Au lycée Condorcet situé à Saint-Lazare (Paris 9), il y a deux classes de MPSI (maths Physique Sciences Industrielles a.k.a Maths Sup), une classe de PCSI (Physique Chimie Sciences industrielles) , une MP (maths Physique a.k.a Maths Spé), une MP*, une PSI*, une PC, deux classes d'hypokhâne et de khâgne (classique et moderne).
Il y a une très bonne ambiance à Condorcet et une bonne entente entre les lycées et les préparationnaires. Le lycée est bien animé et le bureau des lycéens organise plusieurs événements auxquels peuvent participer tout le monde. Il y a également un terrain de basket et de volley en libre accès.
En MPSI et MP j'ai eu des professeurs très compétents et compréhensifs. Ils sont à l'écoute des étudiants, cherchent à nous motiver, à nous rassurer, nous conseiller. C'est une prépa de bon niveau que je recommande fortement !
Les amis d'autres filières sont également satisfaits de leurs professeurs en général.
Le CPE des prépas est vraiment très sympathique, indulgent et disponible.
La classe prépa, tel que tout le monde se la figure, c'est quelque chose d'insurmontable. La légende dit même qu'on en revient pas entier. C'est presque ça, mais en mieux ! La première année, l'adaptation est rude mais une fois le rythme pris tout va mieux. Il faut savoir qu'on étudie les lettres mais aussi l'histoire, la géographie, les langues, la philosophie, les langues anciennes et qu'il y a des options artistiques et parfois pour préparer sciences-po possibles ! J'en garde un excellent souvenir, je me suis vraiment éclatée, on est sans cesse stimulé intellectuellement par les professeurs. D'ailleurs ceux-ci nous encadre de près, on est accompagnés un peu comme au lycée, les effectifs de classes bien qu'ils varient beaucoup d'un lycée à l'autre, sont vraiment réduits par rapport à la FAC, et permettent des échanges aisés avec les professeurs, un accompagnement même personnalisé. À la fin de ma première année (hypakhâgne) bien que j'attendais les vacances d'été avec impatience , j'étais finalement très pressée de replonger dans le bain culturel, laborieux et rigoureux qu'offre la prépa lettres. Il est vrai que ça ne correspond pas à tout le monde, qu'il n'est pas évident de s'imaginer uniquement derrière un bureau pendant 2 ans mais ça en vaut vraiment le coup ! C'est une richesse incroyable, une ouverture d'esprit sur énormément de matières. C'est aussi une richesse méthodologique, avec une pratique de la dissertation très intensive autant à l'oral qu'à l'écrit dans toutes les matières. La prépa offre vraiment deux ans de marathon mais au final ça nous donne une "avance" sur ceux qui ont fait l'université, dans le sens ou ça nous offre une méthode de travail et d'organisation très prisée par les différentes écoles (et il y en a beaucoup) que l'on peut demander à la fin des deux (ou 3) ans. On apprend aussi à bien écrire, et ça c'est précieux, ça fait la différence pour postuler dans le monde du travail. Puis, quand même il faut le dire même si ça fait élitiste, c'est assez prestigieux, on prépare pendant deux ans l'un des concours les plus difficile avec 2,22% d'admissibilité : l'ENS (l'École Normale Supérieure), ça renvoie une image de bosseur, d'étudiant rigoureux qui a reçut une très bonne formation post-bac. Les débouchés sont très vastes, de sciences-po aux écoles de commerces en passant par toutes les licences proposée autour des matières étudiées en prépa. On a une BEL (Banque des Écoles Littéraires) très riche, entre écoles de traduction (ISIT et ESIT), l'École des Chartres, l'École du Louvre, Saint-Cyr... En bref, quand on aime les matières littéraires, il faut envisager la prépa, même si ça fait peur ! Parlez-en avec nous les Advisors mais aussi à vos professeurs, ils sauront vous guider !
Mes missions comme technicien réseaux ont été de veiller au bon fonctionnement du réseau au sein d’un système d’information d’une société . En tant que tech réseau on devient les responsables tierce du bon traitement des informations d’un ou plusieurs utilisateurs qui transite au sein de son réseau. Lorsque j’ai commencé mes missions en tant que technicien réseau j’étais sous la responsabilité directe d’un sysadmin ou administrateur système et Réseaux et en relations constantes avec les utilisateurs pour dépanner ou améliorer leurs connectivités avec le réseau. Mes champs d’intervention en tant que tech était à la fois en Frontend (côté utilisateur) et backend (j’avais souvent la tête dans les câbles ou dans les armoires réseaux) Tout ceci m'a permis d’acquérir des compétences dans mon champ d’activité qui m'ont permis par la suite de devenir Administrateur Systèmes réseaux qui est la poursuite logique d’un technicien réseaux On peut y retrouver des taches de tech mais en plus poussé et d’autres taches et missions variées. Mais que cela soit en tant que tech ou bien en Sysadmin où Responsable Système d’information, nous réalisons tout ce challenge : Améliorer, Optimisé la qualité de vie d’un utilisateur :)
La classe prépa, tel que tout le monde se la figure, c'est quelque chose d'insurmontable. La légende dit même qu'on en revient pas entier. C'est presque ça, mais en mieux ! La première année, l'adaptation est rude mais une fois le rythme pris tout va mieux. J'en garde un excellent souvenir et bien que j'attendais les vacances d'été avec impatience, j'étais très pressée de replonger dans le bain culturel, laborieux et rigoureux qu'offre la prépa lettres. Il est vrai que ça ne correspond pas à tout le monde, qu'il n'est pas évident de s'imaginer uniquement derrière un bureau pendant 2 ans mais ça en vaut vraiment le coup ! C'est une richesse incroyable, une ouverture d'esprit sur énormément de matières. C'est aussi une richesse méthodologique incroyable. La prépa offre vraiment deux ans de marathon
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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