Les notes obtenues tout au long de votre parcours universitaire constituent le premier critère sur lequel les directeurs de masters se baseront.
La plupart des élèves ayant une moyenne entre 10 et 12, c'est alors par les mentions qu'il est possible de se distinguer.
En effet, les mentions sont importantes mais pas seulement. Si vos notes sont constantes (voire en augmentation) au fil des semestres, cela donnera une meilleure image de votre candidature.
Alors, les notes c'est bien, mais ça ne prouve pas votre motivation. Et puis, entre deux candidats avec les mêmes moyennes, comment les recruteurs peuvent-ils choisir ?
Les expériences professionnelles permettent de différencier les profils. Il peut s'agir de jobs d'été mais aussi de jobs étudiants (temps partiels, etc.) ou même de stages effectués.
Cela montre votre détermination, et votre aptitude à travailler et étudier en même temps. Vous paraissez alors être quelqu'un d'actif.
Cependant, un conseil pour ceux qui seraient tentés d'étoffer leur CV, il est souvent demandé de justifier de vos expériences et quand ce n'est pas le cas, les recruteurs peuvent décider de vérifier les informations d'eux-mêmes.
La lettre de motivation est l'élément qui vous individualise, vous devez expliquer pourquoi vous désirez intégrer cette formation et pas une autre, exprimer votre souhait de projet professionnel futur.
Cependant, le meilleur conseil dans cette partie serait de vous y prendre à l'avance et de bien vous préparer. En fonction des filières ou des universités, certains exigent une rédaction manuscrite ou alors pas plus d'une page. Mais surtout, rédiger à l'avance est le meilleur moyen de ne pas être pris de cours au moment des révisions.
Le plus souvent, les périodes de candidatures tombent en plein dans les révisions voire les partiels.
Attention à vérifier ces dates de candidatures qui changent en fonction des filières et des universités !
Je suis entrée en DUT Génie Biologique (GB) option Analyses Biologiques et Biochimiques (ABB) un petit peu par dépit au départ. En effet, après avoir raté ma première année de classe préparatoire BCPST, je me suis redirigée vers un IUT GB ABB car c'est une des voies parallèles qui permet d'entrer en école vétérinaire. Au début donc, je me sentais très nulle d'avoir raté la prépa et de devoir retourner dans une filière post bac "non élitiste". Néanmoins, je me suis rendue compte que le DUT GB ABB était une excellente formation. En effet, les cours qui m'ont tous été dispensés par des chercheurs étaient très poussés, nous avions énormément de travaux pratiques (800 h sur les deux ans) qui nous ont appris des techniques expérimentales très pointues (cytométrie en flux, RTqPCR, , microbiologie, spectrométrie de masse, ...). J'ai acquis énormément de connaissances théoriques et pratiques, c'est vraiment impressionnant ! Par ailleurs, la force du DUT c'est que c'est à la fois une formation professionnalisante, mais qui permet également de se préparer à des études supérieures. La deuxième année de DUT se finit par un stage de 3 mois. Pour ma part, je l'ai fait en laboratoire de recherche en neurosciences. C'est je pense, l'expérience la plus enrichissante que j'ai faite jusqu'à présent ! Par ailleurs, pendant mes années de DUT, j'ai eu le temps d'ouvrir mon esprit. Premièrement, car mes professeurs étaient tous chercheurs, donc nous parlaient de leurs recherches, nous emmenaient dans leurs laboratoires pour faire des TP... J'ai aussi assisté à des conférences, intégré des associations étudiantes, et tout cela m'a permis de réfléchir sur ce que je voulais réellement faire plus tard. Je me suis donc rendue compte que je ne voulais pas être vétérinaire, mais chercheuse. Ainsi, j'ai préparé le concours C2, concours qui permet d'entrer dans les écoles d'ingénieurs en agronomie, et les concours des ENS. J'ai finalement intégré AgroParisTech ! En bref, je dirais que le DUT est une très bonne formation à la fois technique et théorique. C'est une formation qui permet d'être dans le concret et de se rendre compte des enjeux et des besoins actuels. Je recommande grandement le DUT GB ABB, car cela mène à énormément de parcours !
Une formation dans le domaine de la puériculture demande de la rigueur et de l'autonomie. Il faut avoir envie d'apprendre, de découvrir et de développer ses connaissances. Intégrer une formation dans le domaine de la puériculture, c'est accepter de bousculer ce que l'on sait ou croit savoir, c'est accepter de se remettre en question et de recevoir des critiques sur sa pratique. Travailler avec les enfants demande de la patience, de la tolérance, une grande gestion du stress, un sens de l'écoute, une importante prise d'initiatives... Bref, pour travailler avec les enfants, il faut surtout se connaitre soi-même, se faire confiance et faire confiance aux autres.
La licence sciences humaines et sociales mention Sociologie permet de mieux comprendre les phénomènes qui nous entourent, leur historicité et permet ainsi une plus ample ouverture d'esprit. Cette filière offre une formation diversifiée et permet d'acquérir certaines compétences pratiques spécifiques (réalisation d'entretiens, enquêtes...)
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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