J'ai réalisé un bac STL options biotechnologies obtenu mention Très Bien. J'adorais la manipulation et je ne voulais pas continuer vers un BTS.
J'avais déjà entendu parler de l'école Supbiotech (école d'ingénieur en 5 ans spécialisé dans les biotechnologies) mais je pensais ne pas avoir le niveau sortant d'une filière technologique.
J'ai donc décidé de m'orienter vers une fac de Biologie ( BCST: Biologie Chimie et Sciences de la Terre ) à la faculté.
J'adorais les matières enseigné mais malheureusement, je n'étais pas épanoui à 100%.
C'est la que je me suis rendu compte qu'il était possible d'intégrer des écoles d'ingénieur '' en cours de route '' sans perdre d'année.
J'ai donc décidé de tenter les concours en admission parallèle à Supbiotech.
Le concours d'admission en parallèle pour intégrer cette école est le concours " Concours advance Parallèle ".
Il se déroule en plusieurs étapes:
- Première étape: L'étude du dossier, c'est la que tout commence: Il vous faut envoyer tout vos bulletins scolaires de ces dernières années, y compris ceux de vos études dans le supérieur si vous êtes actuellement en BTS, licence...
- Deuxième et troisième étapes: Dans la même journée vous allez passer des QCM concernant plusieurs matières : physique maths biologie sur tablette. Les QCM seront suivi d'un oral de motivation: c'est selon moi l'épreuve la plus importante et celle qui m'a le plus plu. Vous deverez présenter un fait marquant des biotechnologies que vous avez préparé chez vous sous la forme d'un power point.
Je suis de nature très anxieuse. J'ai longtemps hésité avant d'oser passer ce concours. Puis j'ai finis par sauter le pas. Je ne regrette pas tout c'est bien déroulé et l'oral c'est très bien passé.
J'avais validé ma première année de licence j'avais donc la possibilité de rentrer en deuxième année de prépa intégrée.
J'ai tout de même préféré intégrer la première année pour suivre le cursus complet. Il y avait également des notions au programme que je n'avais pas vu en licence.
Suite à deux années de classes préparatoires littéraires au Mans, j'ai décidé de poursuivre mon aventure dans les études supérieures en partant vers la capitale. En effet, j'ai été prise à l'université Paris IV - Sorbonne, dans une bi-licence en Histoire et Géographie - aménagement. Cette année fut assez particulière pour plusieurs raisons. Tout d'abord la vie parisienne. Effectivement, même si cela peut paraître anecdotique la vie quotidienne n'est pourtant pas à négliger. J'avais donc cours à la Sorbonne sur deux campus différent : La Sorbonne mère dans le quartier latin (5éme arrondissement) et à Clignancourt (18éme arrondissement). Or à causes du timing (j'avais eu mes résultats d'admission assez tard) et aussi par soucis financier, j'avais trouvé un logement en banlieue. J'habitais donc à Fontenay-aux-Roses (dans le 92). Bien que cette commune soit plutôt tranquille, cela impliquait que je prenne le RER B tous les jours, avec un temps de trajet d'environ 45min-1h quand il n'y avait pas de problèmes (et tout le monde sait que les transports parisiens et particulièrement les RER rencontrent assez fréquemment des problèmes). Avec du recul, je pense que j'aurais gagné en efficacité si mon logement ne c'était pas trouvé aussi loin de mes lieux de cours. En effet, les transports et le temps passé dedans représentaient une source de stress importante, ce qui influe également sur le moral, la motivation etc. Selon moi, il est donc important de bien choisir son espace de vie (même si cela n'est pas toujours facile d'un point de vu financier par exemple, surtout à Paris). Mais venons en au cœur du sujet : la licence et la sorbonne. L'université de la Sorbonne est une faculté plutôt réputée, ce qui peut faire peser une certaine pression. Cependant il existe plusieurs Sorbonne, à savoir que Paris IV n'est pas la "meilleure" (il s'agirait à priori de Paris I, qui est plus sélective). Il est vrai que tout au long de l'année, j'ai été un peu déçue de mes résultats. Pour autant ceux-ci était loin d'être mauvais, puisque j'ai validé ma licence avec une mention Assez Bien. Les professeurs ont parfois une notation un peu sévère, peut être davantage que dans d'autres facultés (je ne peux pas l'affirmer car je n'ai pas de point de comparaison). Mais il faut aussi savoir que la licence est une formation assez sélective, la notation "sévère" à aussi pour but de garder uniquement les élèves motivés. Enfin il s'agit là uniquement de mon opinion, rien n'est certain. La charge de travail était elle aussi importante, d'autant plus qu'il s'agit d'une bi-licence. Autrement dit, j'avais autant de cours d'histoire que de cours de géo, pour finalement n'avoir qu'une simple licence de géographie - aménagement à la fin de cette année. Il s'agit d'une seconde chose à laquelle j'aurais dû prêter plus d'attention lors de mon inscription. Effectivement, au départ je pensais obtenir le double diplôme, il faut donc bien vérifier qu'il s'agit d'une double licence et non pas d'une bi-licence qui ne délivre qu'un seul diplôme. Pour autant, les cours n'en étaient pas moins passionnants. L'un des avantages d'être dans une Université renommée, est que l'on a affaire à des professeurs spécialistes dans leur domaine (des pointures comme on dit familièrement). Mais je pense qu'il faut aussi démystifier un peu la chose, puisque ces professeurs spécialistes sont présents dans bon nombre d'autres universités. En outre, Paris IV reste une université assez comme les autres, bien qu'elle offre une diversité de formation, et de cours aux choix au sein de celles-ci qui sont considérables. Je ne regrette pas d'avoir vécue cette expérience car elle m'a apprit énormément de choses, les cours et les professeurs que j'ai eu, étaient par ailleurs tous plus passionnants les uns que les autres. Mais en ayant pris du recul, il y a tout de même certaines choses que j'aurais fait différemment. Voilà mon petit témoignage quant à mon année de licence histoire-géographie à l'université Sorbonne Paris-IV, en espérant que celui-ci pourra vous être utile.
J'éprouve un grand plaisir quand à la fin de l'entretien, le pioupiou est satisfait de mes réponses. Parvenir à l'aider, lui donner des idées pour son orientation relativement à mon expérience, c'est cela l'objectif important !
Je suis arrivé à la fac il y a un petit moment, on avait des amphis c'est pour dire. Plus sérieusement je suis arrivé à la fac avant le COVID et j'ai eu le droit au avant/après. J'ai eu le moment où les profs discute avec nous aux pauses, même pour les cours magistraux, j'ai eu droit de poser des questions en priver au prof, sans avoir à m'exprimer devant tout le monde. Puis il y a eu la pandémie, les profs étaient dépassés, on ne savait pas comment s'organiser alors que la fac devait fermer. Faire des examens oui mais comment ? Continuer les cours, oui mais comment ? Et pour les rattrapages ? Trop de questions pour si peu de réponses. Il ne faut pas paniquer, aujourd'hui on est "prêt", enfin autant qu'on puisse l'être, on a des cours en distance certes mais on a des cours. La situation va s’améliorer c’est une certitude, pourtant le système d’enseignement restera marqué. Il faut voir cette situation comme une occasion, toi qui est au lycée et qui a passée la fin de l’année en distance, tu sais être autonome, tu as dû apprendre a t’organiser et ce sont des qualités non-négligeable en étude supérieur.
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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