J'ai choisi cette école parce qu'elle propose un cursus assez large dans le domaine de la science, elle est très active au niveau de l'international, et forme des ingénieurs pluridisciplinaires. Donc à la sortie, on peut bosser dans de nombreux domaines, à l'étranger, et dans de nombreux postes. En plus, la prépa intégrée me correspondait mieux qu'une prépa classique !
Je compte changer de métier souvent, pour ne pas être lassé, évoluer dans mes postes, trouver du boulot facilement et à l'étranger ! Et surtout : ne pas être fixé à une tache à faire toute ma vie ! Je compte donc évoluer beaucoup dans ma vie professionnelle, mais surtout, je compte profiter de ma vie personnelle, et donc trouver un poste qui associe très bien une belle vie personnelle avec une bonne carrière professionnelle ! Pour ça, le diplôme d'ingénieur pluridisciplinaire est le most du must !
Mon principal challenge est de rester continuellement curieux et intéressé par le maximum de choses ! Autant l'actualité, les sciences, la politique, l'économie, etc. pour mieux comprendre le monde, et ainsi de tirer profit de mon environnement. La formation d'ingénieur pluridisciplinaire requiert évidemment cette curiosité, puisqu'au cours du cursus nous sommes amené à étudier des sujets très différents les uns des autres !
Ma plus grande qualité au cours de cette formation est évidemment le fait que je puisse "toucher à tout" ! Je ne suis donc pas fermé à évoluer dans un seul domaine ! Je ne me lasse donc pas et je reste motivé dans la suite de ma formation !
Je peux conseiller les étudiants sur les prépa intégrées, les possibilités après un bac S, comment se préparer à passer des concours avant le bac etc. Je peux donc donner des conseils très utiles sur de nombreux sujets, que j'aurais bien aimer recevoir lorsque j'en avais besoin ! Mes connaissances sur le milieu des études d'ingénieur, des concours avant le bac, des méthodes de travail en prépa intégrée etc donc de moi le parfait advisor pour vous conseiller !
Un jour, on m'a dit qu'aller en sciences de l'éducation pour être professeure des écoles était une très mauvaise idée. De nombreuses rumeurs sous-entendent que les sciences de l'éducation vont nous ramollir le cerveau !!(oui j'ai déjà entendu ça). Mais depuis que je suis dans cette licence j'adore mes études !! Chaque jour apprendre de nouvelles choses en éducation, sur les enfants (mais aussi sur la formation des adultes) je trouve ça passionnant. De plus, à Jean Monnet à Saint Etienne on commence à parler des SDE(sciences de l'éducation ;) ) dès le début de la L1. Et on ne trouve pas ça partout ! Tout ça pour vous dire, futurs professeur.es, éducateurs.rices, formateurs.rices, n'écoutez pas les mauvaises langues et si vous voulez vraiment aller en sciences de l'éducation, lancez vous la tête la première !
Les études de médecine ? Des études difficiles ? Adieu la vie sociale ? La PACES, le plus dur et après ? Je suis étudiante en 3ème année de médecine à la faculté de médecine Pierre et Marie Curie (Sorbonne Université -Paris VI) et je peux vous dire qu'avec ma petite expérience, oui ce ne sont pas des études simples mais elles sont passionnantes ! La PACES, départ de ces études médicales est dure mais nous fait apprendre sur nous même. Dans mon cas, au départ, pour réussir ce concours, je m'étais empressée de trouver LA méthode de la réussite ! Mais LA méthode n'existe pas ! Il existe plusieurs méthodes et il faut trouver celle qui nous correspond le plus ! De plus je croyais que seule la méthode comptait mais non… Il est question de motivation ou plutôt de garder cette motivation et ce n'est pas simple du tout comme le fait de ne pas se culpabiliser sur une perte de temps de travail lorsque l'on fait autre chose ou que l'on prend du temps pour soi ! De plus il faut gérer un planning d'apprentissage de cours, de révisions et ce n'est pas simple. La gestion du temps est primordiale et pour être optimal il faut gérer les 3 temps suivants : 1. Temps de travail (avec une méthode personnalisée, adapté à son profil) 2. Temps "tampon" (qui est une plage horaire vide pour rattraper son retard dans son planning) 3. Temps "ressources" (des instants où il faut décompresser, faire autre chose que travailler, quelque chose de motivant, déstressant). C'est ce que j'ai appris de la PACES et ce que j'ai transmis par la suite aux étudiants PACES à mon tour lorsque je suis devenue membre du Tutorat de ma faculté par le biais du parrainage, mais aussi dans le cadre d'un poly méthodo/bien-être et du speed-dating méthodo réalisés. Par la suite, la P2 (2ème année de médecine), c'est le temps de décompresser de la PACES, avoir plus de temps pour soi, profiter de la vie et c'est important ! C'est l'heure de l'apprentissage de la sémiologie et ça devient maintenant très concret avec le passage en stage, l'affront des premiers patients avec leur pathologies et des cas parfois difficiles. Puis tout s'enchaîne avec la D1 et le travail reprend de façon plus importante selon la faculté ! Dans la notre, nous commençons cette année là les stages de l'externat (sans être payés par contre) en plus des cours. Et là on devient plus autonome face au patient, on a un rôle parfois très défini dans certains services, faire des observations, présenter des patients lors de la "visite médicale" avec les chefs… mais aussi des rôles annexes de secrétaire médical ! On commence aussi la pathologie et les traitements de certaines spécialités et le passage dans différents stages tout au long de l'externat (jusqu'à la 6ème année de médecine) nous aide à faire le choix de notre spécialité que l'on réalise après le concours de 6ème année, l'ECN ! Mais je serai certainement dans la dernière promotion à vivre cet examen car un texte de loi vise à la suppression de concours donc je ne rentrerai pas dans ces détails ! Au final, l'année de PACES est selon moi plus dure car nous avons un concours à la fin, mais les autres années (hors P2 et D1 dans certaines facultés) sont riches en travail. Pour autant, il est essentiel de garder une vie sociale ! Ne lui dites pas adieu ! Les études de santé, pas que médecine sont stressantes, la gestion de ce stress en prenant soin de soi, en prenant le temps de faire des activités en dehors nous permettent de décompresser et même d'être plus performants ! Tout est question d'organisation et de gestion du temps. On en revient aux 3 temps cités ci-dessus qui au delà de la PACES reste la clé de la réussite de chacun si on les maîtrise bien ;)
En arrivant en Bachelor Chef de Projet Événementiel, je ne tenais pas en place ! J'avais tellement hâte de découvrir ce métier qui semblait si passionnant. La première année a commencé, et j'ai vite été arrosée d'une pluie de matière diverses et variées. De la stratégie de communication à la culture générale, en passant par la prise de parole en publique ou encore la culture juridique, le programme était intense et captivant. Seulement voilà, arrivée en presque fin d'année, j'ai commencé à me poser la question de savoir si je souhaitais continuer ou pas. Le cursus me plaisait, mais j'avais ce sentiment de ne pas être totalement satisfaite, sans savoir pourquoi. J'étais à deux doigts d'abandonner, persuadée que ça ne mènerait nul part. Mais très honnêtement, en pensant au prêt étudiant dans lequel je m'étais engagée et à la déception ou l'inquiétude que ça pourrait causer à ma maman, je me suis accrochée et suis passée en deuxième année avec d'excellents résultats. HEUREUSEMENT que je n'ai pas lâché : la deuxième année s'est révélée incroyablement riche et concrète ! Contrairement à la première année, le programme était presque exclusivement axé sur les méthodes de conception-rédaction et production d'un événement : recommandation événementielle, budget, culture de la communication, logistique, scénographie, relation médias... Je pouvais enfin me forger une idée concrète du métier, ce qui était impossible en première année. Nous avons été submergés de projets tous plus passionnant les uns que les autres, certains ayant même été jugés par des professionnels extérieurs à l'école. Je suis maintenant en troisième année, et le programme a été davantage éclairant que la deuxième année. En effet, nous avions une idée concrète de l'organisation d'événement, mais pas encore du métier que nous voudrions exercer au sein de l'organisation d'un événement... Il y en a TELLEMENT ! Chef de projet, directeur de production, directeur, logistique, régisseur... Autant de professions qui ont pu être décortiquées lors de cette troisième année. Aujourd'hui j'oscille entre deux professions (chef de production et régisseuse) : c'est déjà mieux que 20 ! Les projets se cumulent, la fatigue se fait ressentir, la recherche de stage joue un sacré facteur stress, la préparation à la soutenance nous fait trembler... Mais je n'avais pas tort : c'est passionnant. J'ai même pu me faire un peu d'argent en travaillant sur une grosse convention dont un de mes professeurs était le chef de production ! En bref, cette formation est très complète et prépare efficacement les étudiants aux métiers de l'événementiel. Pour ma part, rien ne sert de poursuivre un master en événementiel car tout est enseigné lors du bachelor. Mieux vaut élargir ses compétences en se dirigeant vers un master de communication ou autre. Je crois fermement que ce métier s'apprend sur le tas. La théorie acquise pendant trois ans est un solide bagage pour se lancer, mais le plus gros s'apprend en pratiquant, d'où l'importance de faire des stages pertinents et formateurs (même si parfois c'est difficile de savoir sur quoi on va tomber). C'est normal de se sentir perdu la première année, il s'agit d'une initiation pour être préparé à entrer dans le vif du sujet ! Alors si tu doutes mais que le cursus t'intéresse dans sa globalité, accroche-toi ! En revanche, si ça te gonfle réellement, c'est qu'il faut peut-être songer à se réorienter. Puisse mon bla-bla dissiper quelques-uns de tes doutes ! À tantôt Pioupiou ;)
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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