Pour choisir de transmettre aux enfants et aux jeunes un savoir, il faut s’attendre à une tâche immense, les enjeux sont déterminants pour l’avenir du « vivre-ensemble ». Les métiers qui tournent autour de l’éducation et du social, tout ce qui est trait aux relations éducatives sont pour moi des métiers accessibles et aussi ce sont des domaines qui me parlent. La vocation c’est un terme très fort, c’est l’attente d’un désir très fort et pour être honnête quand j’étais petite j'affirmais “ni dans une classe, ni dans un bureau”, je n’aurais jamais la vocation, même si c’est un métier qui m’intéresse énormément je sais malgré tout que je ne le ferais pas toute ma vie.
L'idée de devenir professeur avait néanmoins commencé à s'ancrer en moi, non pas par amour pour les enfants ou par désir de transmettre mais par amour pour trois disciplines le Français l’arabe et l’anglais. J'adorais l’arabe et l’idée d’enseigner dans cette matière m’était sensible mais mon professeur d’arabe m’a dissuadée en disant qu’il y avait peu d’embauche et très peu de postes au concours. Malgré cela, durant ma formation en sciences de l’éducation cela est devenu une évidence.
Le niveau requis pour être enseignant a évolué, ajoutant à la licence deux ans de master dont une année de stage en alternance, je pense sincèrement que, mieux nous sommes formés mieux nous serons préparés pour s’adapter à des publics différents. Les conditions de travail sont parfois difficiles, comme on le sait toutes les conditions de travail dans le social se reflètent par le manque de moyen professionnel et matériel. Je ne pense pas qu’il faut avoir une vocation pour exercer ce métier. En revanche, il faut s’investir, donner de sa personne et pour cela il faut aimer et endurer la dure réalité du terrain. Soyons honnête, un professeur n’a pas d’évolution de carrière, on enseigne tout au long de notre vie, après il y a un moyen de se reconvertir ou peut être devenir directrice d’école, pouvoir former d’autres enseignants ou encore passer le concours pour devenir inspecteur de l'Education Nationale.
Je ne me suis jamais vraiment posé la question, pourtant aussi loin que je me souvienne je me suis toujours vue professeur. Cependant il y a une chose que je sais, jamais je n’aurais pu faire autre chose, les disciplines scientifiques n’ont jamais été mes points forts contrairement aux disciplines littéraires. Je n’ai jamais eu la moyenne en mathématiques et en sciences, je suis plus une littéraire.
Nous avons tous en tête un enseignant qui nous a marqué, que ce soit dans le bon ou dans le mauvais sens du terme. Pour ma part, j’ai toujours admiré mes maîtresses, et je pense qu’au fond de moi, au plus profond de mon inconscient, j’ai toujours voulu enseigner. Devenir enseignant, c'est exercer un métier passionnant et également exigeant. Il faut se montrer attentif et patient.
L'enseignant est polyvalent, il doit mobiliser des compétences dans plusieurs disciplines, il doit être un pédagogue. Adapter son enseignement au profil de chaque élève, afin de répondre à leurs besoins éducatifs peut paraître complexe mais cela a pour objectif de favoriser leurs réussites scolaires. En effet, c’est l’attention portée au travail de l'élève à ses échecs mais également à ses réussites. Si je reprends l’idée de la Révolution Française pour la réforme de l’école, l’important est de former des citoyens instruits et éclairés.
Salut tout le monde ! J'écris ce petit témoignage pour vous parler de mon ressenti en CPGE scientifique dans un grand lycée parisien ! Une CPGE dure deux ans, et prépare aux concours d'entrée aux grandes écoles d'ingénieurs françaises (Centrale, Mines, Arts et Métiers, Polytechnique, etc) Durant ces deux ans, dans un lycée, on suit énormément des cours de maths/physique dans une classe de réduite, un peu comme au lycée, et on acquiert une très grande culture scientifique, très généraliste et théorique. Durant la première année, il existe 4 filières : PCSI (dominante physique/math/chimie/sciences de l'ingénieur), MPSI (Math/physique/science de l'ingénieur), PTSI (Physique technologie science de l'ingénieur), BCPST (dominante biologie). Alors il faut savoir que dans les 4 premières, on suit les mêmes matières : Maths, Physique Chimie, Sciences de l'ingénieur, Informatique, Anglais, Français. Seuls les programmes varient d'une filière à l'autre (légèrement) et la répartition du volume horaire des matières. En deuxième année, il existe 5 filières : MP (accessible via MPSI seulement), PC (accessible via PCSI seulement), PSI ( accessible via PCSI, MPSI, PTSI) et PT (accessible via PTSI) et BCPST 2 (accessible via BCPST). Le programme est légèrement différent pour chacune des filières, mais nous avons tous une base commune, semblable en Maths et Physique. Pour ma part, j'ai choisi la filière PSI pour continuer les sciences de l'ingénieur qui me plaisaient. C'est une filière très équilibrée et généraliste en Maths, Physique, Sciences de l'ingénieur. Elle possède un aspect plus pratique, de compréhension des phénomènes physiques que l'on peut rencontrer dans la vie d'un ingénieur. Ces trois premières filières mènent à plusieurs types de concours, qui ont chacun leurs propres épreuves. Un concours comporte une phase d'admissibilité via des épreuves écrites, puis une phase d'admission avec des épreuves orales. Les différents concours sont X-ENS (Polytechnique - Ecole normale supérieure), Centrale Supélec (toutes les écoles centrales + Arts et Métiers), concours Mines-Pont (école des mines), et CCINP (Concours commun des instituts nationaux polytechniques). Ces concours sont de niveau différent avec par ordre croissant de difficulté CCINP < Centrale et Mines < X-ENS. N'hésitez pas à me contacter si vous avez des questions sur les différents concours, certains vont mettre en valeurs certaines compétences, d'autres un autre type de compétence, etc.
Suite à mon année de fac, j'ai décidé de réalisé un BTS muc, car le commerce m'a toujours attiré. En 3ème je souhaitais faire un bac pro commerce, mais on m'a "forcé" à aller en générale car j'avais les capacités. Le BTS, j'ai vraiment adoré, maintenant cela s'appelle MCO il me semble, mais j'étais vraiment passionné par ce BTS, c'était vraiment cool.
Suite à mon BTS, je voulais continuer mes études en licence pro, sauf que malheureusement ce n'était pas suffisant, on m'a donc conseiller d'aller en DUT GEA mais en année spéciale, je le fais en 1 an au lieu de 2. Ce DUT est intéressant, il y a beaucoup de comptabilité, ce n'est pas ma matière préféré mais c'est pas gênant. Maintenant j'ai pu choisir mon option qui est management des organisations, en espérant que la fin d'année se passe bien.
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N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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