On a souvent entendu dire que les études vétérinaire en Belgique sont bien plus simples qu'en France. Certes tu ne passera pas par une prépa, mais tu devra t'imposer un rythme similaire et les conditions d'accès sont de plus en plus compliquées.
Pour entrer en fac de médecine vétérinaire, tu sera tiré au sort suite à : la composition d'un dossier très complet, le passage d'un examen non contraignant appelé TOSS.
Tu devra donc te rendre deux fois en Belgique, dans la ville de ton choix (Bruxelles, Namur, Louvain, Liège).
Tu ne peux déposer tes dossiers que dans une école par année, et tu n'aura que deux chances (deux années différentes).
N'oublions pas l'équivalence du Bac qui coûte environ 200euros et qui ne pourra pas t'être remboursée. Risqué ? Ça vaut bien le coup pour te donner la chance de faire le métier de tes rêves.
Si tu as la chance d'être tiré au sort, tu devra valider chacune des matières (10/20) de l'année, ce qui est évidemment faisable, mais toujours avec beaucoup de travail. En fin de première année, après la session de juin tu passera le concours. Celui ci portera sur les matières du deuxième semestre uniquement. Le nombre de place défini dépend de l'université. À Namur où je suis, il n'y a que 16 places pour les étrangers, et nous sommes environ 60 à nous présenter.
Une fois concours et examens validés, c'est parti pour la deuxième année et fini la sélection (outre la validation des examens) jusqu'à ton diplôme.
Concernant les matières de première année, je ne te parlerai que de celles de Namur car encore une fois, ça depend des universités.
Point sympa : pas de maths ! (Tu n'aura que des statistiques à partir de la deuxième année).
Les matières scientifiques sont évidemment très importantes, il y a beaucoup de biologie (Cytologie Histologie, Générale, Animale..), de la physique (mécanique, optique, électricité), de la Chimie (générale, organique), et quelques matières qui inévitablement te plaieront, l'ethologie, l'ethnographie, l'anatomie, et clinique en équipe.
C'est le début d'un grand plongeon dans le monde qui t'attire depuis si longtemps, et franchement c'est de la bombe n'en doute surtout pas.
Comme tu l'as compris, j'ai fais cet article pour te prévenir, te prévenir que si tu as cette merveilleuse chance d'être pris(e) en Belgique, tu vas découvrir une vie étudiante très différente de la France, tu vas sans doute te laisser dépasser par l'excitation, mais tu ne vas pas te tourner les pouces.
Ce sont des études vraiment superbes, de mon point de vue, mais ne lâche rien, et travaille le plus possible, c'est un concours, tu dois être dans les premiers. Alors si tu hésites encore à faire tes dossiers, lance toi parce que c'est une belle aventure !
Je suis actuellement en chirurgie-dentaire mais en parallèle, je prépare mon M1 mention biologie santé en Paléopathologie et médecine évolutive. Ce master représente un vrai plus dans ma formation et même s'il me rajoute un peu de travail, le contenu est extrêmement enrichissant. J'encourage vraiment les étudiants du corps de santé qui s'intéressent à la recherche ou à l'enseignement à se tourner vers ces masters là qui élargissent nos champs de compétences. De plus, le master que je suis à Toulouse contient un module spécial pour la chirurgie-dentaire et me permet de rester dans le cadre de mes études principales ce qui constitue vraiment un avantage. N'hésites pas à me contacter si tu veux plus de détails concernant les doubles-diplômes du corps de santé-master ou bien plus globalement sur la recherche etc.
Bonjour, Je suis Clément Samson je suis en section hôtelière au lycée Jean baptiste decretot de louviers la section hôtelière et une section qui est mise de coter par les professeurs de collèges alors que c'est un section qui recrute et qui a beaucoup d'avantage comme celui de trouver du travail dans le monde entier. C'est aussi une section très ou le rapport élèves professeur et très différents des autre section.
Etudiante en Licence 1 de Sociologie à l'université Paul Valéry Montpellier III, je termine ma première année. Celle-ci aura été différente de celle que j'imaginais étant donné les circonstances actuelles. En effet, passer ses partiels à la maison sur son ordinateur est une nouveauté que personne n'a connu auparavant. Mais, pour résumer mon année, je dirai que celle-ci a été enrichissante, nouvelle bien entendu, et un peu déconcertante à certains moments. Passer le cap entre l'école et les études supérieures est un pas dans la vie d'un(e) jeune adulte. Mais il faut se faire confiance, et surtout ne pas reculer devant l'inconnu. L'université peut faire peur au début; mais vous apprendrez qu'il existe de nombreuses aides pour celles et ceux qui se sentent délaissé ou perdu. L'université accompagne les étudiants du début jusqu'à la fin. Quand on pense au mot université, on pense à liberté; mais attention, il ne faut pas sous-estimer les libertés laissées par l'université sinon on pourrait vite se noyer. Il faut y trouver un juste milieu entre le travail autonome et les moments pour soi. Le tout c'est de croire en ses capacités!
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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