C'est venu instinctivement. Cela faisait 3 ans que je voulais devenir infirmière avant de commencer ma formation. On m'a beaucoup aidé dans mes recherches, notamment ma grande cousine qui est elle-même infirmière puéricultrice. J'ai aussi rencontré des anciennes formatrices qui m'ont soutenu dans mon choix de vouloir rentrer dans cette formation. C'était une vocation.
Je veux en tirer le meilleur. Devenir une infirmière avec des valeurs et beaucoup de compétences. Je suis très motivée pour devenir infirmière. Après cette formation, j'aimerais me spécialiser. Seulement je ne sais pas encore dans quel domaine, il y en a beaucoup qui m'intéresse. Notamment, le bloc opératoire et devenir infirmière puéricultrice. Je me dis que j'ai encore un peu de temps pour y réfléchir.
De montrer ma motivation auprès de personnels de santé. Je veux apprendre et connaître le plus de choses possibles. Cela pour ne pas me retrouver désarmer lors des stages pratiques et pour ne surtout pas mettre la vie d'un patient en danger. Il faut constamment montrer sa motivation. Cela auprès de l'IFSI mais aussi sur les lieux de stage. Pour cela, il faut montrer de l'intérêt dans tout ce qu'on entreprend et aussi montrer nos connaissances.
Ma relation avec les patients en stage qui est la base du métier d'infirmier. Aimer les gens. Dernièrement, je suis allée en stage en neurologie où j'étais confronté à des patients aphasiques, c'est-à-dire qu'ils avaient une perte de la capacité à parler et/ou à comprendre. Dans ces moments-là, rien n'est simple, il faut s'adapter! Mon relationnel avec les patients m'a toujours aidé.
J'adore conseiller! Je veux être le plus juste possible dans les réponses que je donne. J'ai aussi connaissance de tout ce qui tourne autour de ma formation, je suis très curieuse et je connais les pièges à éviter. Je suis à l'écoute et dans la relation d'aide. Cela fait aussi partie de la formation. Je vous livrerais mon expérience avec beaucoup d'intérêt et de plaisir.
Mon année de PACES a été très compliquée. J'ai vraiment énormément travaillé pour au final ne pas être dans le numerus clausus et ma santé s'est beaucoup dégradée que se soit mentalement ou physiquement. Je pense que je n'étais pas faite pour ce concours mais cette expérience m'a appris à travailler dur et je pense que c'est grâce à elle que finalement j'ai réussi le concours paramédical, c'était le destin. Pour les personnes voulant aller en PACES je leur conseille de prendre soin d'eux tout en travaillant et d'être motivé ! Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas a demander un rendez-vous téléphonique avec moi.
Le concours pour entrer en école de psychomotricité n'est pas facile, le numérus clausus est petit et les taux de réussite peu élevés mais si vous pensez être fait pour ce métier, il faut travailler et tout donner pour réussir car ça en vaux vraiment la peine et la fierté ressentie une fois la réussite annoncée est incomparable !
Bonjour, Je m'appelle Lisa, je suis une future orthophoniste (enfin, j'espère !) et voici mon témoignage : Après avoir fait un bac S, je me suis lancée dans une année de prépa. C’était une année intense et parfois épuisante, mais on rencontre plein de nouvelles personnes qui ont le même but que nous et souvent une bonne entraide se met en place ! J'ai passé 4 concours, ce qui est peu comparé à certaines personnes en passant une quinzaine, mais je voulais bien les préparer afin que ce ne soit pas juste la chance qui prime au concours, mais également tout mon travail. Après, le nombre de concours c'est comme tu le sens : selon ta résistance, tes points forts et faibles, tes méthodes de travail etc. Je travaillais pour la prépa mais aussi pour moi-même, je m'achetais des livres d'annales (bonjour, Vuibert !) et des livres reprenant des notions tombant aux concours (tests psychotechniques, français, culture générale)... Je vous conseille également de suivre les actualités pour la culture générale, de faire des fiches si cela vous correspond. Ce qui est super important c'est la répétition ! Faire et refaire des exercices quand on ne comprend pas quelque chose, et en refaire même quand on a compris pour ne pas oublier ! Pour réviser de manière ludique, j'avais téléchargé des applis et des jeux pour réviser dans les transports en commun, pendant une pause, ou alors quand je n'en pouvais plus de travailler de manière "conventionnelle". Malgré la dose de travail, je m'efforçais de me coucher tous les soirs à 23 heures maximum, car le manque de sommeil n'est bon ni psychologiquement, ni pour votre mémoire. Une dernière chose : Garde TOUJOURS confiance en toi, ça finira par payer ! C’est une année de sacrifices qui te demandera de mettre ta « vie » un peu sur le côté mais ce n’est que pour 6-9 mois, après tu pourras souffler ;-) et dans les moments de doute demande-toi : pourquoi un(e) autre et pas toi ? Je te souhaite une bonne chance dans la préparation des concours !
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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