Je ne savais pas dans quoi m'orienter. Ayant eu de bonnes notes au lycée, mes professeurs m'ont alors conseillé de faire une classe préparatoire, ce qui me laisserait deux années supplémentaires pour bien réfléchir à mon orientation, tout en ayant de nouvelles connaissances qui pourraient m'être utiles. Comme je ne parvenais vraiment pas à savoir quoi faire, j'ai décidé de suivre leur conseil.
La classe préparatoire permet de gagner en rigueur, rigueur utile tout au long de son parcours professionnel. De plus, les connaissances peuvent être réutilisées dans de nombreux domaines. Actuellement, dans mes études de communication, je revois des notions étudiées en classe préparatoire. Et j'ai davantage de faciliter à jongler entre les différentes tâches à effectuer, parce que j'ai appris à m'organiser.
Le principal challenge au cours de cette CPGE a été de jongler avec la faculté de Droit en parallèle. Il faut réussir à ne pas délaisser l'un ou l'autre pour éviter que la dose de choses à apprendre ne s'accumule. Finalement, ce double cursus, c'est deux visions différentes du travail, qu'il faut pourtant réussir à lier. Tout cela demande de savoir gérer son stress, et je pense que c'est la chose la moins évidente...
Ma plus grande qualité a été la rigueur. Il faut savoir gérer son travail si on souhaite s'en sortir à la fois en CPGE et en faculté, et ce d'autant plus que les études de Droit sont très théoriques et demandent de maitriser énormément de connaissances, pour la plupart basées sur notre mémoire. À côté de cela, il faut réussir à préparer ses khôlles et ses DS chaque semaine. Sans organisation, ça peut devenir compliqué.
Je pourrai expliquer à quelqu'un qui se pose des questions sur la CPGE ce qu'elle nous apporte, même si notre avenir professionnel est flou. J'ai vécu la CPGE comme une expérience à laquelle je ne m'attendais pas, parce que j'avais trop d'a priori sur elle. Peut-être me serais-je préparée différemment si j'avais eu un retour d'expérience. Ce passage a eu de (très) bons côtés, et d'autres moins agréables, et je pense pouvoir dire, au regard de mon année en CPGE, lesquels ils sont.
Ma formation m'a permis d'acquérir toutes les compétences pour devenir coach sportif. J'ai appris tous les éléments qu'il faut mettre en place pour donner des cours collectifs en salle de remise en forme. Etant juste pratiquante, j'étais loin d'imaginer ce qu'il fallait maitriser : la musique, le cueing, les consignes, la correction, l'animation etc .. J'ai appris a corriger les pratiquants, tout en continuant en gérer le cours collectif. J'ai aussi appris a créer un programme de musculation et de cardio, en fonction de l'objectif du pratiquant et de ces pathologies. La formation est composée de différentes matières scientifiques (anatomie, physiologie, biologie). Mais aussi de matières professionnelles (développer le comportement professionnel, créer son entreprise, management, marketing). En cours pratique, nous avons du step, de la musculation, des cours de renforcements musculaires, des cours de pilates, des cours d'athlétisme. Même si certaines pratiques ne nous plaisent pas, cela nous permet donc de choisir ce que l'on fait faire plus tard comme métier. Ceux qui n'apprécient pas les cours collectifs, se dirigent vers le métier de coach sportif uniquement en musculation. Ceux qui affectionnent moins la musculation, se dirigeront plus vers le coaching en cours collectifs. Si vous avez des questions ou besoin de plus d'infos. Je suis là !
La licence de l.e.a (langues étrangères appliquées) est une licence assez complète mais peu professionnalisante. Elle offre une ouverture à certaines écoles et formations: master, école spécialisée dans divers secteurs : traduction, tourisme, commerce international, logistique, etc. Nous avons des cours de civilisation, de méthodologie, de traduction, d'initiation à la langue, de ppp, de droit, de culture g. Le grand bémol de cette licence pour moi, c'est que les langues ne soient pas appliqués. C'est à dire que nous apprenons des verbes par coeur bêtement un peu comme au lycée et au final c'est plus de la théorie que de la pratique. On connait du vocabulaire mais nous sommes incapables de parler et de faire des phrases sans réfléchir. Nous apprenons plus sur le pays que la langue en elle même. Pour m'expliquer, vous connaîtrez mieux l'histoire des présidents des états-unis, avec leurs noms, leurs histoires, la constitution... que l'anglais en lui même si vous choisissez cette langue. C'est pourquoi, selon moi, il faut avoir un très bon niveau dans les langues choisis Cependant ça reste une bonne licence.
Le BTS est une formation très intéressante dans la mesure où il représente un bon compromis entre la théorie et la pratique. Les nombreuses semaines de stage permettent d'appliquer la théorie apprise au cours des semaines au lycée et cette dimension du "terrain" est souvent très attractive pour ceux ayant déjà une idée du domaine dans lequel ils voudront exercer au terme de leurs études, ou même pour ceux voulant préciser cette idée.
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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