Le lycée Jean Baptiste Say est un établissement situé au 11 bis Rue d'Auteuil dans le 16ème arrondissement de Paris. Idéalement localisé dans la capitale, cet établissement est une cité scolaire regroupant un collège, un lycée général et des classes préparatoires. On retrouve donc au lycée : une classe BCPST 1ère et 2ème année, une PCSI, une PSI*, une PTSI et une PT*. L'établissement a était élu lycée meilleur Lycée publique de France par le magasine Le Monde en 2016, il est également connu pour les excellents résultats de ses classes prépartoires notamment PT*.
La vie en tant qu'étudiant au sein du lycée est agréable. L'établissement possède un internat de 64 chambres individuelles toutes équipées d'une cabine de douches et d'un lavabo. L'internat est réservé aux étudiants en CPGE et reste ouvert les weenkends (ferme pendant les vacances scolaires). Pour les élèves n'étant pas à l'internat le lycée propose le statut d'interne-externé qui permet à l'éléve de prendre son petit déjeuner, son déjeuner et son dinner à la cantine du lycée afin d'optimiser son temps pour réussir. Une infirmerie est également présente au lycée pour veiller à la bonne santé des élèves.
Etant étudiant en PTSI je peux vous en dire d'avantage sur cette fillière en particulier. La prépa PTSI est une classe préparatoire à dominante Sciences de l'ingénieur, maths et physique. Le nombre d'heures de cours est conséquent mais il ne faut pas oublier les 2h de kholles et les 4h de DS par semaine. Il faut en plus rajouter à tout ça les heures de travail personnel indispensable à la réusite. L'excellent classement de l'établissement dans cette fillières impose une niveau attendus très élevés mais les professeurs sont bienveillants et nous aide à reussir au mieux. Ils sont également à l'écoute des élèves afin de trouver une solutionn aux difficultés que l'on rencontre.
Une fois les résultats de PACES tombés, j'étais dans le flou le plus total. Il m'a fallu accepter que j'avais tout donné, que je ne pouvais pas faire mieux. Ce ne fut pas une mince affaire... J'ai alors choisi presque par défaut de me réorienter vers la biologie. C'est ce qui était le plus logique. Ce chemin de réorientation est emprunté par de nombreux étudiant ayant échoué en PACES. Ce qui a été le plus dur pour moi lors de ma rentrée en L1 de Biologie c'est de réapprendre à vivre "comme une étudiante" normale. Et oui, en licence on a des horaires changeants des week-ends, et même des vacances !!! Plus besoin de travailler de 7h du matin à 21h le soir, plus besoin de travailler TOUS les jours. Les vieilles habitudes ont la vie dure : il m'a fallu plus de 3mois pour que j'accepte de ne pas travailler les dimanches par exemple. Tout de la PACES n'est pas à jeter à la poubelle loin de là ! Il faut trouver du positif dans cet échec pour mieux l'accepter et éviter de penser qu'on a perdu une année. Cette année m'a permit d'acquérir une méthode de travail redoutable, qui est bénéfique quel que soit les études qu'on envisage après. En effet, grâce à cette méthode j’engrangeais les connaissances nécessaires pour approfondir les cours. Cette première année de licence de biologie a été une très bonne expérience, cela m'a permis d'accepter mon échec et de me prouver que je n'étais pas "un cas désespéré" mais que j'avais les moyens de réussir et d'envisager un avenir différent de mes rêves d'enfant. J'ai pu me reconstruire grâce à cette année de licence entre autres.
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Tout d'abord, il faut savoir que le DCG est un dilplôme d'état. La session d'examens est en mai/juin et il n'y a pas de rattrapages. Lorsque je suis arrivée en DCG, je venais de sortir de 6 mois de vacances, vu que j'avais arrêter la fac de médecine au bout d'un semestre. J'étais donc très motivée pour recommencer à nouveau mes études. Les premiers mois étaient compliqués, venant d'une filière scientifique, je n'avais jamais fait de comptabilité ni de droit. Mais on s'adapte vite et les compétences acquises pendant le lycée (en filière scientifique) ont permis d'avoir des facilités dans certaines matières comme le Système d'Information et Gestion. Le rythme de travail était soutenu (mais après la médecine je me sentais en vacances), des contrôles hebdomadaires, du travail à la maison etc. comme au lycée avec des nouvelles matières. Cependant, nous avions un accompagnement de qualité et nous étions plus que prêt pour passer les examens à la fin de l'année. La deuxième année était la plus compliquée en raison de deux matières de droit à passer (cela peut varier selon les établissements). Ainsi, j'ai travaillé tout au long de l'année et les examens se sont bien passés malgrè le stress. La troisième et dernière année était la plus intéressante avec la rédaction du rapport de stage, les professeurs sont à l'écoute et passent beaucoup de temps à nous conseiller sur sa rédaction. Ainsi, il y avait une pression supplémentaire du fait du délai, les rapports de stage étaient à rendre en mars (40 pages). Cette année je m'étais également investie dans l'association des étudiants de notre école, cela nous a permis de renforcer les liens dans la filière et montrer aux plus jeunes les différentes possibilités après le DCG, car le DSCG n'est pas la seule option (sauf si on veut devenir expert-comptable). Une fois les examens écrits passés, il y a eu l'oral du rapport de stage devant un professeur et un professionnel. Cette épreuve fait paniquer plus d'un, mais, en règle générale, elle se passe bien. L'attente jusqu'à fin août était interminable pour les résultats au DCG, mais mon travail a porté ses fruits et j'ai obtenu mon diplôme.
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec lui
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