L'Institut de Formation Fondacio (ou IFF Europe) est une école privée d'enseignement supérieur rattachée à l'Université Catholique de l'Ouest (UCO) d'Angers.
L'école possède un bâtiment hors de l'UCO où sont dispensés les cours. Les parcours proposés par l'école portent sur l'orientation et sur une formation de bachelor de conduite de projets solidaires. L'IFF Europe a trois valeurs principales : bienveillance, authenticité et exigence (donner le meilleur de soi au moment donné). L'école compte environ 180 élèves répartis dans des classes de 18 personnes, ce qui permet une réelle qualité d'enseignement au quotidien.
L'IFF Europe propose deux formations en lien avec l'orientation.
Tout d'abord, le diplôme universitaire OPEN (Orientation Projet Engagement) qui consiste en une année de formation et qui nécessite la seule obtention du baccalauréat. Cette année comprend beaucoup de connaissance de soi, compréhension de ses limites, de ses ressources, du fonctionnement de l'homme en relation et l'exploitation d'outils méthodologique au service de la construction d'un projet d'avenir. Elle vise également le développement de la parole personnelle, la capacité d'analyse... C'est une année qui permet aux étudiants de penser leur futur professionnel et de s'y préparer aux travers de deux stages et de nombreux ateliers.
Le second parcours s'appelle TREMPLIN et consiste en 6 mois de formation. Les défis de ce parcours gravitent autour du projet d'orientation. L'idée est de mieux se connaitre, gagner en estime et en confiance, acquérir une meilleure perception des enjeux globaux, développer des compétences professionnelles et humaines et retrouver une dynamique d'apprentissage.
Le Bachelor en conduite de projets solidaires consiste en 3 années de formation.
Les étudiants sont amenés à devenir acteur de leur futur pro mais aussi de l'apprentissage reçu. Les cours ne sont pas "traditionnels" dans le sens où ils sont organisés par module. Organisée par session d'intervention, cette formation propose des rencontres avec des professionnels actifs, des coachs, des art-thérapeute, écrivains, religieux et permet de s'ouvrir sur le monde environnants et les enjeux qu'il porte.
Les étudiants prennent part à une association la 1ère et 3ème année afin de mettre en pratique. Tout au long de l'année cette association fonctionne entre les étudiants qui cherchent des projets, des financements, des partenaires et mettent en place la totalité de la logistique de départ et de déroulement de mission. Entre Sénégal, Albanie, Maroc, Togo ou Liban, les étudiants apprennent à travailler en groupe, à prendre des responsabilités et surtout peuvent mettre du sens au mot "engagement" et "solidarité".
La solidarité s'entend beaucoup dans nos enjeux contemporains. Mais très peu se posent vraiment la question du sens que l'on met derrière ce mot, cette valeur...
La solidarité n'est pas, pour moi, l'aide que l'on apporte aux plus démunis. La solidarité vise à accompagner ceux qui en font la demande jusqu'à l'autonomie. Cela implique de les rendre acteur de leur propre développement. Aujourd"hui, dans une société où nous sommes tous plus ou moins en difficulté quand il faut prendre des responsabilités, faire des choix et s'engager, on se rend compte qu'en devenant acteur de sa vie et en étant cohérent à soi, tout ce travail se fait bien plus fluidement.
La solidarité aujourd'hui, pour moi, n'est pas un métier mais un savoir-être et un savoir-faire sur lequel je construis ma future professionnelle.
L'expérience que j'ai de cette école m'a permise d'aborder le monde professionnel avec un nouveau regard. J'y ai grandement appris en terme d'autonomie, de responsabilité mais surtout j'ai eu plaisir à apprendre.
L'IFF Europe pousse et invite ses étudiants à mettre du sens à leurs engagement, à leurs actions et au futur qu'ils préparent. Avec des valeurs et un groupe porteur on se rend compte que oui la formation dépend de nous mais également de l'aide et de la richesse que les autres peuvent nous apporter.
J'ai appris à aimer apprendre et à travailler en groupe dans le respect de soi et des autres. J'ai eu la chance de rencontrer des intervenants très pertinents, intéressants et inspirants qui sont encore aujourd'hui des sources de motivation et d'engagement pour moi.
Bref, j'aime cette école et le travail qu'elle permet de faire en tant qu'étudiant est d'une infini richesse que je souhaite à tout un chacun de découvrir.
La licence d'histoire ouvre de multiples possibilités et de multiples horizons. Selon l’université, le niveau et surtout ses goûts il est possible d'étudier et d'explorer tellement de domaines différents ! Même s'il est nécessaire d'étudier les quatre périodes il est intéressant de choisir celle qui nous intéresse le plus ! L'enseignement est tellement large qu'il nous permet de penser à l'avenir plus sereinement. Les sujets sont tellement nombreux qu'il est facile de se projeter! Il n' y a aucun frontière, tout est possible!
La Licence économie-gestion est une formation pluridisciplinaire. En effet, tout au long des 3 années, vous aurez des enseignements en : - Economie : microéconomie, macroéconomie, économie appliquée avec de l'économie publique, de l'économie de l'environnement, histoire de la pensée économique. - Gestion : économie et management des entreprises, comptabilité, gestion/analyse financière, management des coûts. - Techniques quantitatives : mathématiques, statistiques, informatique (VBA, Excel, Access...) - ainsi qu'un choix d'options assez large : sciences politiques, démographie, sociologie, commerce international, sport, culture internationale pays hispanophones/germanophones... Une spécialisation en L3 avec un parcours davantage axé marketing, GRH (gestion des ressources humaines), stratégie et management des entreprises ou un parcours Banque, finance, assurance avec du droit, des mathématiques, de la gestion
Étudier à Sciences Po Paris, c'est comment ? Depuis le mois d'août 2018, j'étudie à Sciences Po Paris sur le campus de Reims en première année. En effet, la première chose à savoir sur Sciences Po est qu'il existe 7 campus différents, chacun orientés vers une zone géographique en particulier : - le campus de Reims, qui a deux programmes : Amérique du Nord (appelé plus couramment Euram par les étudiants) et Afrique (appelé Euraf) - le campus de Menton orienté vers le Moyen-Orient et la Méditerranée - le campus de Dijon, orienté vers l'Europe Centrale et Orientale - le campus du Havre, orienté vers l'Asie - le campus de Poitiers, orienté vers l'Amérique Latine, l'Espagne et le Portugal - le campus de Nancy, avec un programme Franco-Allemand - et enfin le campus de Paris, qui n'a pas de zone géographique particulière. À quoi réfère ces zones géographiques ? Dans chaque programme spécialisé dans une zone particulière, les enseignements sont orientés sur l'études plus poussées de ces zones. Par exemple, faisant partie du programme Europe-Amérique du Nord, les exemples de cours sont souvent basés sur le modèle américain ou canadien. De la même façon, les étudiants du programme Europe-Asie du Havre auront des exemples plutôt tournés vers les pays asiatiques. De plus, il faut savoir que tous les cours de Sciences Po ne sont pas dispensés en français ! En effet, le programme Europe-Amérique du Nord propose uniquement des cours en anglais, tout comme le programme Europe-Asie. Pour les autres programmes, suivant la région vers laquelle ils sont tournés, certains enseignements sont proposés en anglais ou dans la langue associée à la région du monde (espagnol pour le campus de Poitier, allemand pour le campus de Nancy par exemple). Concernant les enseignements, les trois premières années à Sciences Po sont très générales. Le but est d'acquérir des connaissances dans des domaines variés afin d'obtenir un bagage culturel important pour la poursuite des études en Master. Ainsi, le premier semestre de première année est composé d'économie, de droit constitutionnel, d'histoire du XIXème siècle, de mathématiques, de philosophie (qui est également dispensée pendant le deuxième semestre) et de cours de langue (eux aussi dispensés durant le deuxième semestre). Le deuxième semestre est quant à lui fait de sociologie, de sciences politiques, d'un séminaire d'exploration cette année basé sur la liberté et la sécurité, de statistiques, d'un cours d'art (à choisir parmi une liste de choix très variée), et des cours de philosophie et de langues dans la continuité du premier semestre. Mon ressenti : En arrivant sur le campus de Reims, je me suis sentie un peu perdue. Il faut avouer que passer d'un petit lycée de 600 élèves à un campus de 1300 étudiants venant du monde entier, c'est plutôt dépaysant. En effet, 97 nationalités se côtoient sur ce campus, ce qui lui donne une dimension très internationale. En plus de cette variété de personne, j'ai aussi été très vite confrontée à la barrière de la langue. En effet, alors que la plupart des étudiants étaient déjà bilingue ou parlaient couramment anglais, je n'étais absolument pas dans leur cas. J'ai en fait été placée dans le cours d'anglais au niveau le plus bas de disponible, c'est-à-dire B1. Pour être tout à fait honnête, mon premier semestre a été difficile: non seulement j'ai dû m'habituer à avoir tous mes cours en anglais, mais j'ai en plus du apprendre à mettre en place une organisation de travail. L'organisation, c'est d'ailleurs le plus important qu'un étudiant doit acquérir afin de réussir ses études supérieures. En effet, il n'y a plus de devoirs à proprement parler. On doit apprendre ses cours régulièrement, et on a les dates de nos exposés donnés au début du semestre, ce qui implique de prendre de l’avance dans son travail. Enfin, il est aussi important de parler de la vie associative foisonnante à Sciences Po. Dans chaque campus, on retrouve diverses associations, en rapport à la politique, la protection de l’environnement, le débat, des causes solidaires, etc. Via ces associations, on peut s’épanouir en dehors des cours, et acquérir des compétences qui ne sont absolument pas au programme. Ainsi, faisant partie de l’association les Cordées de la Réussite, qui est un programme mettant en place des partenariats entre des étudiants de Sciences Po et des élèves de troisième, j’ai pu être tutrice d’une dizaine d’élèves pendant un an. J’ai partagé avec eux mon expérience à Sciences Po, fait office de grande sœur pour certains, et surtout mis en place des ateliers variés afin de leur faire découvrir et prendre conscience de certains phénomènes d’actualité, comme la protection de l’environnement. En bref, Sciences Po a été pour moi : - Une nouvelle langue - Un défi - Un grand changement - Des découvertes Et l’aventure ne fait que commencer…
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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