J'ai choisi via les propositions Apb selon la distance depuis chez moi et la qualité de l'enseignement. De plus, le fait que cette classe soit publique a été un atout financier. J'ai également choisi suite aux établissements qui m'avaient accepté et ceux qui m'avaient refusé car j'avais préalablement effectué une liste de souhaits dans le bon ordre.
Cette formation nécessite un travail soutenu que ce soit à la maison ou pendant les cours . Ceci dit, il offre une capacité de travail et de rigueur pour les années suivantes et donc pour le projet professionnel. La classe préparatoire aux grandes écoles de commerce m'a ensuite permis d'intégrer une école au sein de laquelle je vais me spécialiser.
Mon principal challenge a été le travail à fournir en dehors des heures de cours et donc l'investissement nécessaire . Non seulement les journées sont longues (cours et heures de colles) mais en plus les seules heures de détente doivent prendre en compte la nécessité de travailler et de devenir toujours meilleurs en vue des concours au terme des deux années.
J'ai su faire preuve de détermination malgré les difficultés dans l'apprentissage et j'ai surtout atteint mon objectif qui était d'obtenir une école dans le top 20 des écoles françaises. Cette détermination est due au sacrifice que représente la CPGE pour les années à venir car elles décuplent la capacité à offrir un travail de qualité en temps et en heure.
Je serai être à l'écoute des étudiants qui s'intéressent à ce type de parcours pour ensuite les conseiller objectivement sur les choix qu'ils doivent prendre . De plus , je sais mener une conversation dynamique , agréable et courtoise tout en éclairant et rassurant les étudiants sur leurs problèmes d'orientation. Enfin je pense être doté d'un sens de l'humour hors pair .
Il y a seulement 3 ans, tu étais perdu. Depuis toujours, tu t’étais fixé un objectif de vie. Être vétérinaire et parcourir les campagnes pour aller à la rencontre des éleveurs et soigner leurs animaux. Tout en sachant la difficulté des études, tu donnes le meilleur de toi-même en cours pour parvenir à intégrer une classe préparatoire en BCPST. En Terminale, lors du choix d’orientation, c’était très clair, tu veux être vétérinaire, mais à quel prix ? Tes professeurs sont partagés à l’idée de t’envoyer en classes préparatoires. Pendant le confinement, tu t’interroges sur ton avenir, tu doutes de tes capacités, tu cherches des métiers plus « accessibles ». Tu as alors l’idée de te réorienter dans un secteur similaire comme l’ostéopathie animale, assistant vétérinaire… Mais finalement, tu as l’impression que ça ne mène à rien parce que tu sais au fond de toi ce que tu veux. Un soir, tu craques. Tu prends ton ordinateur et tu commences à faire toutes les recherches possibles et inimaginables sur les études vétérinaires à l’étranger. C’est là que tu recommences à avoir de l’espoir. L’Europe t’offre tellement d’opportunité d’être vétérinaire. Et là, tu t’interroges « mais pourquoi je n’y ai pas pensé plus tôt ? », « pourquoi personne ne m’a dit que c’était possible ? », « pourquoi la France rend ces études tellement inaccessibles avec si peu de place. » Tu commences à en parler à ta famille. Allez étudier à l’étranger après le BAC, dans un pays inconnu, devenir complètement indépendante du jour au lendemain. C’est impressionnant mais aussi très excitant. Tu as peur que ce soit un rêve encore irréalisable, mais tu ne veux pas baisser les bras ! Tous les jours, tu remplis un tableau Excel pour le présenter à ta famille ; avec chaque école en Europe, leurs prix, le nombre d’études à faire, le prix de la vie, le moyen de s’y rendre (avion, voiture…). Tu te rends compte que tout ça est très utopique. C’est là que tu penses à la plateforme Study Advisor. Une case de ton tableau contient maintenant ton avis sur l’école selon le témoignage de différentes personnes. Une fois avoir réuni les informations, tu les compares entre elles. Tu as une préférence pour une école en Espagne, l’université CEU Cardinal Herrera qui propose un cursus en français les 2 premières années. Elle te semble parfaite ! le problème ? LE PRIX. Le prix te fait peur, tu ne veux pas imposer ça à tes parents… Tu hésites même à leur en parler. Tu décides de prendre contact avec encore plus de personnes pour avoir encore plus d’avis. Tu tombes sur une personne qui avait la même peur que toi. Elle te rassure et te dit que beaucoup de personnes ne peuvent pas s’offrir des études aussi chères et l’option du prêt étudiant est parfois inévitable. Tu te questionnes alors si tu veux être vétérinaire au prix d’être endetté de plus de 70 000 euros à la fin de tes études. Tous tes espoirs de pouvoir intégrer ces écoles s’effacent peu à peu. Avant d’abandonner, tu en parles à ta famille… Ils se rendent compte de l’importance pour toi de faire ce métier et te conforte à l’idée que si c’est ce que tu veux, il faut que tu le fasses. Tu commences à créer ton dossier pour postuler dans l’école de tes rêves, tu fais une lettre de motivation qui te ressemble et qui montre l’importance pour toi d’être vétérinaire. Et là, tu attends. Tu essayes de te préparer à toute possibilité, être déçu, contente, triste, euphorique… Mais en attendant, tu ne peux pas rester sans plan B. Nous sommes seulement en janvier, tu dois te concentrer sur la BAC S pour essayer de viser les classes préparatoires. Le moment tant attendu arrive, tu as la réponse de ton mail et tu lis « nous regrettons de vous informer que vous n’avez pas été présélectionné pour l'année académique 2020-2021 à l'Université CEU Cardenal Herrera. » Maintenant, tu ranges ta déception dans un tiroir et tu passes au plan B en continuant tes recherches dans une école véto à l’étranger. (à l’époque, je ne savais pas que je pouvais postuler pour le cursus anglais et espagnol !!). Un jour comme les autres, en terminale, au mois de Mars, tu reçois un appel ou il y a affiché un numéro commençant par +34 avec écrit « Valence ». Tu ne comprends pas et le temps que tu réfléchisses si tu dois sortir pour prendre l’appel ou pas, tu n’as pas pu répondre. Le même numéros rappel 5 minutes plus tard. Tu n’hésites pas et tu demandes de sortir pour décrocher. Tu parles avec une personne de l’administration qui s’excuse car il y a eu une erreur dans la réponse de ta présélection. Tu lui demandes de répéter parce que tu as du mal à y croire…. Tu rentres en classes en étant super perturbé et la prof te demande si tout va bien. Tu lui dis que tu vas être vétérinaire. Aujourd’hui je suis en troisième année vétérinaire et je n’en reviens toujours pas. Le temps passe si vite. Les études sont difficiles mais ce sont que des cours aussi passionnant les uns que les autres. C’est la première fois de ma vie que j’étudie avec envie. Je sais que je n’aurais jamais pu rêver mieux. Je remercie ma famille de m’avoir soutenu dans ce projet. N'abandonne pas tes rêves. AIE CONFIANCE EN TOI...
Mon année en classe préparatoire ATS. Que dire dessus ? Plein de chose ! Déjà, je suis arrivée en prépa ATS après trois ans d'étude post-bac. Ceci semble anodin mais en réalité pendant ces deux années de DUT j'ai eu le temps de murir personnellement et de murir mon projet. De ce fait, il m'a été plus facile d’appréhender cette année de prépa vis à vis de la première prépa que j'avais réalisé en post-bac. Toutefois, ça reste une année de prépa ! Il y a du travail et ceux même avant d'intégrer la prépa. Je savais que mon gros point faible était le français. J'ai alors anticiper l'année sur cette matière en suivant l'actualité et en lisant l'été précédent ma rentrée en prépa. Durant l'année, j'ai réalisé les montagnes russes moralement. Il y a eu des périodes de l'année où c'était la motivation et mon rêve de devenir vétérinaire qui primé et d'autre période plus sombre. J'ai eu des moments de doute, des colles qui se sont pas forcément très bien passées, des notes qui ne sont pas plaisirs ... Toutefois, je pense avoir réussi à surmonter ces passage grâce à mon entourage qui m'a soutenue. Et surtout, je n'ai jamais complétement baissé les bras. Le secret de la prépa est de s'accrocher ! Lorsque les doutes s'installent je refaisais systématiquement un point sur mon projet pour me rappeler pourquoi j’étais en prépa. En plus, reprendre son projet c'est doublement bénéfique car cela permet de préparer au mieux l'épreuve d'entretien du concours de la voie C. Au final, si je dois donner un conseil pour l'année de prépa ATS Bio, une fois lancé dans l'année de prépa, il ne faut jamais oublier son objectif, son rêve !
La licence de psychologie contient un ensemble de connaissances à acquérir, qui sont divers et variées : Psychologie sociale, neuropsychologie, biologie, statistique, psychologie clinique... La licence de psychologie est majoritairement orientée autour des statistiques et de de la neuro-biologie. Il est important, durant ces trois premières années d'étude, de se renseigner de son côté, à propos de l'orientation de votre (future) pratique, et donc de : LIRE. Ces trois années de licence, vous permettent de réfléchir à pourquoi vous souhaitez être psychologue clinicien.ne.
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec lui
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