J'ai choisi cette fac parce qu'elle était la seule à proposer un parcours qui me plaisait dès la première année de Master : La propriété intellectuelle. En réalité, quelques fac de Paris le proposaient, mais je n'avais pas envie de rejoindre la capitale, et je me plaisais mieux dans des villes à l'échelle de Bordeaux, une ville charmante, grande, ensoleillée et où il me semblait qu'il faisait bon vivre. ça a donc été mon choix principal, et j'avoue que je n'aurais pas vraiment su choisir un autre établissement si je n'avais pas été accepté dans ce master.
Le droit de la propriété intellectuelle donne de nombreuses compétences quant au droit de la propriété littéraire et artistique (droits d'auteurs) et à la propriété industrielle (droit des dessins et modèles industriels, des brevets, ou même des marques). Mais cette formation, bien que spécialisée en propriété intellectuelle dans les grandes lignes, reste assez ouverte, proposant des enseignements secondaires en droit bancaire, pénal, international, etc. De plus, elle apporte une certaine culture, puisqu'on nous y enseigne également le droit de l'informatique, des médias... Avec cette formation, je me forge un profil ouvert et hétéroclite.
Mon principal challenge a été, au cours de l'année, de me trouver un projet plus précis pour la suite, voire même un projet professionnel précis. Jusqu'à la fin du premier semestre, j'étais toujours dans le flou. La "révélation" est venue lors d'un cours de droit de la vigne et du vin, où, tout le long, je me suis mis à envisager ce parcours, et au fur et à mesure des cours, de plus en plus sérieusement. Aujourd'hui, je compte bien postuler dans ce master enseigné à Bordeaux, et tenter les autres touchant ce domaine dans toute la France.
Il est important pour cette formation d'être ouverte d'esprit et d'appréhender des matières somme toute assez neuves, en comparaison au droit "classique". Le droit, dans cette matière, évolue en permanence, il faut savoir prendre du recul et se mettre à la place des personnes bien spécifiques qu'il concerne pour bien prendre conscience des enjeux qui se tiennent alors. Je pense avoir cette ouverture d'esprit, et cette volonté de ne pas m'enfermer dans le "que juridique".
Je pense avoir abordé la question du master avec le profil de l'étudiant lambda, qui n'est pas vraiment sûr de ce qu'il veut faire précisément plus tard, mais qui est tout de même motivé à avancer. Aujourd'hui, j'ai déjà validé le premier semestre, et j'espère être en bonne voie pour valider la suite, donc je suis la preuve qu'un élève moyen et peu sûr de son avenir peut s'en sortir, trouver une motivation, et validé ses semestres malgré tout !
Après avoir passer le concours ATS en 2016, j'ai été admis à l'école d'ingénieur en mécanique et en chimie (fusion entre l'ENSCCF ET l'IFMA) à SIGMA CLERMONT, le cursus ingénieur se fait en 3 ans et requiert la validation préalable d'un BAC +2. Cette école propose une formation généraliste. Pour ce qui est de la formation en mécanique, trois spécialisations sont possibles à l'issue de la première année qui fait principalement office de remise à niveau étant donnée la diversité des formations par lesquelles cette école est accessible. Voici ces 3 spécialisations : - Conception de machines industrielles et de systèmes mécanique (bureau d'études ; CAO (CATIA) ; cinématique machines ; robotique) - Matériau (Etudes de résistance, propriétés, laboratoire) - Systèmes Industriels et logistique (Supply Chain ; Logistique ; Simulation de flux ; ingénierie industrielle ; Méthodes ; 5S, Lean Management), spécialisation que j'ai choisie Un autre point au centre de cette école et de la plupart des écoles d'ingénieurs est la possiblilité de prendre part à de multiples projets grâce au grand choix d'associations auxquelles l'étudiant ingénieur est très fortement incité à adhérer, principalement pour son développement personnel. Enfin, un aspect qui a été pour moi extrêment important et plaisant est le nombre de partenariats entre cette école et des universités étrangères ainsi que la possibilité d'effectuer une année de césure à l'étranger. De plus, l'étudiant est totalement soutenu dans des démarches de stages et d'études à l'étranger, l'école ne s'oppose en rien à cela, bien au contraire, il est donc possible de faire une grande partie de son cursus ingénieur à l'étranger. Durée de la formation : 3 ans Exemples de débouchés : Chef de projet, Ingénieur matériau, Ingénieur méthodes, thèse, etc. N'hésite pas à prendre RDV avec moi si tu souhaites discuter avec moi de cette foramtion en particulier ou tout simplement de mon parcours en général et/ou de mes diverses expériences professionnelles. Je répondrai avec plaisir à toutes tes questions!
Bachelor en management a icn BS
D'après mon expérience en école d'architecture, voici ce que j'en retiens : c'est une formation extrêmement complète qui fait intervenir tant des qualités plastiques et créatives que orales. On apprends beaucoup sur soi, à travailler en groupe, et à acquérir un esprit de synthèse par exemple. On ressens très vite quand on commence les études que bien s'exprimer à l'oral et pouvoir synthétiser tout son travail en trois lignes c'est primordial. Au niveau des matières, ce sont des études "touchent à tout", du moins de mon point de vue. On étudie l'histoire, l'histoire de l'art, l'urbanisme, la politique urbaine, l'économie des territoires, les mutations sociétales qui ont influencées les villes, les comportements humains qui entrent en jeu quand on parle d'habiter un espace... Tout cela nous ouvre l'esprit sur ce qui nous entoure et nous fait voir le monde d'une autre manière. C'est peut être une phrase bateau, je vous l'accorde, mais elle est terriblement juste quant il s'agit des enseignements qui nous sont donnés. L'architecte conçoit et construit l'environnement donc en tant que futurs architectes nous devons avoir en main un éventail de connaissances sur le monde dans lequel nous allons exercer. Alors oui, ce sont des études fastidieuses et très souvent démoralisantes mais on se rend compte de tellement de choses qu'on a envie de continuer !
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec lui
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