D’abord, il faut être organisé dans son travail. C’est une étape primordiale à la réussite des études, quel que soit le niveau. Pour cette organisation, je me fais plusieurs plannings. Pour le premier, j’utilise un agenda. J’y remplis tout mon emploi du temps mais je n’y écris aucun devoir. Les seules choses que je note dedans sont mes heures de cours, mes activités extra-scolaires ou encore des rendez-vous importants ou mes horaires de train pour les weekend où je rentre chez mes parents.
Ensuite, pour mon travail à faire, j’ai un grand tableau blanc (on peut en trouver dans les papeteries mais aussi dans les supermarchés), sur lequel, je note tout mon travail à faire ou les objectifs que je me fixe de finir avant la fin du trimestre ou semestre selon le niveau dans lequel on travaille. Sur ce tableau, je note si je dois traiter mon cours, faire des fiches d’une matière avant un examen ou si je dois rédiger un dossier. Chaque matière pour laquelle j’ai des devoirs est écrite d’une couleur différente.
Pour finir, mon dernier planning consiste à la mise en place d’un système de mémorisation pour être le plus optimal possible le jour de l’examen. Cette étape se déroule en trois temps de révision. Je ne note ce planning nulle part, il fait juste partie de la méthode de travail que je suis. Je développe cette partie dans "ma méthode de travail actuelle (les temps de révision)"
Bonjour, Afin de commencer à vous partager mon expérience pour mon parcours en licence Ressources Humaines, il faut savoir que cette alternance a été chercher pendant 1 an et demi et j'ai contacté près de 400 entreprises. L'alternance est un beau projet mais il faut s'en donner réellement les moyens. La recherche est quotidienne mais surtout il faut faire face aux échecs et ne jamais baisser les bras. Il faut contacter les entreprises, envoyer des CV et lettres de motivations, les relancer, se rendre à des entretiens tout cela avec un emploi du temps plus ou moins chargé. Je serais heureux de pouvoir vous aider et peut être donner des clefs pour que vous réussissiez dans votre projet. A très vite !
Pourquoi Sylvie, as-tu choisi ESAM après le lycée ? Mon choix s’est porté sur ESAM, car l’aspect international m’intéressait énormément ainsi que la finance et l’entrepreneuriat. À ESAM, on a la chance de pouvoir voyager chaque année, où on veut, et c’est une opportunité que toutes les écoles n’offrent pas. Elle est classée 1ère en Top 1 en finance sur le classement de l’étudiant, ce qui n’est pas négligeable. Nos professeurs sont des intervenants du monde professionnels qui nous partagent leurs savoirs, ce qui nous évite de nous ennuyer en cours ! Grâce à l’incubateur ESAM, la « Why Not Factory », nous avons la possibilité, nous étudiants de créer notre entreprise avec l’aide de professionnel et de coach qui nous aident tout le long de la réalisation de notre projet. Pourquoi avoir choisi Montréal plutôt que Dublin pour mon premier échange universitaire ? En première année, j’ai eu la possibilité de faire un échange universitaire à Dublin ou à Montréal. Mon choix c’est tout de suite porté sur Montréal, car je voulais partir loin, loin de ma famille, loin de mes amis et être indépendante ! Si j’avais choisi, Dublin, mes amis et familles, seraient venus me rendre visite tous les mois, or je voulais prouver à moi-même et à mes propres que je suis capable d’être autonome et responsable. De plus, l’université de Sherbrooke fait partie des meilleures universités du Canada, ce qui est plus valorisant et prestigieux. Malgré le fait que les cours à Dublin étaient tous en anglais, nous avions également eu certains cours en anglais, sachant qu’à Montréal, les Québécois sont bilingues en anglais et en français, ce qui nous a permis de nous améliorer en anglais également. Mon aventure a donc début en janvier 2018, elle a duré 6 mois, car après mes 4 mois d’échange j’ai eu l’opportunité de faire mon stage dans le Marketing digital, à Montréal même. Pourrais-tu nous dire ce que ton expérience à l’étranger t’a apporté ? Grâce à cette expérience, j’ai su être plus organisé dans la gestion du temps à la maison, car sans parents il faut se débrouiller et savoir gérer son temps en rentrant des cours. J’ai pu prouver à mes proches que j’étais capable d’être débrouillarde et responsable ! J’ai pu m’améliorer en anglais, car j’ai eu l’occasion de le pratiquer dans la vie de tous les jours. Et j’ai découvert une tout autre mentalité, qui est totalement différente de celle de la France, je rentre donc avec une façon de penser différente, mais aussi une touche québécoise en moi. En 6 mois, j’ai ou faire tout ce que je souhaitais faire à Montréal, malgré des hauts et des bas avec mes colocataires, je ne regrette en rien cette expérience et cette destination. Cela m’a permis de me forger et c’est ce qui fait mon caractère aujourd’hui. Mes objectifs fixés sont donc atteints et j’en suis très fière !
Je suis actuellement étudiante en première année d'orthophonie, quelle chance ! Mais y parvenir n'a pas été si facile que ça... Laissez moi donc vous raconter ces longs mois de galère qu'ont été la prépa. Oui, pour pouvoir accéder aux études d'orthophonie, il y a un concours à réussir (3% de réussite accrochez-vous bien), c'est pourquoi il est vraiment recommandé de passer par une prépa. Parlons-en un peu... Vocabulaire, culture G, grammaire (8h par semaine...), biologie, tests psychotechniques, épreuves rédactionnelles (résumés, commentaires, dissertations, une passion), il faut aimer la langue française, ou du moins la maîtriser. Le concours d'orthophonie est un concours très littéraire dont le but n'est pas que vous réussissiez, bien au contraire... Des milliers de candidats face à vous, et finalement seulement 25, 35, 45, 90 ou 100 d'entre eux seront gardés. Alors vous avez intérêt de vous accrocher, de travailler, mais surtout d'être très motivé. Très très motivé. Vous devrez travailler à fond toute l'année, et pour cela je vous conseille d'être bien entouré (amis, familles, tous ces gens qui croient en vous et qui vont vous permettre de garder le moral malgré les premiers échecs). Vous allez ensuite commencer votre série de concours, qui sera parfois suivie par une série d'échecs (oui, ceux qui réussissent à avoir tous les concours auxquels ils se présentent ne sont pas si nombreux que ça gardez bien ça en tête) mais il faut savoir passer outre les échecs et se concentrer sur les succès à venir, c'est ce qui fera votre force ! Et lorsque vous aurez enfin décroché cet écrit dont vous rêvez, il ne faudra pas baisser les bras car l'oral encore vous attendra ! Et quel bonheur, quand vous verrez enfin votre nom écrit sur la liste finale. Admissible en école d'orthophonie !! Mais même si ce n'est pas le cas, et que vous échouez une première fois, surtout ne baissez pas les bras, car il suffit d'une fois !! Je vous souhaite à tous de réussir dans tout ce que vous entreprendrez, et que vous serez heureux quoi que vous fassiez.
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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