Les études de droit, une vaste épopée dans laquelle on se lance sans savoir à quoi l'on s'attend. Aujourd'hui je t'écris un article pour te donner les clés pour réussir tes partiels de fin de semestre. Chaque année universitaire est découpée en deux semestres. Les partiels du premier semestre ont lieu en décembre/janvier. Ceux du deuxième ont lieu selon les universités entre avril et juin. Alors, comment les réussir ?
Pour s'assurer d'avoir son semestre, il faut déjà partir avec de bonnes notes en TD. Attention, pas de panique si tu lis cet article et que tes notes ne sont pas fameuses en TD. Tu as toujours tes chances de réussir ton semestre. En tout cas, souviens toi toujours de t'assurer de bonnes notes en TD, elles te permettent d'avoir un petit peu d'avance sur les notes que tu auras en partiel final. Pour avoir de bonnes notes en TD rien de plus simple : tu fais le travail demandé et tu PARTICIPES. Alors oui, ce n'est pas évident de participer, surtout quand tu es timide / le TD est à 8H / les étudiants te paraissent en connaître plus que toi. Mais il faut sortir de ta zone de confort et participer.
Une fois que tu as eu des notes convenables en TD, tu sais que tu pars avec un peu d'avance. En effet, la note que tu auras en TD sera additionnée à la note du partiel final et la moyenne sera faite. Si tu as eu une bonne note en TD mais que tu as raté le partiel final, en faisait la moyenne tu peux t'en sortir ! Pour réussir le partiel final rien de plus simple : l'ORGANISATION. Organise-toi des plages horaires de révision, des plages horaires de repos, de sortie et de SOMMEIL. On ne fait pas de nuit blanche la veille d'un partiel. Mais 1/2 semaines avant on s'organise pour arriver le jour du partiel en connaissant son cours, en s'étant reposé, et en étant un peu sorti voir ses amis.
Une fois que ton planning de révision est fait il n'y a plus qu'à s'y mettre. Alors oui, qui a déjà respecté un planning de révision à la lettre ? Si cela ne t’est jamais arrivé, c'est le moment d'y arriver justement ! Sinon place des jours sans rien afin de repositionner le travail que tu n’auras pas réussi à faire. Ensuite, pour réviser prend de la hauteur. Comprend ce que tu apprends et n'apprend pas par cœur. Le meilleur moyen est de faire comme si tu expliquais ton cours à un de tes copains qui n'est pas en droit (ou qu'il l'est d'ailleurs). Tu verras, tu vas savoir si tu connais ton cours et les parties à revoir.
La fameuse question lorsque l'on révise : fiche ou pas fiche ? C'est à ce moment que je te dis : tout dépend de TOI. Tu es le maître de ta réussite et de ton destin. Durant tes études apprend à connaître ta méthode de travail. C'est la tienne et à personne d'autre. Si tu aimes les fiches alors fais-en. Si tu n'aimes pas n'en fait pas et ne soit pas stressé par ceux qui en font. Si tu as des questions, si tu veux que je développe plus, si tu veux que je développe par rapport à toi et à ton parcours, si tu veux qu'ensemble on découvre ta manière de travailler, si tu veux que je te parle des études de droit et des métiers : Contacte-moi !
En quoi consiste la REES (Réforme d’Entrée aux Études de Santé) ? 1- Apparition de nouvelles voies pour accéder aux formations médicales : L’accès aux filières médicales ou MMOPK (Maïeutique- Médecine - Odontologie-Pharmacie- Kinésithérapie) n’est plus unique comme au temps de la PACES mais maintenant double. En effet, pour y accéder vous pouvez intégrer un PASS (= Parcours d’Accès Spécifique Santé) ou bien intégrer une L.AS (= Licence avec Accès Santé). En fonction de votre faculté le pourcentage d’étudiants issus du PASS ou bien du qui intégreront la 2ème année de MMOPK est variable et sera amené à se modifier aux cours des années. On considère cependant que la moitié voire même les trois quarts des étudiants pris en 2ème année seront issus du PASS pour la plupart des facultés. A- PASS : Le PASS est la voie d’accès aux études de santé qui se rapproche le plus de la PACES. Cependant, des modifications ont été apporté au format antérieur notamment par la séparation du programme en deux parties : Tronc Majeur (75 % du volume horaire) et Tronc Mineur (25 % du volume horaire) . Egalement, l’une des grandes nouveautés de cette réforme est le fait que l’étudiant ne pourra plus redoubler sa première année afin de favoriser la réorientation. a- Le Tronc Majeur : Le Tronc Majeur correspond aux matières « Santé » et reprennent les matières de l’ancien programme : - UE1 : Chimie et Biochimie - UE2 : Biologie cellulaire, Histologie et Embryologie - UE 3 : Physique et Biophysique - UE4 : Biomathématiques, Biostatistiques et probabilité - UE5 : Anatomie - UE6 : Initiation à la connaissance du médicament - UE7 : Sciences Humaines et Sociales et Santé Publique - UE8 : Physiologie et Matières spécifiques b- Le tronc mineur : Le Tronc Mineur qui correspond à une matière qui n’a rien à voir avec les filières MMOPK. Ce dernier va varier en fonction de la fac. En effet, dans certaines facultés une liste de plusieurs matières sera proposée aux étudiants et ces derniers devront choisir celle qui les intéressent le plus, alors que dans d’autres facultés proposeront un tronc mineur avec plusieurs matières mélangées. c- La réorientation : Correspond à l’objectif principal de cette réforme, favoriser la réorientation des étudiants en cas d’échec au PASS. En effet, plusieurs issues vous seront offertes à la fin de votre année PASS en fonction de vos résultats : * Vous faites partie des « Grands Admissibles » : - Concerne les étudiants ayant obtenu les meilleurs résultats durant l’année PASS. - Ils entrent directement en L2 d’étude de Santé. * Vous passez l’oral : - Vous n’avez pas obtenus les meilleurs résultats de votre promotion mais vos résultats sont tous de même corrects. - Vous passez un oral qui, si vous êtes sélectionnés, vous permettra d’entrer en L2 d’étude de Santé. * Vous entrez en L2 de la licence votre matière mineure : - Vous avez obtenus au moins 10 de moyenne à votre année PASS cependant ni vos résultats ni votre oral ne vous a permis d’accéder à une L2 d’étude de Santé. - Vous poursuivez alors vos études dans une licence correspondant à votre tronc mineur ou bien une des matières de votre tronc mineur. - En fonction de vos résultats à la fin de votre licence, vous pourrez toujours retenter d’accéder aux études de Santé. * Vous êtes réorienté en L1 d’une autre formation par Parcours Sup : - Vous n’avez pas obtenu la moyenne à votre année PASS, vous devez alors obligatoirement recommencer une autre L1 dans une autre filière. B- La L.AS : Elle s’apparente d’avantage à une licence conventionnelle dans une filière donnée cependant, elle présente un module spécifique que l’on appelle « Accès Santé ». Le principe d’accès à la fin de votre L1 en L2 MMOPK est le même que pour le PASS, les meilleurs étudiants seront directement admis en L2 (les grands admissibles) pour les autres ayant obtenu plus de 10, un oral leur sera proposé et à l’issu de cet oral ils pourront soit entré en L2 MMOPK soit entrer en L2 de leur licence initiale. Ces derniers auront la possibilité de retenter leur chance à la fin de leur L2 ou de leur L3. ⚠️ Vous ne pourrez formuler que 2 fois une demande d’accès en étude de Santé au cours de votre licence. ⚠️ A bien vous renseigner auprès de votre faculté sur les licences qui ont cet accès Santé en fonction de votre académie ! 2- Intérêts de cette réforme: - Diversifier les profils des futurs professionnels de Santé - Favoriser les capacités individuelles de chacun par la possibilité de choisir une filière correspondant d’avantage à votre profil et ainsi optimiser vos chances de réussite. - Favoriser la réorientation afin de limiter le sentiment d’ « échec » de l’étudiant s’il n’est pas admis en L2 MMOPK et diminuer le risque de recommencer de 0. - Diversifier les connaissances des étudiants via le « Tronc Mineur » afin d’offrir à l’étudiant des connaissances autre que celles de Santé. 3- La disparition du numerus clausus ? Le numerus clausus ne disparaitra pas véritablement mais n’aura que son appellation qui sera modifié en devenant le « numerus apertus ». En effet, les études de santé resteront toujours autant sélectives car les facultés n’offriront qu’un nombre limité de place en L2 MMOPK en fonction de ses moyens. 4- L’avis d’une étudiante en médecine sur cette réforme : Personnellement, je pense qu’il est bon de vouloir modifier le système d’accès aux études de santé car il n’était pas optimal et juste pour tous. En effet, à mon époque, les profils d’étudiant sélectionnés étaient assez homogènes, c’est à dire des étudiants compétitifs, capables d’assumer une grande charge de travail et ayant une mémoire assez développée. Ceci, à mon sens défavorisait certains étudiants tout aussi motivés et compétents qui répondaient moins aux critères de sélections précédemment cités. Ainsi, en diversifiant l’accès aux études de santé notamment via le L.AS cela permettrait à des étudiants ayant des méthodes de travail ou d’intelligence différentes d’accéder aux études de santé ce qui, pour moi, est plus équitable. De plus, l’idée de « limiter la casse » à la suite d’un « échec » en première année en favorisant la réorientation est pour moi une très bonne chose car la frustration de devoir recommencer à 0 alors que l’on a passé une année à étudier du matin au soir est immense. Cependant, j’ai l’impression que cette réforme ne tient pas totalement ses promesses et n’est pas aussi innovante que ce qu’elle en a l’air. En effet, dans l’esprit de beaucoup d’étudiants cette réforme était un moyen d’augmenter le nombre de places en étude de santé et ainsi limiter la sélection extrême que devaient subir les étudiants qui voulaient y accéder. Or, comme démontré plus haut, cette réforme n’a pour fonction principale d’augmenter le nombre de places mais d’en favoriser l’accès à des profils plus variés. Egalement l’accès aux autres licences et la réorientation en L2 d’une autre filière en cas de moyenne supérieure à 10 était déjà possible à mon époque. J’ai donc peur qu’elle soit source de complications et de désillusions pour certains étudiants.
L'international et mon école Une de mes passions, ce sont les voyages. J'ai la chance de pouvoir voyager dans le monde depuis toute petite avec mes parents mais aussi par moi-même. Depuis mes 18 ans je travaille pour pouvoir mettre de l'argent de coté, justement pour pouvoir me payer mes petites escapades. J'ai choisi de faire une école de commerce car j'accorde beaucoup d'importance aux échanges internationaux et à la mondialisation en général. Depuis que je suis en Ecole, j'ai l'opportunité de voyager dans le cadre "scolaire". En effet en deuxième année, j'ai eu la chance de partir faire un summer camp dans la prestigieuse université de Berkeley (5e meilleure université au monde) en entreprenariat et innovation. j'ai eu la chance de visiter les locaux de Google, Amazon, Linkedin et Chegg au coeur de la silicon Valley. Je suis également partie en 3e année à Macao (petite île en face de Hong Kong) pour y effectuer mon échange académique, obligatoire pour valider mon diplôme. Cet échange de 5 mois en Chine (même si ce n'est pas vraiment la Chine) restera l'une de mes meilleures experiences. Pour la première fois, 100% de mes cours étaient en anglais et opérés par des professeurs internationaux. J'y ai aussi fait des rencontres extraordinaires d'étudiants du monde entier et c'est à partir de ce moment-là, que je me suis passionnée pour la Chine et la langue chinoise. En fin de 4e année, je suis partie à Shanghai pour mon premier stage à l'international. j'y ai occupé le poste d'assistante marketing pour une petite entreprise irlandaise de sur mesure pour hommes en plein coeur de la ville. L'avantage de Shanghai, c'est que cette ville est très cosmopolite et très internationale, je n'y ai donc pas rencontré de problème pour parler anglais même si je pratiquais le chinois le plus possible. Mon dernier voyage "scolaire" remonte à il y a quelques jours, à l'ASE de Bucarest (une des meilleures universités de Roumanie) pour un séminaire en logistique et supply chain (chaine d'approvisionnement) de 2 semaines. La Roumanie n'est pas forcément un pays auquel j'aurais pensé pour voyager mais au final l'experience à été un franc succès. j'ai eu l'occasion de visiter des entreprises locales et international, leader sur le marché comme Euroccoper, Delamode, Schlumberger ou encore DB Schenker. Comme vous avez pu le voir, mon parcours est très international depuis ma 2e année d'école de commerce. il est important pour moi de rencontrer de nouvelles personnes du monde entier mais aussi de découvrir de nouvelles culture et méthodes de travail. Si vous êtes autant passionné.e que moi, n'hésitez pas et foncez car vous êtes à une période de votre vie où tout est plus facile et que rien n'est impossible. Le monde est si grand, pourquoi ne pas partir maintenant ? Si vous souhaitez des conseils sur votre premier départ à l'international ou un premier stage à l'international, n'hésitez pas a prendre rendez-vous, je me ferai un plaisir de vous apporter le plus d'infos possible sur une experience inoubliable.
Beaucoup de personnes se demandent ce qu'ils feront après le bac. C'était mon cas lorsque j'étais en terminale, je voulais faire kinésithérapeute mais j'ai appris à ce moment-là qu'il fallait passer par 1 année de médecine. Or, je n'avais pas le courage et l'envie de faire cette année de médecine. Je suis donc allée voir ma conseillère d'orientation qui m'a présenté le métier d'ostéopathe, métier qui se rapprochait le plus de kinésithérapeute. Suite à cela, j'ai donc postulé dans 2 écoles d'ostéopathie à Paris : l'IDO et l'EO Paris. Après avoir envoyé mon dossier, j'ai été retenue dans les deux écoles pour passer un entretien. Je suis tout d'abord allée passer l'entretien chez l'IDO puis un peu plus tard chez l'EO Paris. Pour des raisons personnelles, j'ai préféré aller à l'EO Paris et intégrer cette école située au-dessus de la gare Montparnasse. J'entame ma première année en tant qu'étudiante en ostéopathie et tout de suite j'accroche avec cette formation et ce métier si intéressant. Les cours théoriques se complètent très vite par des cours de pratique ou chacun est avec son binôme, le professeur nous montre une technique à réaliser, puis nous la reproduisons sur notre binôme et sur une table de pratique. J'apprends très vite que l'anatomie sera le principal pilier de notre métier et que la rigueur et la réflexion seront nos meilleures armes pour traiter nos futurs patients. Dotée d'une clinique interne à l'école, nous pouvons observer quelques consultations réalisées par les étudiants de la 3ème à la 5ème année. Ce qui m'a plu directement dans cette école, c'est aussi cette ambiance qu'il y règne. Les professeurs sont à l'écoute et très compréhensifs, toujours à nous aider en cas de problème ou de doute. En bref, je ne regrette pas d'avoir choisi cette formation qui m'apprend de jour en jour à me surpasser et à apprendre un réel métier d'avenir.
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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