Les passions qui nous animent sont souvent maîtresses de notre esprit. Elles sont omniprésentes dans nos têtes, et devoir choisir des études ou tout du moins une orientation s 'avère assez souvent très difficile quant au choix à effectuer. Certaines personnes ont déjà la réponse à cette question, certes, mais pour d'autres c'est encore assez flou et le type d'explication à venir pourrait être utile quand à leur vision des choses.
Il faut tout d'abord savoir cloisonner ces 2 notions. En effet, le mot passion va désigner l'attirance très forte envers ici une chose. Elle peut se traduire par un sport particulier, un domaine de prédilection dans lequel nous sommes plongés depuis notre enfance, un type d'art qu'il soit musical ou pictural, bref une attirance. Lorsque nous sommes contraint à choisir un futur domaine d'activité, oui parce que ne nous le cachons pas, pour certains c'est une véritable corvée, avoir tendance à se précipiter vers les domaines de l'acquis semble inévitable. Tandis que le travail lui, est chose obligatoire dans une vie, et celui qui nous apportera les ressources nécessaires à notre futur.
Nous entendons très souvent les gens dire que nous ne pouvons pas tous vivre de notre passion sinon la société ne fonctionnerait pas. C'est hélas, avec le temps nous pouvons le confirmer par tous, même ceux qui ont la chance d'atteindre ce fameux but. Lorsque vous prendrez conscience de cela, un sentiment de dégoût vous envahira probablement, mais n'ayez crainte, il faut savoir se relever et penser autrement, une sorte de mini remise en question si je puis dire. Une vision des choses différentes est alors à adopter pour appréhender le futur, prendre la notion de travail au second degré, comme ce qui nous fera vivre, construire et atteindre vos objectifs, perpétuer vos passions finalement.
Il vous faut bien comprendre une chose, si votre passion vous anime, cloisonner est le meilleur moyen de s'en sortir et d'avancer sans être frustré ou en faisant des choix par défaut. Voyez loin, voyez large, et surtout il faut que vous songiez à ce que vous ne voulez pas faire, ce qui vous ramènera vers ce que finalement vous voulez. Ne prenez pas en compte seulement les notions de travail ou de passion, réfléchissez comme si ces questions étaient un tout et vous arriverez à mélanger à la fois votre travail en combinaisons de vos points forts, et perpétuez vos passions afin qu'elle vous servent de carburant, tout comme pourraient le faire votre famille, votre moitié, motivez vous !
Tout cela à déjà été vécu par de nombreux étudiants, il ne faut pas se laisser abattre par la peur d'avancer ou de se jeter dans le vide sans sûretés, on appelle tout simplement ça grandir, mûrir. La seule qu'il faut que vous visiez c'est d'être heureux, après vous broderez tout vis-à-vis de cet objectif et à chaque fois vous vous en sortirez la tête haute.
Hello ! A tous ceux qui se demandent où partir en voyage d'études, je peux vous conseiller le Mexique ! En 2017, j'ai vécu 4 mois à Leon, une grande ville de 2 millions d'habitants, super accueillants. J'étais à l'université "Universidad de Leon", en plein centre-ville, où j'ai découvert une toute autre culture, très intéressantes, et un mode de fonctionnement scolaire différent de ce que l'on a en France. Mes cours étaient en anglais et espagnol, et on a principalement travaillé sur le Commerce International (commerce intérieur et export, accords entre le Mexique et les autres pays d'Amérique Latine ou en dehors), Transport (assurances, modes de transports,... on est bien servis en Europe!), histoire du Mexique et de l'Amérique Latine, management interculturel,... très très intéressant ! Pour plus d'infos et de détails sur les cours et la culture Mexicaine, je suis à ta dispo ! Chloé
J'ai mis énormément de temps avant de prendre la décision d'intégrer une CPGE, les clichés que l'on a sur ce choix d'études peuvent être très repoussant mais j'ai décidé de tenter l'aventure. Me voila en 2ème année, déjà, car oui en prépa le temps passe extrêmement vite, et à aucun instant j'ai pensé avoir fait le mauvais choix. Les clichés, j'en ai rencontré que très peu, il y a des vérités concernant la masse de travail plus conséquente qu'au lycée, une vie sociale réduite, un niveau très difficile. Mais maintenant que j'en ai fait moi même l'expérience je peut vous dire que la majorité des clichés sont faux ou du moins beaucoup trop exagéré à mon goût. J'ai toujours été 1er ou 2nd de ma classe, mais en arrivant en prépa, entouré de tas de gens comme moi qui sont habitués à être les meilleurs c'est difficile de se démarquer ! Pourtant je l'ai fais (je suis dans le top 5 de ma classe) car le défis est encore plus intéressant parce qu'en prépa tout le monde joue le jeu ce qui pousse l'ensemble de la classe vers le haut. Donc contrairement aux idées reçues, les CPGE ne sont pas impossible à faire mais justement elles ouvrent les portes pour de nouveaux défis, certes plus difficile à relever, mais bien plus intéressant ! Je ne regrette donc pas d'avoir fait ce choix et je suis heureux d'avoir pu vivre cette expérience très enrichissante.
Le BTS Assistant Manager (AM) s'appelle désormais Support à l'Action Managériale (SAM). La matière principale est départagée en 3 blocs : - Bloc 1 : OPA, Optimisation des processus administratifs (4h/sem) - Bloc 2 : Gestion de projet (4h/sem) - Bloc 3 : CGRH, Collaboration à la gestion des ressources humaines (4h/sem) Soit un total de 12h par semaine. Les autres matières sont les suivantes : - CEJM, Culture économique, juridique et managériale (4h/sem) - CGE, Culture générale et expression (3h/sem) - APA, Ateliers de professionnalisation appliquée (6h/sem) - LV1 (3h/sem) - LV2 (3h/sem) On m'a dit : "Plus d'EPS ! Plus d'Histoire, de Géographie !" Effectivement, plus d'EPS à l'horizon (ouf), pas d'histoire ni de géographie non plus, mais le "français" est toujours présent. En effet, la matière ci-dessus nommée "Culture générale et expression" est semblable au français.
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec lui
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