J'ai choisi cette école pour le côté pratique et très formateur de l'alternance, suite aux recommandations d'une étudiante, issue de ce cursus. J'ai pris contact avec le directeur de formation qui est très disponible, sympathique et répond à toutes les questions des étudiants. J'ai choisi la formation en alternance pendant deux ans. Le directeur de formation m'a aidé et encouragé dans mes recherches afin de trouver un employeur. C'est une école reconnue par l'état et la profession. La formation est gratuite.
Cette formation m'a beaucoup apporté car elle m'a permis de faire part de deux années d'expériences à mon premier employeur. Elle m'a ainsi donné confiance en moi sur le terrain et m'a permis de ne pas me sentir débutante ou nouvelle dans la profession. L'école, reconnue par la profession est très appréciée par les employeurs. Beaucoup d'entre eux sont passés par le même cursus. Les professeurs intervenants ont également des contacts à donner.
Au sein de l'entreprise : j'ai dû prouver au rédacteur en chef que mes articles étaient publiables rapidement. Au sein de l'école, j'ai dû travailler dans les conditions réelles d'une rédaction magazine pour mon projet de fin d'études, en réalisant une enquête journalistique. J'ai choisi de suivre le travail d'un détective privé afin de déterminer si sa profession avait évoluer avec les technologies digitales.
Ma persévérance et ma disponibilité car il faut s'accrocher et ne pas compter ses heures pour entrer dans le métier. J'étais également capable de prendre du recul sur mes rédactions et d'accepter la critique. Les professeurs et les élèves donnent leurs avis sur les articles. J'ai réussi à convaincre mes interlocuteurs pour parvenir à réaliser des interviews, enquêtes et reportages.
Véritable communicante, j'apprécie les échanges. J'aime discuter, aider. Je m'applique à orienter les personnes au sujet d'étapes par lesquelles je suis passée. En effet, j'ai pu les analyser avec le recul et prendre les meilleurs décisions. Je suis consciente qu'il est parfois difficile de faire des choix en termes d'orientation lorsqu'on est jeune. Très franche, je réponds aux questions avec honnêteté. Je suis également passionnée par mon métier
Je suis étudiante en première année de Programme Grande École à Skema Business School sur le campus de Sophia Antipolis. Le Programme Grande École se déroule sur deux ou trois années académiques, auxquelles s’ajoute une année de césure optionnelle (2 stages de 6 mois chacun) en Master 1 ou Master 2. L'enseignement est alors basé sur l'analyse d'un monde global complexe, une anticipation de ses évolutions afin de pouvoir le transformer durablement. Pour cela, le programme s’articule selon une structuration favorisant l'individualisation du parcours et la mobilité internationale sans limite. Enfin, les entreprises ne s’y trompent pas en identifiant les diplômés SKEMA comme des talents immédiatement opérationnels dans une entreprise globale.
La licence que je suis actuellement possède une mineure Lettres Modernes (la majeure étant Arts du spectacle). Nous avons donc deux cours en commun avec la promotion des Lettres Modernes et, comme nous sommes dans un petit établissement d'une grande université, nous partageons les mêmes options. Cette binarité est à la fois un avantage et une difficulté. La difficulté est que, venant d'un bac technologique, mon niveau en littérature était assez loin de celui d'autres élèves et au fil de ces trois années, le niveau des Lettres Modernes en littérature a évidemment bien augmenté ! C'est donc assez difficile, en particulier pour les professeurs de s'y retrouver et de contenter les deux classes. Toutefois, il y a beaucoup d'avantages. Cela nous permet de nous rapprocher de métiers que nous n'aurions pas vu (je pense notamment aux métiers des bibliothèques découverts lors d'un cours puis un stage dans une option), de faire les rapprochements entre arts (vivants et visuels surtout) et la littérature au niveau des réflexions soulevées, de la "mise en scène", culturel ou sectoriel (les métiers où les deux se croisent); d'une manière générale, cela nous apprend à créer d'une autre manière. Je tiens également à souligner qu'il existait une option "Approche de la littérature" en première année : si tu es motivé.e mais que vous doutez de vos compétences littéraires, c'est une bonne solution sans passer par l'année zéro ! Je te conseille la Licence Lettres si tu as envie de te tourner vers les métiers de l'enseignements, de l'édition, les bibliothèques.., que tu es motivé.e à poursuivre en Master et, si la curiosité te pique, il existe une mineure Arts du spectacle dans certains établissements en 3ème année. En réalité, avec un brin de curiosité, c'est une licence qui peut t'emmener vers d'autres secteurs avec lesquels elle se croise. Je te souhaite bon courage et j'espère que mon témoignage te permettra de trouver ta voie :)
Pourquoi je n'ai pas aimé les études de droit ? J'ai toujours pensé depuis que je suis petite que ce que je voulais faire plus tard consistait à sauver les plus démunis et mettre de l'ordre dans le monde. J'ai toujours voulu défendre mes valeurs et me battre pour la justice pour tous. Cependant, en arrivant en droit l'année dernière je me suis vite rendue compte qu'être avocate internationale cela n'existait pas. Il n'est pas possible d'aider tout le monde et les études de droit ne ressemblaient pas à ce que j'imaginais faire de mon quotidien par la suite. Je n'ai pas aimé les études de droit car j'ai trouvé ça trop strict, trop droit et sans réel débat entre les étudiants. En effet, nous étions tous là à connaître des articles et cours par coeur mais dès qu'il fallait défendre un client lors de cas pratique, nous avions perdu toute morale en voulant sans cesse appliquer les articles.. Je n'ai pas aimé le droit pour cette raison principale. Je veux faire de mon métier un combat, une plaidoirie engagée et je ne me suis pas reconnu dans les études proposées.
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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