Introduction
Puisque c'est mon histoire, j'aimerai la partager avec vous chers Pioupious passionnés d'aviation qui n'êtes pas très scientifiques. J'ai obtenu un bac littéraire mais, comme beaucoup de ceux qui ont déjà pris l'avion, les pilotes, les contrôleurs et les hôtesses me passionnaient. Tout de suite, vous voyez le hic, vous comprenez où est ce que ça coince. J'ai un baccalauréat littéraire alors c'était impossible pour moi de devenir pilote et encore moins aiguilleur du ciel !
Rebondissement
Toutefois, j'étais assez douée pour l'histoire et j'aimais plutôt ça. J'ai commencé alors à me renseigner, je n'étais pas dupe, les avions ça ne date pas d'hier et il a fallu forcément écrire l'histoire de ces "plus lourds que l'air". Alors s'il y avait des historiens de l'aviation, pourquoi est-ce que je n'aurai pas pu en devenir une ?
Recherches
Après de nombreux moments de questionnements, j'ai découvert qu'il existait à Toulouse un master appelé "Civilisation et Tradition du patrimoine aéronautique et spatial". Et c'est en approfondissant ce sujet que je me suis rendu compte qu'il y avait des centaines de sujets différents sur lesquels je pouvais espérer travailler. Que ce n'était pas uniquement l'histoire de ces gros morceaux de ferraille !
Renseignements
Du coup, comme j'ai passé des heures et heures à me cultiver sur ce sujet et que maintenant je suis incollable je peux, si tu le souhaites, cher petit pioupiou, t'aider si ce sujet d'intéresse et que tu veux en savoir davantage. N'hésite pas à me contacter et nous essaierons de dessiner ton parcours ensemble !
Attention au nom ! Car même si il y a la matière d’économie et de gestion en premier semestre les autres matières sont principalement des mathématiques. Si vous voulez y arriver il va falloir s'accrocher car les mathématiques sont en plus de ça d'un haut niveau ! Attention donc aux lycéens sortant de ES qui n'aiment pas les maths et qui pensent qu'aller dans cette voie sera bien pour eux .
Je n'ai jamais eu une idée précise de ce que je voulais faire après le lycée. Je n'avais pas vraiment imaginé que la CPGE puisse exister mais c'est en terminale que je me suis rendu compte que ça pouvez être une bonne idée si je voulais gagner en culture générale, en méthodologie et en habitude de travail sans perdre d'année. Alors j'ai tenté ma chance, j'ai été acceptée et je ne regrette pas mon choix. La classe préparatoire c'est difficile, soit, mais c'est si bénéfique que ce studio de l'inutilité ne saurait être qu'un bon souvenir. On peut être découragés parfois mais ce qui m'attirait c'était aussi le nombre restreint d'élèves qui fait que nous sommes très solidaires. Il y a bien plus d'avantages que d'inconvénients, le tout c'est de le vouloir, de ne jamais lâcher et de donner le meilleur de soi.
J'ai fait 3 années d'études dans l'école d'ingénieur ESIEA en apprentissage. Il s'agit d'une école d'ingénieur reconnu par la CTI spécialiser dans l'informatique et l'electronique.
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle