Sage-femme est un métier assez méconnu avec beaucoup de compétences, qui mérite qu'on s'y intéresse !
Je suis étudiante sage-femme en 4ème année, et je vais te raconter ce que je sais déjà de ce si beau métier :)
Il faut tout d'abord passer la première année commune aux études de santé (PACES), mais cela va changer donc peut-être qu'à l'heure où tu liras ces mots, j'aurais l'aire d'une vieille qui utilise des vieux termes aha
A Lyon, là où j'ai fait mes études, sur 2400 étudiants, seulement 30 étaient admis dans la filière de maïeutique. Après la PACES, il y a 4 ans d'école de sage-femme : il faut donc 5 ans en tout pour être diplômé(e).
Si tu as plus de questions sur les études en elles-même, n'hésite pas à me contacter! Ici, je vais surtout te parler du métier.
Le/La SF à l'hôpital est sûrement l'aspect du métier le plus connu, mais la plupart des personnes pensent que le/la SF ne pratique que l'accouchement. C'est totalement faux ! A l'hôpital, il existe plusieurs services dans lesquels les sages-femmes exercent différentes compétences pour prendre soin de la femme enceinte.
En consultation :
Les femmes enceintes consultent généralement à l'hôpital à partir du 6ème mois de grossesse. Avant, elles sont suivies par une sage-femme libérale, j'y reviendrai plus tard. Lors de leurs cs, la sage-femme pratique tout ceci aux femmes enceintes :
examen clinique générale et obstétrical : l'écoute des bruits du coeur du bébé et le toucher vaginal facultatif
prescriptions de médicaments et examens supplémentaires
En salle de naissance :
Certaines femmes viennent en urgence car elles sont inquiètes pour leur bébé. C'est à la SF de faire un diagnostic.. Pour savoir quelle est la conduite à tenir ! Les médecins ne sont jamais loin :)
Pour l'accouchement, on surveille le travail qui peut durer plusieurs heures. Puis arrive le fameux moment de l'accouchement. Un(e) SF peut pratiquer l'accouchement seul(e) avec l'auxiliaire de puériculture à ses côtés s' il n'y a pas de soucis. Le médecin n'intervient/ne rentre dans la salle que s' il y a un souci !
Maternité :
C'est le service où les femmes se retrouvent après avoir accouché. Elles y restent plusieurs jours, la durée dépend de si elles ont accouché par voie basse ou par césarienne, de leur état de santé et de celui de leur bébé. La SF est tenue de surveiller régulièrement la patiente pendant son séjour, de lui donner les médicaments nécessaires, et surtout de donner des conseils pour le retour à la maison.
Service de Grossesses Pathologiques (GHR) :
Quand les grossesses ne se passent pas comme prévu et ont besoin d'une surveillance exacerbée, les patientes se retrouvent dans le service de Grossesses à Haut Risque. Elles ont donc un rôle important dans la surveillance, la prévention des risques et le bon déroulement de la suite de la grossesse de ces femmes, afin de les faire accoucher le plus tard possible dans le cas de menaces d'accouchements prématurés par exemple !
Finalement, à l'hôpital, être SF c'est travailler en équipe, et être toujours bien entouré : par ses collègues sages-femmes mais aussi par les auxiliaires de puériculture, anesthésistes, médecins et internes (et externes <3), AS et ASH...
Les SF ont un rôle de prévention et ont la compétence de suivre une femme gynécologiquement, même si elle n'est pas enceinte !
Ainsi, elle peut voir en consultation des femmes en âge de procréer, de la puberté jusqu'à la ménopause, pour :
suivi gynécologique annuel (frottis)
prescription de contraception (pilule, implant, DIU et autre)
pose et retrait d'implant ou stérilet
rééducation périnéale
La SF libérale suit la femme enceinte et peut faire de la préparation à la naissance.
En bref, quand il n'y a pas de pathologie gynécologique, toute femme peut consulter une SF ! Si il y a un soucis, la ou le sage-femme n'hésite pas à orienter la femme vers un gynécologue !
Et voilà ! Je t'ai parlé des grands rôles de la sage-femme dans son métier ! Il en existe encore d'autres. N'hésite pas à m'écrire si tu veux plus de détails, ou si tu as d'autres questions, je ne mord pas et serai très heureuse de te répondre :)
Au sortir de la terminale, les contours de mon orientation restaient encore flous. J'avais tenté le concours commun des IEP sans trop me préparer à l'épreuve, espérant m'en sortir sans avoir trop travailler les sujets au préalable. Bien entendu, cette expérience s'est soldé par un échec. Je n'ai pourtant pas pour autant renoncé à mon objectif d'entrer au sein de la formation Sciences Po. Cette formation représentait à mes yeux une opportunité de bénéficier d'un enseignement pluridisciplinaire, stimulant intellectuellement et ouvrant sur le monde (j'ai été particulièrement séduite par la 3ème année à l'étranger obligatoire) . N'ayant aucun domaine spécifique dans lequel je voulais axer mes études, tout comme n'ayant aucune vocation à exercer tel ou tel métier, j'ai donc décidé de poursuivre cet objectif : réussir le concours commun aux IEP. En recherchant les diverses formations qui permettaient de préparer à ce concours, j'ai découvert celle de l'Université de Lille. L'Université de Lille proposait une classe préparatoire aux concours des IEP adossé à une licence soit d'Histoire, de Littérature ou de Philosophie. Cette formation étant limité en nombre de place, les candidats étaient acceptés sur dossier et lettre de motivation. Alors que les premières réponses d'APB (ancêtre de parcoursup) sont tombées, je me suis retrouvée en liste d'attente sur cette formation. A défaut d'avoir connu parcoursup, j'ai connu la période d'incertitude resultant de la "première phase" qui nous laisse désorienté et anxieux quant à notre avenir. Néanmoins, j'ai finalement eu la chance d'être accepté dans cette formation. Rapidement, la qualité des enseignements dispensés nous ont permis d'acquérir un savoir et une méthodologie efficace, qui me servent encore aujourd'hui dans mes études. Nous étions répartis en 3 classes avec de petits effectifs, permettant de mettre en place un véritable accompagnement des élèves par les enseignants. Cette année en classe préparatoire, m'a permis d'élaborer de nouvelles méthodes de travail, plus particulièrement celle de travail de groupe. La solidarité et l'entraide sont de mise au sein de la formation, se préparer au concours est une activité qui s'exerce en groupe, en se stimulant les uns des autres, en débattant ensemble. Ainsi, je considère cette formation comme un atout, un atout pour l'ouverture culturel qu'elle nous procure, un atout pour l'enseignement dont elle nous dispense et la méthodologie qu'elle nous pousse à appliquer. Les matières abordées concernent les matières du concours, à savoir histoire, anglais, espagnol, culture générale... auxquelles s'ajoutent celle de la licence choisie. Bien évidemment, on ne peut parler de cette formation sans parler de la rigueur et de l'assiduité au travail qu'elle implique. Néanmoins, son modèle reste calqué sur celui de l'Université, c'est-à-dire que le travail demandé est avant tout du travail personnel nécessitant recherches et lectures. Par conséquent, il y a peu de "devoir maison" car l'on considère que le travail est avant tout un investissement personnel.
Au sortir de la terminale, les contours de mon orientation restaient encore flous. J'avais tenté le concours commun des IEP sans trop me préparer à l'épreuve, espérant m'en sortir sans avoir trop travailler les sujets au préalable. Bien entendu, cette expérience s'est soldé par un échec. Je n'ai pourtant pas pour autant renoncé à mon objectif d'entrer au sein de la formation Sciences Po. Cette formation représentait à mes yeux une opportunité de bénéficier d'un enseignement pluridisciplinaire, stimulant intellectuellement et ouvrant sur le monde (j'ai été particulièrement séduite par la 3ème année à l'étranger obligatoire) . N'ayant aucun domaine spécifique dans lequel je voulais axer mes études, tout comme n'ayant aucune vocation à exercer tel ou tel métier, j'ai donc décidé de poursuivre cet objectif : réussir le concours commun aux IEP. En recherchant les diverses formations qui permettaient de préparer à ce concours, j'ai découvert celle de l'Université de Lille. L'Université de Lille proposait une classe préparatoire aux concours des IEP adossé à une licence soit d'Histoire, de Littérature ou de Philosophie. Cette formation étant limité en nombre de place, les candidats étaient acceptés sur dossier et lettre de motivation. Alors que les premières réponses d'APB (ancêtre de parcoursup) sont tombées, je me suis retrouvée en liste d'attente sur cette formation. A défaut d'avoir connu parcoursup, j'ai connu la période d'incertitude resultant de la "première phase" qui nous laisse désorienté et anxieux quant à notre avenir. Néanmoins, j'ai finalement eu la chance d'être accepté dans cette formation. Rapidement, la qualité des enseignements dispensés nous ont permis d'acquérir un savoir et une méthodologie efficace, qui me servent encore aujourd'hui dans mes études. Nous étions répartis en 3 classes avec de petits effectifs, permettant de mettre en place un véritable accompagnement des élèves par les enseignants. Cette année en classe préparatoire, m'a permis d'élaborer de nouvelles méthodes de travail, plus particulièrement celle de travail de groupe. La solidarité et l'entraide sont de mise au sein de la formation, se préparer au concours est une activité qui s'exerce en groupe, en se stimulant entre nous, en débattant ensemble. Ainsi, je considère cette formation comme un atout, un atout pour l'ouverture culturel qu'elle nous procure, un atout pour l'enseignement dont elle nous dispense et la méthodologie qu'elle nous pousse à appliquer. Les matières abordées concernent les matières du concours, à savoir histoire, anglais, espagnol, culture générale... auxquelles s'ajoutent celle de la licence choisie. Bien évidemment, on ne peut parler de cette formation sans parler de la rigueur et de l'assiduité au travail qu'elle implique. Néanmoins, son modèle reste calqué sur celui de l'Université, c'est-à-dire que le travail demandé est avant tout du travail personnel nécessitant recherches et lectures. Par conséquent, il y a peu de "devoir maison" car l'on considère que le travail est avant tout un investissement personnel. A défaut de "devoir maison", des concours blancs ont lieu très souvent en fin de semaine. Si à la fin de l'année tout le monde n'a pas eu la chance de réussir les concours, l'apport de cette formation reste non-négligeable et continue à nous aider quelque soit notre orientation. J'ajouterais que le fait de partir loin de chez soi pour les études, n'est certes pas facile au départ, mais permet de se construire de façon autonome et indépendant plus rapidement. Loin de souffrir de solitude dans une ville que je ne connaissais pas, cette année à l'Université de Lille m'a permis de me construire comme personne autonome et de faire de très belles connaissances.
Bonjour à tous, je m'appelle Lola, et je suis actuellement étudiant en journalisme. Aujourd'hui, je partage avec vous un aperçu de mon parcours au cœur du monde passionnant de la presse et de la communication. Tout a commencé avec une fascination pour les histoires. Les histoires de personnes, de lieux, d'événements. Le journalisme m'a appelé, m'a attiré avec la promesse de donner une voix à ceux qui n'en ont pas, de raconter des récits qui méritent d'être entendus. C'est cette passion qui m'a conduit à plonger tête première dans les études de journalisme. Les cours ont été, sans aucun doute, captivants. Des enseignants qui sont eux-mêmes des professionnels chevronnés, partageant non seulement des théories, mais aussi leurs expériences du terrain. Les défis étaient présents à chaque coin de rue, que ce soit en rédaction, en reportage sur le terrain ou même en conception graphique. Mais chaque défi a été une opportunité d'apprentissage. Les délais sont sacrés dans le monde du journalisme. Rédiger un article dans un délai serré, réaliser un reportage sur le vif, sentir l'adrénaline monter avant une interview cruciale - tout cela fait partie du quotidien. C'est une pression stimulante qui pousse à donner le meilleur de soi-même. L'un des aspects les plus enrichissants a été les pratiques sur le terrain. Sortir de la salle de classe et se retrouver sur le terrain, à la rencontre de personnes réelles, à fouiller des sujets intrigants. C'est là que la théorie se transforme en réalité. Le journalisme évolue avec la technologie, et c'est passionnant. Apprendre à utiliser les outils numériques, maîtriser l'art de la vidéo, comprendre les médias sociaux - c'est une aventure qui intègre le meilleur de l'ancien et du nouveau. Ce qui m'a vraiment marqué, c'est l'esprit de communauté. Les collègues deviennent une sorte de famille journalistique. On se soutient, on s'encourage mutuellement, et ensemble, on grandit en tant que futurs conteurs de l'actualité. En somme, les études de journalisme sont une aventure en constante évolution. C'est un parcours où l'on apprend, où l'on se confronte, où l'on grandit. Si vous avez une passion pour raconter des histoires, pour être le témoin de l'Histoire, alors le journalisme est un chemin qui vous ouvrira des horizons insoupçonnés. En somme, les études de journalisme sont une aventure en constante évolution. C'est un parcours où l'on apprend, où l'on se confronte, où l'on grandit. Si vous avez une passion pour raconter des histoires, pour être le témoin de l'Histoire, alors le journalisme est un chemin qui vous ouvrira des horizons insoupçonnés.
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N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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