esprit en suivant une alimentation saine, en faisant de l'exercice et en vous accordant des pauses régulières pour vous détendre.
Mes lectures du mois : -"Manifeste du Tiers paysage". Gilles Clément (jardinier, architecte paysagiste, ingénieur agronome, botaniste, entomologiste) -"Eloge de la plante. Pour une nouvelle biologie". Francis Hallé (botaniste, spécialiste des arbres en forêts tropicales)
Pourquoi Sylvie, as-tu choisi ESAM après le lycée ? Mon choix s’est porté sur ESAM, car l’aspect international m’intéressait énormément ainsi que la finance et l’entrepreneuriat. À ESAM, on a la chance de pouvoir voyager chaque année, où on veut, et c’est une opportunité que toutes les écoles n’offrent pas. Elle est classée 1ère en Top 1 en finance sur le classement de l’étudiant, ce qui n’est pas négligeable. Nos professeurs sont des intervenants du monde professionnels qui nous partagent leurs savoirs, ce qui nous évite de nous ennuyer en cours ! Grâce à l’incubateur ESAM, la « Why Not Factory », nous avons la possibilité, nous étudiants de créer notre entreprise avec l’aide de professionnel et de coach qui nous aident tout le long de la réalisation de notre projet. Pourquoi avoir choisi Montréal plutôt que Dublin pour mon premier échange universitaire ? En première année, j’ai eu la possibilité de faire un échange universitaire à Dublin ou à Montréal. Mon choix c’est tout de suite porté sur Montréal, car je voulais partir loin, loin de ma famille, loin de mes amis et être indépendante ! Si j’avais choisi, Dublin, mes amis et familles, seraient venus me rendre visite tous les mois, or je voulais prouver à moi-même et à mes propres que je suis capable d’être autonome et responsable. De plus, l’université de Sherbrooke fait partie des meilleures universités du Canada, ce qui est plus valorisant et prestigieux. Malgré le fait que les cours à Dublin étaient tous en anglais, nous avions également eu certains cours en anglais, sachant qu’à Montréal, les Québécois sont bilingues en anglais et en français, ce qui nous a permis de nous améliorer en anglais également. Mon aventure a donc début en janvier 2018, elle a duré 6 mois, car après mes 4 mois d’échange j’ai eu l’opportunité de faire mon stage dans le Marketing digital, à Montréal même. Pourrais-tu nous dire ce que ton expérience à l’étranger t’a apporté ? Grâce à cette expérience, j’ai su être plus organisé dans la gestion du temps à la maison, car sans parents il faut se débrouiller et savoir gérer son temps en rentrant des cours. J’ai pu prouver à mes proches que j’étais capable d’être débrouillarde et responsable ! J’ai pu m’améliorer en anglais, car j’ai eu l’occasion de le pratiquer dans la vie de tous les jours. Et j’ai découvert une tout autre mentalité, qui est totalement différente de celle de la France, je rentre donc avec une façon de penser différente, mais aussi une touche québécoise en moi. En 6 mois, j’ai ou faire tout ce que je souhaitais faire à Montréal, malgré des hauts et des bas avec mes colocataires, je ne regrette en rien cette expérience et cette destination. Cela m’a permis de me forger et c’est ce qui fait mon caractère aujourd’hui. Mes objectifs fixés sont donc atteints et j’en suis très fière !
Bonjour, je ne sais pas si tu te reconnaîtras dans mon histoire partiellement ou totalement, mais je te parlerais de mon expérience en CPGE. De base je suis issue d’un baccalauréat S (option biologie-physique-chimie), je suis venue faire mes études en France après avoir obtenue mon baccalauréat. En effet j’avais 18 ans et demi quand j’ai quitté, mon cocon pour venir commencer ma nouvelle vie à Caen, dans une CPGE en option Physique-Chimie-Sciences de l’ingénierie (PCSI). Le premier jour je me sentais confiante, parce que mes années de Lycée dans une école catholique de renom m’avait donné cette force d’affronter chaque chose. Le premier mois était très intéressant, je me rendis compte qu’on abordait des notions que j’avais vu durant ma période de Lycée, mais de manière un peu plus poussée. Ce qui n’était pas très alarmant c’était plutôt excitant. Arriva le 1Er DM en mathématiques, une de mes matières favorites, je m’en suis sortie avec un 15/20; ça allait mais bof j’étais dessus de mes performances. Puis vînt le premier contrôle, 10/20 😳 là je me suis dit c’est la « cata ! qu’est-ce que c’est que ce truc ! ». Je me suis reprise assez vite, mais plus le temps passait, plus je me demandais si vraiment j’étais faite pour la prépa. J’avais beau réviser à fond les notes n’étaient pas extraordinaires, des 14, 12, 10, 8, 5 j’étais passée par tout (en fonction des matières scientifiques, les langues ça allait 😒 heureusement). J’en arrivais à un moment où je me demandais si j’allais y arriver. Ce que je trouvais étonnant c’était que les commentaires des professeurs ne reflétaient pas mes notes, je recevais des compliments lorsque j’avais parfois des notes inférieures ou même égales à 10, plus on avançait. C’est après que j’ai compris que plus on avançait, plus le niveau montait d’un cran et plus l’attention était portée sur notre capacité à garder le cap ou à évoluer. J’ai compris qu’en fait les professeurs s’arrangent à nous donner des sujets interminables et difficiles pour qu’on puisse dépasser nos limites et donner le meilleur de nous sans forcément exploser le livre des scores. Oui ! Les notes on de l’importance, mais ce qui compte aussi c’est la persévérance, l’effort fournit et la motivation. Après mes deux ans en prépa, sachant que nous avions à peu près tous craqués sous la pression, nos concours s’étaient bien déroulé, et pour ma part j’avais eu ce que je voulais. Je suis ressortie de cette expérience encore plus forte, qu’au lycée. Je suis plus apte à gérer le stresse, à travailler en équipe (parce que nous n’étions que 18 en classe donc nous étions comme une famille), à se dépasser et à être plus mature. C’est une expérience que j’ai aimé vivre dans un certain sens. Et si vous êtes en CPGE ou emmené à l’être, n’oubliez pas que « La Terre Promise est toujours de l’autre côté du désert. » 😉 Vous y arriverez !!
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle