A Lille, pour choisir son université, c'est d'abord par matière et ensuite par budget. Pour moi qui voulait faire Psychologie, c'était soit l'Université Lille 3 (publique), soit l'Université Catholique de Lille (privée). Je n'avais clairement pas les moyens d'entrer à l'Université Catholique de Lille, mais j'étais contente de rentrer à Lille 3, car le campus est fait de personnes et de projets d'horizons totalement différents (et ça fait du bien !), mais aussi parce que - en discutant avec des étudiants de l'Université Catholique de Lille - je me suis rendue compte qu'ils avaient une orientation plutôt psychanalytique, alors que Lille 3 était plus scientifique (ce qui m'allait bien).
La formation de psychologue à Lille 3 est plutôt bien réputée. Nous avons un haut niveau scientifique, et si nous voulons être chercheur, venir de Lille 3 est un très bon point. Les statistiques et la neurologie y prennent une place importante. Au-delà de ça, le Master 2 que je vise (Psychologie et Justice) n'existe en réalité qu'à Lille. C'est la petite chose qui fera la différence !
... de m'adapter et de me replonger dans les matières scientifiques, alors que je sortais d'un baccalauréat littéraire. Je n'avais plus fait de mathématiques depuis la seconde, et je devais m'y remettre. Le programme est assez complexe, et il faut bien suivre en cours (cours magistraux et travaux dirigés) pour valider la matière. Au tout premier semestre, en première année, on commence doucement parce que l'on revoit les probabilités. Mais les statistiques commencent dès le deuxième semestre.
Personnellement, j'ai toujours eu de très bonnes capacités de rédaction, ce qui m'a aidé pour réaliser les dossiers (sur le syndrome de Stockholm par exemple!), ou répondre aux questions ouvertes (en psychopathologie, il y en a beaucoup). J'apprécie les cours, je suis très curieuse, donc je n'ai pas succombé à la plus grande tentation de l'Université : sécher les cours. Par la suite, un planning de révisions, des pauses détente pour pas faire cramer notre cerveau, des bons moments de rigolade avec les potes, et des moments-révisions sérieux en totale déconnexion (sans ordinateur, sans téléphone, sans télévision, sans console ... ).
Je suis en 4e année, et j'ai effectué tout mon cursus à Lille 3. Je peux donc dire que je connais bien la FAC ! Si vous avez d'autres questions sur la psychologie, les débouchés, les examens, les options ou les cours obligatoires, les professeurs, notre asso étudiante de psycho à Lille 3 ... Quoi que ce soit, appelez-moi ! Vous pouvez aussi m'appeler même si vous n'avez pas l'intention d'étudier la psychologie, mais que vous avez des questions sur Lille, la ville, la FAC, la vie étudiante ... N'hésitez pas, je suis là pour vous !
Quand j'ai intégré le master écophysiologie et éthologie j'ai enfin pu me spécialiser en éthologie qui n'existe pas en licence. L'aspect écophysiologie apporte un autre point de vue au comportement animal et donne un aspect plus complet à cette formation. Les sorties au zoo, des projets professionnels encadrés et l'opportunité de faire des stages nous permet d'appliquer la théorie et être plus proche de nos amis les animaux. Les professeurs sont à notre écoute, nous aident pour trouver des stages en France ou à l'étranger et nous suivent même après la fin de nos études. Ce master m'a permis d'acquérir de vastes connaissances et savoir-faire en plus d'une méthodologie acquise par le rythme de travail imposé. N'hésite pas à prendre rendez-vous gratuitement avec moi pour approfondir mon expérience dans ce master.
Faire son Master de psychologie clinique et psychopathologie en Belgique à l'ULB n'est pas gage de réussite en France. Je m'explique. En France, il y a la sélection pour accéder à un master de psychologie, quelle que soit la spécialité. Les places sont donc rares et difficiles à obtenir au vu de la concurrence et des critères d'admissions très flous. Poursuivre son cursus en Belgique est alors l'une des opportunités alternatives qui s'offrent à nous, à vous. Seulement, ce n'est pas le même fonctionnement qu'en France. En effet, les Master de psychologie clinique ne sont pas spécialisés dans une obédience particulière (TCC, analytique, systémique...). Le côté pratique n'est pas réellement abordé. En plus de ça, après obtention du diplôme, il n'est pas tout de suite reconnu comme équivalent au français. Il faudra monter un dossier et le faire passer auprès de la commission des psychologues, puis faire valider cette décision auprès de l'ARS afin d'obtenir enfin un numéro ADELI et exercer en France. Il sera également nécessaire de poursuivre un DU complémentaire pour obtenir une formation pratique plus avancée afin de se sentir professionnel, utile et efficace dans ce nouveau challenge car il n'aura pas été possible, en dehors des stages, de bénéficier d'outils concrets en thérapie. Si tu as des questions pour compléter ce témoignage, n'hésites pas à prendre RDV avec moi. Je n'ai aucun tabou sur mon parcours, je tenterai de rester la plus objective possible, tout en te faisant part de mon expérience plutôt unique.
J'ai obtenu en Juin 2018 un DUT informatique. J'ai suivi les cours sur le campus de Paul Sabatier Toulouse III. Avant d'assister aux premiers cours, j'étais déjà passionné par l'informatique, mais je ne savais pas réellement ce que je voulais exercer dans ce secteur. En effet, c'est tellement vaste que l'informatique est intégré à tous les domaines d'activités possible. L'IUT informatique (de Toulouse du moins) m'a permis d'avoir une culture et une connaissance de l'informatique importante. De plus, des activités qui vont de paire si vous souhaitez entreprendre ont été vu (comme de la comptabilité, de la gestion de projet...). La mise en application se faisait directement à travers de nombreux projets, ou en stage de fin de cursus pendant 11 semaines. Beaucoup d'aspects ont étés étudiés pour nous faire découvrir un maximum de choses dans l'informatique (développement logiciel, web, réseau, administration système, UNIX...) Outre cet aspect extrêmement complet de l'apprentissage de connaissance, les enseignants chercheurs vous apprennent à « apprendre », ils vous aident à devenir autonome dans votre apprentissage, car l'informatique évolue de jour en jour, même lorsque vous ne serez plus en études. Je vous le conseille vivement, n'hésitez pas à prendre rendez-vous avec moi si vous souhaitez que je développe mes propos, ou que j'évalue si un DUT informatique peut vous correspondre !
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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