Lors de ma première année de psychologie, j’ai commencé à travailler à côté. Les études coûtent chères malgré tout et je souhaitais également une indépendance financière vis-à-vis de mes parents.
Je travaillais dans une grande surface, mes heures variaient, je pouvais faire 8 heures comme 20 heures par semaine, souvent, je travaillais le week-end mais également en semaine après les cours.
Je me suis vite retrouvée sous l’eau, vivant à une heure de la fac j’ai commencé à priorisé mon job étudiant. Les résultats du premier semestre sont tombés et l'ont démontré, j’avais tout juste la moyenne et tout cela avec la compensation entre les matières.
Je savais que je voulais rentrer en master et que la sélection était rude. C’est pourquoi il fallait que je remonte ma moyenne pour pouvoir prétendre à l’un des masters qui me plaisaient.
J’ai donc décidé de me reprendre en main. Je me suis donc dit que mon job étudiant n’était pas celui que je souhaitais pour toute ma vie professionnelle.
Ma stratégie: je devais mettre en place un programme de travail ainsi que des révisions quotidiennes.
J’allais en cours, le soir après la journée je me prenais une demi-heure/voir une heure de détente . Après ça, je faisais des fiches que je synthétiser (au maximum) des cours de la journée, le soir avant de dormir je prenais le temps de les relires. Le mercredi était réservé aux dossiers que je devais rendre durant le semestre. Le dimanche, je faisais les fiches que je n’avais pas pu faire durant la semaine (si jamais je travaillais un jour de la semaine, ou que j'étais sortie). Et surtout je re lisais toutes les fiches que j’avais pu faire durant la semaine.
Néanmoins je continuais à voir mes amis, à sortir, ma vie sociale n’était pas mise entre parenthèses.
J'ai réussi à valider mon semestre avec de très bonnes notes. Ma deuxième année s'est déroulée de la même façon c’était sans compter à ma troisième année qui ne s'est pas déroulée comme prévu..
Je suis donc rentrée en troisième année, les heures de cours augmentent, mon job étudiant me prend beaucoup de place, les dossiers diminuent et les cours à réviser deviennent de plus en plus volumineux, et pour couronner le tout, un stage obligatoire de 70 heures est à effectuer en même temps. J’essaye de suivre le rythme mais je me vois faiblir au fur et à mesure des jours. En même temps, il nous est demandé de réaliser une sorte de mémoire (TER). Et la je sais que je n’y arriverais pas. Je ne trouve pas de stage, le sujet de mon mémoire est bancal, je ne comprends pas comment le réaliser. Je rends quand même quelque chose. Les résultats tombent, je ne valide que deux matières. Le problème c’est que la sélection du master s’effectue à la fin de la troisième année. Je ne savais pas forcément le master dans lequel je souhaitais m’orienter. Il m’est donc impossible de tenter la sélection avec ce dossier. C’est pourquoi je décide à la fin du premier semestre de réaliser ma troisième année en deux ans. Je me suis donc concentrée sur certaines matières et j’ai pris le temps de lire beaucoup de livres, revues, articles sur la psychologie. J’ai donc redoublé ma troisième année. Pendant les vacances scolaires de juillet et août , j’ai cherché un stage, j’ai également choisi le master dans lequel je souhaitais m’orienter.
Ma (deuxième) troisième année s'est très bien passée. Ayant déjà validé quelques matières j’ai pu réaliser mes heures de stage sur les heures de cours des matières que j’avais validé.
J’ai donc réussi ma troisième année avec mention bien, j’ai eu ma licence avec la mention assez bien.
Suite à ça, j’ai postulé dans le Master psychologie spécialité gérontologie et je suis actuellement en première année de master 1, tout ce passe très bien j’ai même validé mon premier semestre avec la mention assez bien
Il est totalement possible d’allier les études et job étudiant, même si cela, je l’avoue reste compliqué à certains moments, c’est totalement possible. Il faut vraiment être assidue dans son travail, et même si à certains moments ont à pas envies, il faut savoir se forcer, car chaque heures de travail est importante pour réussir.
Le DUT Techniques de Commercialisation, qu'est ce que c'est ? Un DUT TC c'est 2 ans d'étude dans le secteur du commerce, du marketing et de la communication. Cette formation est très diversifiée. Les matières changent tous les semestres, donc si tu n'aimes pas une matière cela ne dure que quelques mois ! E-marketing, négociation ou encore communication commerciale sont des enseignements que j'adore ! Les points forts de ce DUT : les nombreux projets de groupe, les professeurs qui sont avant tout des professionnels, la diversité des cours, les oraux et tout simplement l'ambiance au sein de TC Les points faibles : du travail régulier est nécessaire !
A quelques semaines seulement de mon départ en Australie pour une année d'échange, je viens d'achever les cours de ma deuxième année de bachelor à Sciences Po Paris, ce qui me pousse à penser de façon rétrospective à mon expérience dans ce cursus. Étant en double diplôme de lettres avec la Sorbonne, ces deux premières années ont été intenses tant en charge de travail qu'en enrichissement personnel et intellectuel. Intégrer Sciences Po m'a permis de combiner une vie scolaire exigeante et instructive, me poussant à dépasser mes limites pour me hisser autant que possible vers l'excellence, et une vie personnelle et associative incroyable : théâtre, création d'une association féministe, participation active dans l'association des élèves en double-diplôme ... Sans oublier bien sûr des rencontres inoubliables. En effet, les élèves viennent de tous les pays et milieux culturels que l'on puisse imaginer, ce qui permet de tisser des amitiés uniques qui m'ont définitivement marquée et aidée à mûrir et m'ouvrir sur le monde. Ce sont ces rencontres et activités si stimulantes qui m'ont jusque là motivée pour me donner à fond dans mes études, mais aussi pour m'aider à tenir le choc dans les périodes les plus chargées en termes de travail. Ces moments pouvaient par moment sembler insurmontables, mais toujours, j'ai réussi à dépasser mon stress et mon appréhension grâce à ma curiosité intellectuelle face à la diversité de matières enseignées, et à l'encadrement qualitatif proposé par cette école. En effet, en plus des lettres que j'étudie à la Sorbonne, j'ai pendant ces deux premières années à Sciences Po étudié l'histoire, l'économie, la science politique, le droit, la sociologie, mais aussi le théâtre, les langues et bien d'autres choses encore. Cela a permis d'assouvir ma soif d'apprendre, de satisfaire mon appétence pour certaines matières, mais aussi de découvrir des disciplines que je ne connaissais pas ou n'aurais jamais pensé aimé. Ainsi, avec l'envie d'élargir encore mes horizons, c'est avec impatience que j'attends mon départ en Australie pour découvrir une nouvelle culture, une nouvelle pédagogie, de nouvelles matières lors de cet échange à l'étrange obligatoire durant la troisième année à Sciences Po. Je ne doute pas un instant de ma satisfaction quant à cette expérience, et après ces deux premières années à Paris, je suis intimement convaincue que mes années de master à Sciences Po me plairont tout autant, si ce n'est plus, que le bachelor.
A quelques semaines seulement de mon départ en Australie pour une année d'échange, je viens d'achever les cours de ma deuxième année de bachelor à Sciences Po Paris, ce qui me pousse à penser de façon rétrospective à mon expérience dans ce cursus. Étant en double diplôme de lettres avec la Sorbonne, ces deux premières années ont été intenses tant en charge de travail qu'en enrichissement personnel et intellectuel. Intégrer Sciences Po m'a permis de combiner une vie scolaire exigeante et instructive me poussant à dépasser mes limites pour me hisser autant que possible vers l'excellence, et une vie personnelle et associative incroyable : théâtre, création d'une association féministe, participation active dans l'association des élèves en double-diplôme ... Sans oublier bien sûr des rencontres inoubliables. En effet, les élèves viennent de tous les pays et milieux culturels que l'on puisse imaginer, ce qui permet de tisser des amitiés uniques qui m'ont définitivement marquée. Ce sont ces rencontres et activités si stimulantes qui m'ont jusque là motivée pour me donner à fond dans mes études, mais aussi pour m'aider à tenir le choc dans les périodes les plus chargées en termes de travail. Ces moments pouvaient par moment sembler insurmontables, mais toujours, j'ai réussi à dépasser mon stress et mon appréhension grâce à ma curiosité intellectuelle face à l
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