J'étais un peu perdue au niveau de ma formation, j'ai donc choisi de passer plusieurs concours dont le concours SESAME (en plus d'APB) et après avoir rencontré les différentes écoles, je me suis rendue compte de les opportunités culturelles, sociales et surtout professionnelles que m'offrait KEDGE BS. C'est ainsi que j'ai décidé de suivre cette formation qui me laisse générale et me fait voyager.
Grâce à la formation que je suis, je vais pouvoir avoir un avantage aux yeux des entreprises puisque mon parcours est très international avec trois diplômes. Cette itinérance me permet aussi de m'ouvrir à d'autres cultures et donc de pouvoir mieux m'adapter aux changements que je peux rencontrer. Après mes études, je tiens à continuer à voyager et tenter de travailler dans des groupes multinationaux.
Mon principal défi dans cette formation est le fait d'être loin de mes "racines", mais j'ai la chance de pouvoir être en contact avec mes proches. En effet, être éloignée de sa zone de confort n'est jamais très simple, surtout lorsqu'on est envoyé dans une région où les us et coutumes divergent complètement de notre mode de vie,. C'est pourquoi il est nécessaire de se créer un mental d'acier (pour pouvoir tenir) et d'arriver à trouver des bases qui nous permettent de grandir et de se gérer de manière autonome.
Je dirais que c'est avant tout ma résistance. En soi les cours ne sont pas très compliqué si vous êtes assidu, il suffit simplement d'aller en cours et d'avoir une bonne qualité d'hygiène de vie. Je pense que comme pour toutes personnes l'éloignement est compliqué et que c'est cyclique, en fait on vous explique que votre mental va fluctuer comme le cycle de Kondratiev . Et lorsque vous êtes en période de déprime et de doutes, il faut impérativement tenir et se poser pour prendre du recul et se dire que si on a commencé ce process, c'est qu'on avait un objectif et qu'on y était préparé et par conséquent qu'il ne faut pas quitter le navire sur un coup de tête ou pour un coup de blues.
Je n'ai certes (pour l'instant) pas beaucoup comparé à d'autres au niveau des études supérieures, toutefois je me suis posée pleins de questions et j'ai connu à plusieurs reprises des périodes de doutes. Mais à chaque fois, j'ai tenu bon et je me suis remotivée. Et de fait, je peux répondre aux questions que l'on me pose. J'ai un parcours intéressant qui peut permettre aux étudiants d'avoir une idée de ce qui les attend. Mais pour vraiment savoir ce qui me différencie des autres, il faut me contacter et en faire l'expérience par soi-même.
Au sortir de la terminale, les contours de mon orientation restaient encore flous. J'avais tenté le concours commun des IEP sans trop me préparer à l'épreuve, espérant m'en sortir sans avoir trop travailler les sujets au préalable. Bien entendu, cette expérience s'est soldé par un échec. Je n'ai pourtant pas pour autant renoncé à mon objectif d'entrer au sein de la formation Sciences Po. Cette formation représentait à mes yeux une opportunité de bénéficier d'un enseignement pluridisciplinaire, stimulant intellectuellement et ouvrant sur le monde (j'ai été particulièrement séduite par la 3ème année à l'étranger obligatoire) . N'ayant aucun domaine spécifique dans lequel je voulais axer mes études, tout comme n'ayant aucune vocation à exercer tel ou tel métier, j'ai donc décidé de poursuivre cet objectif : réussir le concours commun aux IEP. En recherchant les diverses formations qui permettaient de préparer à ce concours, j'ai découvert celle de l'Université de Lille. L'Université de Lille proposait une classe préparatoire aux concours des IEP adossé à une licence soit d'Histoire, de Littérature ou de Philosophie. Cette formation étant limité en nombre de place, les candidats étaient acceptés sur dossier et lettre de motivation. Alors que les premières réponses d'APB (ancêtre de parcoursup) sont tombées, je me suis retrouvée en liste d'attente sur cette formation. A défaut d'avoir connu parcoursup, j'ai connu la période d'incertitude resultant de la "première phase" qui nous laisse désorienté et anxieux quant à notre avenir. Néanmoins, j'ai finalement eu la chance d'être accepté dans cette formation. Rapidement, la qualité des enseignements dispensés nous ont permis d'acquérir un savoir et une méthodologie efficace, qui me servent encore aujourd'hui dans mes études. Nous étions répartis en 3 classes avec de petits effectifs, permettant de mettre en place un véritable accompagnement des élèves par les enseignants. Cette année en classe préparatoire, m'a permis d'élaborer de nouvelles méthodes de travail, plus particulièrement celle de travail de groupe. La solidarité et l'entraide sont de mise au sein de la formation, se préparer au concours est une activité qui s'exerce en groupe, en se stimulant les uns des autres, en débattant ensemble. Ainsi, je considère cette formation comme un atout, un atout pour l'ouverture culturel qu'elle nous procure, un atout pour l'enseignement dont elle nous dispense et la méthodologie qu'elle nous pousse à appliquer. Les matières abordées concernent les matières du concours, à savoir histoire, anglais, espagnol, culture générale... auxquelles s'ajoutent celle de la licence choisie. Bien évidemment, on ne peut parler de cette formation sans parler de la rigueur et de l'assiduité au travail qu'elle implique. Néanmoins, son modèle reste calqué sur celui de l'Université, c'est-à-dire que le travail demandé est avant tout du travail personnel nécessitant recherches et lectures. Par conséquent, il y a peu de "devoir maison" car l'on considère que le travail est avant tout un investissement personnel.
J'ai eu mon bac au rattrapage et je n'étais pas sûre de ce que je voulais faire mais j'étais attirée par le marketing. J'ai donc rejoint l'EGC à Valence (Ecole de Commerce et de Gestion) en passant le concours d'entrée et je l'ai eu. Je me suis entraînée par avance car c'était la seule école dans laquelle je souhaitais aller pour de nombreuses raisons comme la taille de l'école, l'organisation, les compétences que je pouvais acquérir,... Les stages ont été l'occasion de me plonger dans l'univers professionnel et j'ai fait le choix de partir à l'étranger pour deux d'entre eux (Dublin et Calgary, Canada), c'est une décision qui m'a permis de mûrir, de progresser en langues mais aussi sur le plan professionnel en terme de maturité. J'ai terminé mon Bachelor à l'EGC en 2016 que j'ai eu avec 14 de moyenne. L'EGC fut une excellente expérience pour moi. Si tu as des questions concernant cette formation, les écoles de commerce en général, les stages à l'étranger, ou mon parcours, n'hésite pas à aller sur mon profil et prendre rendez-vous gratuitement. Je t'appellerai avec plaisir pour qu'on puisse en parler tous les deux :)
Après mon bachelor en école de commerce, j'ai décidé de me réorienter un peu en choisissant le domaine de la communication. J'ai passé le concours d'entrée de l'ISCOM avec de nombreuses matières et un entretien de motivation et je l'ai obtenu. J'ai effectué une troisième année avant de me lancer dans le master car je n'avais pas assez de bases en communication pour débuter directement un master. La remise à niveau ne fut pas si complexe car plusieurs étudiants étaient dans mon cas et le programme était donc adapté. A l'ISCOM, il y a beaucoup de travaux en groupe ce qui permet de découvrir les personnalités, les compétences de chacun et de s'entraider. Le stages sont aussi présents et j'ai eu de très bonnes expériences dans chacun d'entre eux. En 4ème année (master 2), j'ai eu l'occasion de réaliser un mémoire ayant pour sujet le street marketing et les millennials. Enfin, en 5ème année, le programme n'est plus en initial mais en alternance ce qui est un réel atout pour la formation. Une synthèse est à rédiger, dans le même esprit que le mémoire mais plus diriger comme un problème à résoudre au sein de l'entreprise dans laquelle on réalise son alternance. Mon sujet fut : La RSE et le secteur du BTP. Prends gratuitement rendez-vous avec moi et je pourrais t'expliquer plus en détails mon expérience à l'ISCOM.
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle