Écrire une lettre de motivation est un exercice redoutable et déterminant pour chacun. Même si cette dernière engendre beaucoup d'interrogation, notamment sur le degré d'importance qu'accordent les employeurs et les responsables académiques/pédagogiques à son sujet, il est indispensable de proposer une lettre de motivation de qualité.
Que nous soyons futurs étudiants, étudiants ou à la recherche d'un travail, les clés d'une lettre de motivation réussie répondent à tous les profils.
Nous allons donc aborder dans cet article des éléments cruciaux à connaître pour vous aider à obtenir une lettre de motivation adaptée à votre demande.
Concernant la forme de votre lettre de motivation, je vous invite à aller consulter des modèles sur Internet pour ne pas vous tromper sur la forme d'une lettre française classique à savoir : L'expéditeur (en haut à gauche), le destinataire (en dessous à droite), le lieu et la date (en dessous à droite), l'objet (en dessous à gauche), la civilité (en dessous à gauche), le corps du texte (en dessous à gauche) et enfin votre signature (en dernier à droite).
De plus, une lettre de motivation doit tenir sur une page, doit être justifiée et ne doit pas contenir de fautes d'orthographe. J'insiste sur ce point car 90% des employeurs et responsables pédagogiques/académiques s'arrêtent de lire vos lettres de motivation à la première faute d'orthographe trouvée et 95% d'entre eux mentionnent que cet élément est le principale critère pour lequel ils lisent les lettres de motivation. Donc n'hésitez pas à faire relire votre lettre à vos proches pour être sûrs de vous, sinon il ne vaut mieux pas en envoyer du tout !
1) Introduction : décrire sa situation actuelle et pourquoi vous avez envoyé cette lettre
2) VOUS : Faîtes voir que vous connaissez l'entreprise ou l'école pour laquelle vous postulez et que vous avez compris ce qu'ils recherchaient comme profils. Expliquer pourquoi vous avez envie d'intégrer cette structure et pas une autre, montrez vos motivations
3) MOI : Expliquez votre parcours scolaire et vos expériences professionnelles, mettez l'accent sur les éléments les plus importants et faîtes en découler vos atouts, en termes de savoir-être et de savoir-faire.
4) NOUS : Montrez vos principales qualités personnelles qui vous démarquent des autres pour ce poste ou cette école et prouvez que votre démarche a du sens et est cohérente.
5) Formule de politesse : Évitez d'en faire trop dans cette partie avec des formules de politesse trop lourdes et n'hésitez pas à mentionner votre disponibilité pour des informations complémentaires et/ou pour un entretien.
- Adaptation : Adaptez votre style d'écriture (pas sa personnalité !) au destinataire.
- Cohérence : Proposez une lettre de motivation complémentaire à votre CV. Donc pas de répétitions, plus de développement et de précisions !
- Honnêteté et transparence : Il est important d'être honnête sur vos motivations et vos attentes. Pas besoin de se créer une personnalité ! Ces derniers apprécient d'ailleurs cette démarche et savent souvent reconnaître les candidats sincères et les autres.
- Convaincre : Ne faîtes pas le gros vantard ! Il faut tout de même lui faire voir que vous êtes motivés et sûr de vous (même si c'est pas facile pour tout le monde). Pour cela, vous pouvez utiliser des phrases directes avec des mots clés et percutants.
Pour conclure, je vous ai présenté ma manière de voir une lettre de motivation. J'ai eu l'occasion de travailler dans un cabinet de recrutement et j'ai voulu mettre dans cet article mon ressenti découlant de cette expérience. Je reste à votre disposition si vous avez des questions et si vous voulez de l'aide pour vos lettres de motivation, encore une fois un dernier lecteur / correcteur n'est jamais de trop ahahaha !
Je vous souhaite une bonne journée et merci d'avoir pris le temps de lire cet article :)
Tu avais envie de devenir médecin, dentiste, sage femme, pharmacien ou kiné mais tu n'as pas validé ta première année ? Ou bien la santé t'intéresse mais l'ambiance de la fac de médecine te repousse ? Cette licence est une véritable alternative. Elle te donne accès à 2 parcours différents spécialisés à partir de ta L3 (donc tu as 2 ans pour apprendre les bases et choisir ensuite quelle voie tu privilégies) : la pharmacologie ou la nutrition. Le parcours pharmaco ça ressemble bcp à la filière pharmacie. Le parcours nutrition te permet d'être notamment diététicien. Voici la liste de métiers dont nos profs nous ont gentiment fait part pour nous aider à choisir une voie : Enseignant ou Enseignant-chercheur (privé et/ou public) Journaliste Juriste en propriété intellectuelle Diététicien Ecotoxicologue Responsable/Technicien Hygiène- Sécurité– Environnement Contrôleur sanitaire Attaché de recherche clinique (ARC)/ Ingénieur en RC Bio-informaticien Technicien en analyses biomédicales Chargé de pharmacovigilance Visiteur médical Délégué médical/pharmaceutique Responsable qualité Responsable de/Ingénieur en production Technicien de laboratoire Vendeur en parapharmacie Je t'invite à te renseigner sur ce en quoi consiste chacune de ces professions. Pour cela voici un site d'orientation que je trouve plutôt complet : Oriane. Bien sûre si tu ne trouves pas sur le site, une recherche google t'aidera à te faire une idée. Voila, n'hésite pas à prendre rdv si tu as besoin d'être plus aiguillé(e) En espérant t'avoir aidé(e), à la prochaine 😎👌
En tant que 5/2, j'ai pu vivre et revivre les joies de la prépa ! Plus sérieusement, la prépa m'a permis dans un premier "temps de gagner" du temps avant de choisir le métier qui me plairait. J'ai pu d'ailleurs découvrir les Sciences Industrielles de l'ingénieur qui m'ont fait aimer la mécanique d'où mon choix d'école : SIGMA Clermont INP. Même si la prépa est un moment très stressant, on finit par acquérir de la rigueur et des méthodes de travail qui nous seront efficaces pour le reste de notre vie ! Finalement, je ne regrette ni la prépa, ni la 5/2 !
Bonjour, je ne sais pas si tu te reconnaîtras dans mon histoire partiellement ou totalement, mais je te parlerais de mon expérience en CPGE. De base je suis issue d’un baccalauréat S (option biologie-physique-chimie), je suis venue faire mes études en France après avoir obtenue mon baccalauréat. En effet j’avais 18 ans et demi quand j’ai quitté, mon cocon pour venir commencer ma nouvelle vie à Caen, dans une CPGE en option Physique-Chimie-Sciences de l’ingénierie (PCSI). Le premier jour je me sentais confiante, parce que mes années de Lycée dans une école catholique de renom m’avait donné cette force d’affronter chaque chose. Le premier mois était très intéressant, je me rendis compte qu’on abordait des notions que j’avais vu durant ma période de Lycée, mais de manière un peu plus poussée. Ce qui n’était pas très alarmant c’était plutôt excitant. Arriva le 1Er DM en mathématiques, une de mes matières favorites, je m’en suis sortie avec un 15/20; ça allait mais bof j’étais dessus de mes performances. Puis vînt le premier contrôle, 10/20 😳 là je me suis dit c’est la « cata ! qu’est-ce que c’est que ce truc ! ». Je me suis reprise assez vite, mais plus le temps passait, plus je me demandais si vraiment j’étais faite pour la prépa. J’avais beau réviser à fond les notes n’étaient pas extraordinaires, des 14, 12, 10, 8, 5 j’étais passée par tout (en fonction des matières scientifiques, les langues ça allait 😒 heureusement). J’en arrivais à un moment où je me demandais si j’allais y arriver. Ce que je trouvais étonnant c’était que les commentaires des professeurs ne reflétaient pas mes notes, je recevais des compliments lorsque j’avais parfois des notes inférieures ou même égales à 10, plus on avançait. C’est après que j’ai compris que plus on avançait, plus le niveau montait d’un cran et plus l’attention était portée sur notre capacité à garder le cap ou à évoluer. J’ai compris qu’en fait les professeurs s’arrangent à nous donner des sujets interminables et difficiles pour qu’on puisse dépasser nos limites et donner le meilleur de nous sans forcément exploser le livre des scores. Oui ! Les notes on de l’importance, mais ce qui compte aussi c’est la persévérance, l’effort fournit et la motivation. Après mes deux ans en prépa, sachant que nous avions à peu près tous craqués sous la pression, nos concours s’étaient bien déroulé, et pour ma part j’avais eu ce que je voulais. Je suis ressortie de cette expérience encore plus forte, qu’au lycée. Je suis plus apte à gérer le stresse, à travailler en équipe (parce que nous n’étions que 18 en classe donc nous étions comme une famille), à se dépasser et à être plus mature. C’est une expérience que j’ai aimé vivre dans un certain sens. Et si vous êtes en CPGE ou emmené à l’être, n’oubliez pas que « La Terre Promise est toujours de l’autre côté du désert. » 😉 Vous y arriverez !!
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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