En sortant du bac, on a tous a peu près 18 ans. On a encore toute la vie devant nous !! Alors changer de voie en cours de route, ça arrive. Déjà parce qu'on est jeune, et que c'est difficile de savoir ce qu'on veut faire plus tard. Et puis on nous tanne depuis notre petite enfance avec cette question, c'est assez stressant de devoir choisir si vite !
Si vous entrez en école ou à l'université et que ça ne vous plait pas ne vous forcez plus, je vous en supplie ! Posez vous la question : Qu'est-ce que je veux vraiment ? Qu'est-ce qui me plait le plus ?
Alors oui c'est pas facile, surtout si elle est payante. La pression de notre famille, de nos amis qui réussissent, l'impression d'être nul, ect. Si votre entourage vous aime, il vous soutiendra. Ne vous concentrez pas sur les rêves de vos parents, vivez les vôtres !
Pour l'annonce, soyez malins ! Si vous n'avez pas le courage de leur dire en face, écrivez leur une lettre avec tout ce que vous ressentez et ce que vous voulez faire. C'est très important pour que la nouvelle puisse passer au mieux.
Quitter ses études sans avoir de projet me parait un peu fou. Alors avant cela, renseignez vous. Quand vous êtes sûrs, foncez ! Et surtout, ne vous retournez pas.
Si vous n'avez pas de projet, le risque est simple. Rester chez vous, perdre le rythme, déprimer, ne plus penser aux études et finir par être obligé de travailler dans un secteur qui ne vous correspond pas.
J'oubliais une chose importante: La motivation !
Je voulais devenir professeur des écoles depuis un très long moment, j'étais plus que sûre de moi. J'ai entamé une licence en sciences de l'éducation, dans une école privée, qui m'a plue au départ. En novembre, j'ai fait mon premier stage dans une école Montessori. Et là, une révélation. Je me suis mise à haïr l'Education nationale et à complètement oublier le métier que je voulais faire au départ. De plus, l'université ne me convenait pas, et 5 ans là bas, NEVER.
Alors j'ai réflechi... J'étais perdue... Je me suis posée la question "Qu'est-ce que je veux vraiment ?". En fait la transmission de savoir ne m'intéressait pas, je voulais être au contact des gens et apprendre des autres tout en les aidant. J'ai cherché un métier qui remplissait tout ça et j'ai trouvé l'éducation spécialisée. Je ne pouvais pas y acceder avec ma licence, donc j'ai décidé de la quitter.
En décembre, j'ai menti à mes parents pendant une semaime en leur disant que j'allais en cours. Ne faites pas ça ! J'ai fais une lettre à mes parents et je leur ai donné quand ils ont remarqué que je n'y allais pas.C'était vraiment difficile de leur dire puisque qu'ils payaient chère mon école. Enfin voilà, l'annonce est faite et je ne peux plus reculer. Mes parents ont bien réagi et m'ont tout de suite aidée. Dès janvier j'ai cherché du travail en attendant la rentrée. J'ai été animatrice et j'ai passé mon BAFA. Ensuite j'ai pu passer mon concours d'entrée à l'école d'éducateur spécialisé et je l'ai eu !
A partir du moment où vous êtes déterminé, vous pouvez y arriver. N'ayez pas peur de vous tromper, et au pire, ce ne sera quoi qu'il arrive pas une année de perdue. Bon courage pour vos orientations !
Si vous voulez plus d'infos, je vous invite à aller voir mon profil et prendre un rendez vous ! Je ne mords pas !
Pourquoi choisir une école d'ingénieurs à parcours "généraliste" ? Suite à une formation initiale en classes préparatoires maths sup maths spé (CPGE), j'ai fait ce choix il y a deux ans pour différentes raisons : 1) Je n'étais toujours pas sûr de savoir ce que je voulais faire ! Cela m'a permis de découvrir différentes thématiques que des étudiants ingénieurs étudient dans des écoles "spécialisées" (mécanique, électronique, énergétique, organisation industrielle, etc.) 2) Je ne voulais pas restreindre mes possibilités. Intégrer une école à formation généraliste ne restreint pas les possibilités, bien au contraire, et le niveau n'est pas nécessairement inférieur à celui d'une école spécialisée. Et, on peut encore effectuer ce que je détaille au point suivant... 3) On peut toujours se spécialiser ensuite ! Rien ne vous interdit de prolonger vos études en effectuant une formation complémentaire à celle que vous possédez déjà. Vous pouvez par exemple vous spécialiser dans un domaine de l'ingénierie en effectuant un master dans une autre école !
En tant qu'étudiante en Licence LLCER japonais à l'université, je suis constamment captivé par la richesse et la beauté de la langue et de la culture japonaises. Chaque jour, je suis immergé dans un monde de kanji et de grammaire complexe, mais passionnante. Les cours de japonais sont à la fois stimulants et gratifiants, grâce à des enseignants passionnés et compétents qui m'encouragent à repousser mes limites linguistiques. Mais ma formation ne se limite pas à l'apprentissage de la langue. J'ai également eu l'occasion de plonger dans la littérature japonaise classique et contemporaine, de découvrir des chefs-d'œuvre littéraires qui reflètent l'âme et l'histoire du Japon. Ce parcours universitaire me permet de développer non seulement mes compétences linguistiques, mais aussi une compréhension profonde de la société et des valeurs japonaises. Chaque jour, je me sens privilégié d'explorer un monde si riche et complexe. Avoir fait une Licence LLCER japonais est une aventure qui m'a ouvert les portes d'un monde fascinant. Cela a façonné ma perspective, élargi mes horizons et m'a donné une passion inébranlable pour la langue et la culture japonaises. Je suis reconnaissant(e) de pouvoir poursuivre cette formation et j'ai hâte de continuer à approfondir mes connaissances et à partager ma passion pour le Japon avec les autres."
Je suis rentrée en PACES en septembre 2019. Mon objectif était clair : me buter au travail pour réussir le concours et aller en deuxième année de médecine. Le mois de septembre s'est plutôt bien passé, j'avais des notes correctes pour mon premier tuto (= concours blanc si vous préférez) et j'étais très motivée. Cependant, dès octobre j'ai eu une grosse chute de motivation et j'avais énormément de mal à travailler, en outre à cause de raisons personnelles et d'une remise en question certaine sur mon orientation. Je me posais beaucoup de questions, je n'étais plus réellement sûre de vouloir continuer là-dedans, tout devenait flou dans ma tête. Je voyais mes amis bosser comme des dingues, suivre les cours à la perfection tandis que moi je ne trouvais même plus la force de venir à la fac. J'ai donc commencer à parler à des gens en deuxième année, à regarder des vidéos sur YouTube et à me remettre en question pour savoir si je m'étais trompée dans mon orientation ou si c'était simplement par manque de motivation face à la difficulté du concours. J'ai fini par comprendre que médecine n'était vraiment pas une filière pour moi. Avec mon niveau en terminale et sortant d'un bac S, la solution pour mes profs était évidente : faire médecine. Depuis petite j'y pensais et je dois bien avouer que ça me faisait rêver. Malheureusement, je n'étais clairement pas motivée pour les bonnes raisons. En effet, ce qui m'intéressait dans la filière médicale... c'était le salaire à la clé ! Ouais je sais, c'est vraiment pas dingue comme motivation, mais au début je ne m'en rendais pas compte du tout. C'est lorsque que je me suis dis "Si le salaire n'était pas aussi élevé, est-ce que tu te tuerais à la tâche pour passer 11 ans de ta vie à étudier ?". La réponse était, sans l'ombre d'un doute pour ma part, "non". Je me rendais petit à petit compte que je n'avais pas du tout la fibre médiacle, je n'étais tout simplement pas faite pour ça. Je continue à croire, encore auourd'hui, que médecine est une véritable vocation, et tout le monde ne peut pas devenir médecin, clairement pas. J'ai donc cherché à trouver un nouveau projet d'orientation au plus vite (juste avant le premier concours de décembre) afin de ne pas perdre plus de temps. Les recherches étaient vraiment compliquées, je n'avais au final jamais réfléchi à un autre métier, et c'est comme si je reprenais tout à 0. C'était la panique à bord ! Après énormément de recherches, j'ai fini par me poser et me dire "Quel train de vie tu veux avoir ?". Au final, la gloire ne m'intéressait pas, je voulais simplement gagner suffisamment d'argent pour mener une vie simple, qui me permettrait d'économiser pour faire des beaux projets. Je voulais un métier qui me permettrait de rentrer tous les soirs à la maison et surtout d'avoir une vie de famille. J'ai alors recherché des études dans lesquelles je pensais me sentir à l'aise, et j'ai tout de suite penser aux maths. C'était ma matière fétiche au lycée, j'adorais vraiment ça. Sur Parcoursup, j'ai trouvé une licence "Mathématiques et Informatique". C'est vrai que je n'avais jamais songé à l'informatique avant, mais cette idée ne m'était pas exclue. Je me suis donc renseignée sur les débouchés, et il y a beaucoup de masters suite à une licence infomartique qui m'ont interpellés. J'étais excitée et impatiente à l'idée de découvrir cette filière, et j'ai été acceptée pour la rentrée de 2020. Désormais, je suis épanouie, et si vous voulez savoir comment se passe mon premier semestre dans cette licence, je vous invite à aller voir mon autre témoignage à ce sujet !
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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