1. Introduction
Quand j’étais au lycée et que j’ai dû faire le choix entre trois voies différentes : Scientifique, économiques sociale et Littéraires ; je ne me suis posé presque aucunes questions. En effet, je voulais devenir vétérinaire à cette époque ce qui nécessitait obligatoirement un bac scientifique pour intégrer une prépa BCPST. Et quand est-il aujourd’hui ? Je suis en école de commerce pour me diriger soit vers du contrôle de gestion, soit de l’évènementiel. Comme tu peux le comprendre, c’est totalement différent. Et ma filière au bac n’a rien changé au niveau de mes chances d’entrées…
2. De quoi as-tu envie ?
Comme je te l’ai dit plus haut, je ne m’étais posé aucunes questions, j’avais mes parents derrière moi qui m’encourageaient pour cette voie et j’en avais envie. Mais j’étais une exception … J’ai remarqué après mon lycée que l’orientation est un vrai parcours du combattant pour certains et le système français n’est pas très efficace à ce niveau. Il faut donc te demander :
Ce n’est que comme ça que tu vas réussir à t’orienter correctement. Il est possible que tu subisses des pressions de ton entourage mais ce sera à toi d’exercer un métier à la fin de tes études, ce ne sera pas eux !
3. Mes choix sont t’ils rédhibitoires ?
Si tu souhaites te diriger vers le secteur médical, tu vas obligatoirement devoir choisir la filière scientifique ou du moins choisir des spécialisations scientifiques comme la SVT et les mathématiques afin d’obtenir des compétences indispensables pour ce domaine.
Toutefois, tu peux aussi te diriger vers un master en management international avec un bac littéraire. Ce que j’essaye de t’expliquer, c’est que ton bagage n’est pas un frein si tu souhaites te diriger vers quelque chose de différent. Il faut faire ce que l’on aime !
De plus, il arrive à certains étudiants de ne pas aimer ce qu'ils sont en train de faire : tu n'aimes pas les études de droit, ce DUT ne te convient pas ... Ce n'est pas un problème car tu peux te réorienter comme tu le souhaites. Ce n'est pas grave de faire cela et c'est même très commun.
Être dans un bachelor généraliste, c'est s'assurer d'avoir les bases nécessaires pour pouvoir intégrer les master. Après le bac on n'a pas forcément d'idées précises sur ce que l'on veut faire. J'ai choisi ce parcours après m'être ré orienté. J'ai découvert des domaines que je n'envisageais pas du tout !
La Licence LLCER que j'ai faite m'a formé au monde de la linguistique . Si au début je ne savais pas où je mettais les pieds , au fur et à mesure , je me suis mis à l'aise. De cours de langues vivantes à la linguistique , en passant par l'archéologie ou encore la littérature orale . Ce que j'ai retenu d'une licence à l'université , c'est de toujours s'accrocher. Et aussi l'université sa été les meilleurs moments de ma vie d'étudiant .
Je suis arrivée en licence de psychologie sans vraiment savoir quoi faire. En fait, suite à mon échec en PACES, j'étais complètement déboussolée. J'ai donc chercher quelque chose à faire de ma vie, qui ne me mettrai pas autant de pression que la PACES, et qui me permettrai d'avoir accès à un métier qui me conviendrai. J'ai donc choisi la psychologie, et suis partie de mon île (la Guadeloupe), pour étudier en Métropole. J'avais peur au début, car, sortant d'une filière technologique qui rassemble la santé et le social, je pensais avoir énormément de lacune vis à vis des cours qui seraient plutôt littéraires. Cependant, cette année m'a montré que rien est impossible avec du travail. De plus, la psychologie n'est pas, comme je le pensais, que pour les profils littéraires, mais elle peut rassembler plusieurs types de profils.
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec lui
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