En terminale, j'hésitais entre les langues et la philosophie. Cependant, je trouvais qu'il était risqué d'étudier la philosophie directement après la terminale étant donné que je n'avais étudié cette matière qu'une seule année. Sur les conseils de mes professeurs, je suis allée en prépa, ce qui m'a permis de repousser le moment du choix. Après trois années à étudier la philosophie, j'ai finalement été confortée dans l'idée que c'était vraiment ce que je voulais faire. Après ces deux années, j'ai donc décidé d'intégrer la licence 3 de philosophie de Lille car l'université Lille 3 propose la spécialité philosophie de l'art qui m'intéressait plus particulièrement.
Après deux années en classe préparatoire littéraire et une licence de philosophie (spécialité philosophie de l'art), j'étudie actuellement en master recherches en philosophie. Par la suite, j'envisage de passer les concours de l'enseignement (CAPES et/ou agrégation) ou d'effectuer un doctorat (en 3 ans) afin de pouvoir faire de la recherche et d'enseigner cette matière.
J'appréhendais le passage de la prépa à celui de la fac : le changement est important. Mais contrairement à ce qu'on entend souvent, l'enseignement proposé en faculté est de qualité (même si je ne peux parler que pour la fac de Lille 3 et pour mon UFR : philosophie). L'emploi du temps est moins lourd, mais la charge de travail n'en est pas pour autant moins conséquente. La seule différence, c'est qu'en faculté, nous sommes autonomes et que nous devons travailler par nous-mêmes. Il y a moins de pression, ainsi on peut rapidement se retrouver débordé de travail, le tout est de bien s'organiser et de travailler régulièrement.
Après deux années de prépa et des notes bien en dessous de celles qu'on avait au lycée, il y a l'angoisse de savoir comment cela va se passer à la fac. Allons-nous retrouver nos bonnes notes d'autrefois ? Voilà la question qui nous hante tous (je caricature bien sûr). Mais ces deux années passées à apprendre de bonnes méthodes de travail sont très bénéfiques une fois arrivées en faculté. Ainsi, j'ai su bien m'organiser et travailler de manière régulière en approfondissant les sujets vus en cours par des lectures complémentaires. J'ai obtenu ma licence avec mention bien, en travaillant sérieusement, tout en ayant du temps pour moi à côté.
Comme je suis passée par la prépa pour ensuite aller étudier à la fac, je peux comparer les deux formations et indiquer les points forts / faibles de celles-ci. Je suis en mesure d'expliquer en quoi consistent les procédures d'admission pour la prépa, la licence et le master ainsi que celle concernant le passage de la khâgne à la licence 3. Ayant toujours été une bonne élève, je peux également être de bons conseils pour savoir comment bien s'organiser dans ses études. Enfin, je serai à l'étranger dans le cadre du programme Erasmus+ pour mon master 2, je peux donc aussi vous donner des informations sur les démarches à entreprendre au sujet des séjours à l'étranger.
Le BTS Communication est une formation enrichissante. Je ne m'attendais pas à cela quand j'y suis entrée mais les cours sont très intéressants et peuvent servir dans tout type de poursuite de parcours. On nous apprend l'histoire de la communication et tout plein de choses mais on nous apprend surtout à avoir un bon discours écrit et oratoire, ce qui nous sert donc dans la vie de tous les jours ! Je suis en FI (formation initiale), ce qui veut dire que je dois faire deux stages dans l'année. Les cours sont rythmés par de la théorie et aussitôt de la pratique, ce qui nous aide à comprendre encore mieux ce que nous étudions. Dans ce BTS on touche un peu à tout : graphisme, écrit, oral, création, calculs, innovation etc. Ce BTS est très complet et convient à tout type de parcours : Bac L, Bac STMG, Bac pro etc. Les formateurs nous encadrent et nous aident tout le long de l'année, ce qui nous permet un bon suivi et une bonne compréhension. Si tu as d'autres questions concernant le BTS Com, n'hésites surtout pas à venir me parler ! ;)
Étudier la langue anglaise était un rêve pour moi. L'anglais me passionne et, ce, depuis la primaire. Après un bac L, option anglais renforcé, je me suis donc dit "pourquoi pas la fac d'anglais ?". Je me suis donc lancée et j'ai été en LLCER anglais à la fac de lettres de Nancy. Les cours étaient très intéressants mais le fait d'être 40 à 50 en TD (travaux dirigés) ne m'aidaient pas à travailler. J'étais même plutôt distraite par ce que me proposaient les objets qui m'entouraient : mon ordinateur pour aller sur les réseaux sociaux, des feuilles pour écrire des histoires, des stylos etc. Et je ne parle même pas des CM (cours magistraux) où l'on est plus de 300 en amphithéâtre : c'était une cours de récréation géante avec un professeur qui tentait tant bien que mal de faire son cours. Certains regardaient des séries, des films, d'autres achetaient des fringues ou des places de concert, d'autres dormaient sur leur table etc... De plus, les cours magistraux, eh bien, plus personne n'y allait. En civilisation anglaise, il est même arrivé que l'on ne soit que neuf dans l'amphi. Avec cette ambiance, j'ai donc vite décroché. Et le fait que je sois en résidence universitaire n'aidait pas : je flippais tellement que j'en faisais des insomnies. Qui dit insomnie, dit du mal à se concentrer, et qui dit du mal à se concentrer dit : l'envie d'aller en cours n'était pas là. J'ai pris la décision d'aller aux partiels et à quelques cours mais le reste du temps je me concentrais sur mon futur projet : partir en tant qu'au pair à Londres. Je trouve donc que la fac ne correspond pas à tout le monde. Certains peuvent très bien y arriver, d'autres ont encore un peu besoin d'encadrement.
J'étudie actuellement à l'Université de Cergy-Pontoise en licence LEA anglais-espagnol. Voici les différentes choses que j'aurais voulu savoir avant de m'inscrire : - l'enseignement universitaire est très très théorique. Ainsi dans les parcours nous apprenons les sciences du tourisme par exemple mais aucune compétence pratique - Il y a un parcours en 2ème année: dans ma licence il y a traduction / culture et tourisme / commerce international / enseignement - toutes les facs n'ont pas les même programme et même au sein d'une même fac le programme peut changer d'un professeur à l'autre. Ainsi certaines facs incluent une troisième langue d'autres non - On est beaucoup laisser face à nous même et on est peu encadré mais si on cherche bien on peut trouver des gens pour nous aider - il faut avoir un niveau minimum dans les deux langues, n'espérez pas apprendre une langue mais l'approfondir - il y a beaucoup de cours autour de la langue comme la civilisation par exemple - c'est plus axé sur l'apprentissage de la langue que les LLCER qui travaillent plus sur la culture autour d'une langue
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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