Question fréquente, question récurrente, question inévitable.
C'est une question qui revient à chaque nouvelles rencontres, où à chaque détour lorsqu'on croise ou qu'on prend le temps d'échanger avec une personne que l'on avait perdu de vue.
- Et sinon, tu fais quoi dans la vie ?
- Alors, j'étudie la communication à l'ISEG Toulouse
- Ah ouais, tu fais genre les sites web, Facebook et tout le tralala !
Si tu cherches un peu les définitions tu trouveras : « Le mot communication a aussi un sens très large : il comprend tous les procédés par lesquels un esprit peut en affecter un autre. À l’évidence, cela inclut non seulement le langage écrit et parlé mais aussi la musique, les arts visuels, le théâtre, le ballet et, en fait, tous les comportements humains. Dans certains cas, il peut être préférable d’élargir davantage la définition de la communication pour y inclure tous les procédés par lesquels un mécanisme […] affecte un autre mécanisme », expliquent Claude Shannon et Warren Weaver.
J'étudie l'ensemble des techniques et des moyens servant à une entreprise pour qu'elle puisse se présenter elle-même, présenter son activité ou ses produits et services. Les objectifs, en tant que communicante sont d'améliorer l'image, d'accroître la notoriété et d'augmenter les contacts avec des clients potentiels.
Tout d'abord parce que je sais ce que j'aime faire. Si je devais décrire des activités auxquelles j’aurais le plus de plaisir à me consacrer je choisirais :
rédiger : c’est ce que j’estime savoir faire de mieux. Je sais très bien coucher sur le papier les mots et surtout user de figures de style pour rendre l’ensemble plus beau et plus attrayant.
échanger : je pars du principe que le partage et l’échange sont à la base de toutes relations. C’est pour cela que je souhaite exercer un métier où l’on peut échanger, débattre et partager les connaissances. Je reste persuadée que l’on apprend mieux avec les autres.
écouter : je pense qu’il faut apprendre à écouter et surtout à apprendre car c’est comme cela qu’on peut espérer au mieux aider les gens qui feront appel à mes services. J’aimerais exercer un métier où il faut aider, écouter et conseiller des gens.
Mais aussi :
accompagner : je souhaite exercer un métier qui fera que je construirais des relations sur le long terme, je souhaite que mes clients se sentent en confiance et que je puisse les accompagner sur plusieurs années.
entreprendre : prenons sa définition « Commencer à exécuter une action, en général longue ou complexe ». Je souhaite entreprendre dans la mesure ou je souhaite pouvoir me dépasser dans les actions que je serais amenée à mener.
soutenir : je souhaite montrer que quel que soit le projet je suis prête à m’investir et à soutenir les personnes qui me feront confiance dans la mesure où je veux apporter une expertise pour qu’ils se sentent au mieux en confiance que ce soit vis-à-vis de leur projet ou vis-à-vis d’eux-mêmes.
Toutes ces activités englobent le domaine de la communication. C'est ce qui fait que c'est un domaine au cœur de l'humain puisque tout est question de partage. Rien ne se ressemble, à chaque fois c'est différent. La dimension d'ennuis ? Connais pas !
Le BTS assistant manager c'est de mon point de vue du blabla. On apprend à se servir d'outils et d'options dont on a pas forcément la necessité. De ce que mon expérience à la suite de ça, a pu m'apporter: il faut simplement être débrouillard et logique. Etre assistant manager c'est être polyvalent, réactif et communiquant. Les cours ne m'ont servit qu'à embellir ma culture et ma logique mais certainement pas à me créer un profil pour un métier.
Mon année à l'université, et plus précisément, en LEA ne s'est pas du tout déroulée comme je l'imaginais. En effet, je pensais que la FAC serait comme dans les films américains alors que pas du tout. Il faut travailler en trouvant des méthodes d'organisation pour le faire, être raisonnable, et aller en cours, et ce même malgré des CM non obligatoires. Pour moi, c'était impossible à l'époque car mon année à la fac a plus ressemblé à une année sabbatique dû au manque d'encadrement que j'ai ressenti même si les professeurs sont de plus en plus présents pour leurs étudiants. Je pense que si comme moi, vous avez besoin d'encadrement et d'organisation, la fac ne sera pas faite pour vous et il faudra trouver une alternative. Concernant les LEA, il faut savoir que quand on intègre le cursus d'une langue jamais pratiquée, on entre en L0 soit, une année où on ne nous enseigne uniquement la langue et l'anglais est toujours enseigné mais grâce aux options. A la fin de cette année, on intègre la L1 où là les cours des différentes langues sont enfin donnés. La L0 est une année très éprouvante, avec des test chaque jour pour vous aider à assimiler la nouvelle langue, ce qui peut être fastidieux et redondant. Il faudra donc être motivé et redoubler d'efforts.
Lorsque j'ai intégré le BTS CG, je ne savais pas du tout à quoi m'attendre. Ca a pourtant été l'un des meilleurs choix que j'ai fait. En effet, les BTS peuvent s'effectuer en initial ou en alternance. Intégrer un BTS CG en alternance est compliqué si on a réellement jamais fait de comptabilité avant, ce qui était mon cas. C'est pourquoi je l'ai fait en initial: il m'a permis de réaliser des stages pour une durée totale de 7 semaines qui m'a permis d'acquérir de l'expérience et donc de renforcer mon CV. Ca a été pour moi la découverte de nouvelles matières comme la comptabilité, la fiscalité et le contrôle de gestion qui m'ont ouvert les yeux sur la suite de mon parcours. De plus, mon parcours en BTS s'est fait à la suite d'une année à l'université qui m'a montrée que je ne pouvais pas être sans encadrement scolaire. Je le conseille si vous voulez par la suite travailler, aller en DCG/DSCG ou faire une licence/master professionnel-le dans la fiscalité, le contrôle de gestion ou comme moi, aller en école de commerce où vous aurez un avantage en comptabilité et en gestion.
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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