Hello à tous !
Chaque année mon école, l'ESAM Paris, met en ligne "Le Guide Des Métiers" de la Finance, du Management et du Droit. Il s'agit d'un petit livre hyper complet (et gratuit) qui permet de ce faire une idée sur un grand nombre de métiers que l'on peut faire après différents M2 ou même parfois après différents Bachelor !
Vous retrouvez par exemple, les métiers de l'Audit, de l'entrepreneuriat, de la direction des Business Unit.... au Juriste d'affaires!
Pour télécharger gratuitement le guide : Cliquez ici
Bonjour a tous! Je suis actuellement en PACES à l'Université Paul Sabatier à Toulouse. J'ai toujours su que je voulais faire des études médicales, en particuliers médecine qui pouvait me permettre d'accéder à la chirurgie. C'est ce qui m'interesse le plus! Au lycée à Toulouse, j'étais dans une classe "Préparation à la PACES". C'était vraiment bien car on se destinait tous aux mêmes études et on avait 2h par semaine de cours de PACES (mais ce n'était que le sommet de l'iceberg ^^), ainsi que des qcm. Ça m'a permis de développer une certaine méthodologie (bien que très differente de celle que j'ai aujourd'hui) et de me motiver pour l'année prochaine. J'ai donc fais un bac S, je l'ai obtenu avec mention bien (bien que mes notes en terminale tournait autour de 12 généralement car je ne travaillais pas trop haha). Et me voila parti en PACES! J'étais très stressée avant la rentrée, pensant que je vivais mes derniers moments de liberté haha ^^ Mais dès les premiers jours, notamment grâce à la pré-rentrée du tutorat, j'ai trouvé facilement mes marques. J'ai rencontré des personnes géniales qui m'ont suivi et motivé pendant toute mon année. J'ai beaucoup travaillé, et j'étais assez confiante, mais les résultats du premier semestre sont tombés et j'ai été un peu déçue. Je savais que je n'aurai pas médecine cette année. J'ai donc travaillé jusqu'à la fin pour me préparer pour mon année de doublante. Je suis finalement arrivée 160/900 à la fin (pas assez pour avoir médecine, à Toulouse seul les 100 premiers sont prit). Deuxième rentrée PACES, un peu plus compliqué car ma meilleure amie PACES avait été accepté en kiné, je me retrouvais donc un peu seule. Mais je me suis motivée, j'ai travaillé (mais un peu moins que l'année de primante) et le jour des résultats du premier semestre est arrivé: 16ème sur 900 personnes! Je n'en croyais pas mes yeux. Je suis actuellement en train de travailler pour le second concours qui aurait du avoir lieu en mai (mais maintenant en juin, merci le virus haha). Pendant mon année de doublante, j'ai eu un jour une idée qui a germé dans ma tête: pourquoi je ne me renseignerais pas sur les études d'odontologie? Depuis que je suis petite je me suis toujours dis que je voulais faire médecine, sans jamais m'interesser aux autres filières que pouvait m'offrir la PACES. En me renseignant sur les études de dentaire, j'ai vu énormément de points positif à ces études, notamment la possibilité d'aller en chirurgie! Je me suis tellement renseigné sur les deux filières que j'ai l'impression de connaitre tout les bons et mauvais côté haha, donc si ça vous interesse d'en savoir plus, n'hésitez pas à prendre rendez vous avec moi je vous expliquerai tout! Pour finir, je pense que tout le monde se pose cette question: as-t'on une vie sociale en PACES? Et bien oui! Bien sur ça dépend de chacun. Il y en a qui ne feront aucune pause parce que trop stressé, et d'autres (comme moi) qui vont devenir fou sans faire une pause de temps en temps. Pour ma part, je faisais au moins 1-2h de sport par semaine et je me gardais le samedi soir à partir de 18h pour voir mon copain. Il est aussi très important de DORMIR! Trop d'étudiants travaillent jusqu'à 3h du matin pensant qu'ils travaillent plus que les autres, alors qu'ils s'épuisent... Ma devise c'est "Il vaut mieux travailler peu mais efficacement, plutôt que beaucoup sans comprendre". Je pourrais continuer d'écrire pendant longtemps tellement il y a de choses à dire sur cette année de PACES ^^ Si vous avez des questions sur les filières, sur les matières, sur mon emploi du temps de travail, sur mon organisation...etc, je serai ravie de répondre à toutes vos questions. Prenez soin de vous, et à bientôt peut être :)
Bonjour, je suis rentrer en licence STAPS a Clermont Ferrand cette année et je voudrai vous faire part des mes premiers ressentis. Tout d'abors au niveau Sport nous n'avons pas tant d'heures que ça (entre 2 et 4 heures par semaine) puis il y a tout un tas de nouvelles matières comme la sociologie , la bioénergétique, l'anatomie... c'est pour cela qu'il faut, je penses, aimer les sciences . Sinon si tu aimes le sport tout est tourné autour de ça alors ça ne peux que t'intéresser ! N'hésitez pas à venir sur mon profil pour plus de questions je vous répondrai avec plaisir 😊
J'ai obtenu un bac S option Sciences de l'Ingénieur en 2019. Un peu plus tôt dans l'année il a fallu mettre des vœux sur Parcoursup. Le problème ? Je n'avais aucune idée de ce que je voulais faire pour le reste de ma vie ! Et c'est bien normal ! Avec une retraite à 64 ans, qui peut choisir à 18 ans ce qu'il va faire jusque là ? Mais l'échéance arrivait et il fallait faire un choix ! Comme on l'entend souvent en entretiens "j'aime les sciences, j'aime le dessin, alors pourquoi pas archi ?". J'avais quelques connaissances en ENSA, je savais à quoi m'attendre alors allons y ! Quelques mois plus tard je commence ma première année en architecture à Versailles. Je suis complètement à la ramasse, comme dans un monde parallèle. Tous les étudiants ont un architecte préféré, un avis sur tout, parlent de choses que je ne comprends pas. De ma vision de campagnarde arrivée là par chance et hasard, ce que je savais citer à ce stade c’était le vieil Orléans, sa cathédrale et les châteaux de la Loire, je n’ai même pas réussi à retenir les architectes du FRAC Centre que j’avais pourtant cité en long en large et en travers lors de mes entretiens. Le souvenir le plus fort que je garderai de ma licence est mon tout premier workshop. Dès les premières semaines nous avons été mis dans le bain : par 6 nous avons dû nous lancer dans la construction d’une maison en carton à l’échelle une. C’est là qu’on a commencé à apprendre. Le premier travail de groupe, les premiers croquis, les premières idées, interrogations et maquettes, les premiers questionnements structurels, les premières charrettes, les premières défaites, les premières victoires. Mais par-dessus tout, alors que nos professeurs étaient persuadés que le toit de notre structure allait s’effondrer, ce fut la satisfaction de voir notre œuvre achevée qui m’a fait réaliser que j’étais bel et bien lancée dans le cursus et qui m’a fait entrevoir que j’avais peut être finalement bien ma place ici. Le retard que j'avais l'impression d'avoir n'était finalement pas si grand. de toutes façons nos connaissances évaluées étaient basées sur les cours magistraux que nous avions tous et pour les cours de projets nous partions tous du même point. En parlant du cours de projet : il a été très déstabilisant. Au premier semestre nous étions frustrés de ne pas réellement faire projet. On a fait une coupe et un peu de programmation mais rien de ce que nous attendions réellement de cet enseignement. Le deuxième semestre a été déstabilisant d'une autre manière, nous avons du concevoir sans connaitre les codes. Nous n'avions aucune notion technique donc très peu de contraintes et nous avons du nous les imposer nous mêmes pour concevoir probable sans vraiment comprendre les limites de réalisme que nous devions avoir. Ce sentiment est resté au semestre 3 pour petit à petit s'effacer. En troisième année, la difficulté était tout autre. Mes camarades et moi nous sommes vite retrouvés face à une charge de travail dépassant tout ce que nous avions connu. La quantité et la qualité des documents requis avait drastiquement augmenté, je me suis à deux reprises retrouvée à présenter 3 projets complets avec documents finis dans la même semaine. L’exigence des maquettes avait aussi augmenté, mais ayant passé deux semestres loin de l’école, ses ateliers et son fablab, il ne nous avait été demandé aucune maquette depuis plus d’un an (à cause des confinements successifs). Mais ce n’était pas un argument, les difficultés m’ont permis de me débrouiller par moi-même et de me dépasser. Cette troisième année a été un réel sacrifice. Je me suis consacrée corps et âme dans le projet, je n’avais plus de temps pour faire autre chose, je ne voyais même plus mes amis qui travaillaient pourtant dans la même école que moi, je me contentais d’échanges brefs avec ceux assis à la même table, j’y ai laissé beaucoup de cartouches de sommeil ; encore aujourd’hui je récupère certaines heures sacrifiées lors des derniers rendus du premier semestre. Il a été moralement et psychologiquement dur : lorsqu’on se consacre autant à son travail, tout devient personnel et la critique est plus dure à digérer. Lorsque j'ai écris ces mots dans mon rapport de fin de licence, je sentais un note d'aigreur en moi. J'avais sacrifié un peu de ma vie pour des cours... Je me suis souvent dit que "les études ce n'est pas ta vie entière, pense un peu à toi" et je ne l'avait pas fait une fois. Cependant, avec le recul, ce sacrifice m'a au moins donné la tranquillité d'esprit de me dire que j'avais donné tout ce que j'avais à donner et que le projet n'aurait pas pu être mieux. Mais malgré tout, ce que je trouve dommage c’est que pour cette matière j’ai dû mettre de côté certains enseignements annexe par manque de temps ; j’assistais aux cours mais mon cerveau ne pensait que projet ou se mettais en off pour récupérer un peu de temps de repos. Cette année nous avions un professeur de droit passionnant et il m'est arrivé plusieurs fois de somnoler pendant ses cours à cause de la fatigue accumulée alors que ce que j'avais en face de moi intéressait vraiment. Dans notre cursus nous avons une grande pluralité d’enseignements autre que le projet et qui se rapproche plus ou moins de notre potentiel futur métier. En premier il y a la construction. Venant d’un bac SI, j’avais déjà quelques wagonnets d’avances qui m’ont permis de ne pas écouter la première année et de m’en sortir assez correctement. La deuxième et troisième année les choses se sont corsées, plus de calculs, plus de notions, on entrait dans le côté architectural de la matière. Les quatre heures consécutives hebdomadaires de cette matière ne m’ont guère tenue en éveil bien qu’elles semblaient intéressantes. Mais la fatigue du projet n’aidant pas j’ai eu du mal à m’y accrocher et encore plus à m’y mettre par la suite. Sont venues aussi les matières manuelles. En premier lieu nous avons eu des cours de représentations. J’ai beaucoup aimé ces cours. J'en garde un souvenir très agréable. Je mets dans le même lot les modules d’art plastique. 3 jours, deux fois par semestre pendant 2 ans. A l’époque je râlais beaucoup car je n’en voyais pas le sens, mais aujourd’hui j’en tire la joie d’avoir manipulé, expérimenté, et de travaillé sans me prendre la tête. Et sans eux cette année, j’ai pu me rendre compte qu’ils offraient une pause profitable au milieu du semestre de projet. Ces matières ont comblé mon amour du travail manuel, tout comme mon stage de première année. J’ai effectué ce stage dans une menuiserie-charpenterie du Loiret et j’ai passé deux formidables semaines à vagabonder à faire des planchers, des terrasses... J’ai pris plaisir à avoir mes yeux sur autre chose qu’un écran et avoir des mouvements plus amples que ceux du dessin et du travail sur ordinateur. Durant ces 3 ans j’ai aussi découvert des matières plus littéraires. L’histoire de l’architecture qui m’a immédiatement passionnée mais la longueur des cours ont eu raison de ma concentration. J’ai adoré les cours de première année sur les racines de l’architecture, et si j’ai eu un peu plus de mal avec l’architecture moderne explorée en L2 c’est avec plaisir que je l’ai retrouvée mêlée au patrimoine lors de ma troisième année. J’ai trouvé ces cours très intéressants et j’ai tout particulièrement apprécié l’enseignement d'une de mes professeures qui nous a appris à voir l’architecture autrement et y développer un réel esprit critique par le biais de son discours mais également des débats qu’elle organisait. Nous avons également eu des cours de droit, et si ils m’ont peu intéressés en L2, les cours de L3 était nettement différents. J’ai grandement apprécié aussi d’avoir eu l’occasion d’élargir le domaine de l’architecture à travers de sujets plus inattendus tels que la philosophie ou l’anthropologie ainsi que le cinéma. Je suis actuellement en Master. Je regrette presque que ces trois années soient passées si vite. La licence, même si elle est éprouvante, est la période de l'architecture libre, créative, émotionnelle... On s'amuse, on expérimente. Le master est là pour appliquer toute l'expérience accumulée pendant ses 3 ans, il est plus sérieux, plus appliqué. Ce contraste m'aide beaucoup sur ma vision de l'architecture que je veux pratiquer plus tard. J'ai envie de retrouver cette pratique "fun". Je pense que c'est quelque chose que je pourrais potentiellement trouver dans la scénographie ou le maquettisme... Affaire à suivre...
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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