Je me suis retrouvée en Droit un peu par hasard, après un échec dans une autre filière. Je recherchais un domaine qui pourrait me garantir des débouchés variés. Et le Droit offre beaucoup de possibilités futures, car le Droit touche et concerne beaucoup de milieux. Il m'a semblé que le Droit représentait un atout peu importe que je choisisse un métier lié à ce domaine ou non.
Je n'ai pas de projet professionnel précis, mais l’intérêt du Droit ne se limite pas au milieu professionnel. C'est un atout dans la vie de tous les jours, car cette formation nous donne des outils pour mieux comprendre le monde dans lequel on vit. Aussi bien sur un plan historique, légal, politique, qu'au niveau des structures dans lesquelles nous évoluons. Ce côté polyvalent était un point important dans ma prise de décision.
La rigueur a été le principal challenge pour moi. Comme beaucoup de formations, le Droit demande beaucoup d'implications et d’endurances ^^. Il est donc important de s'organiser, d'apprendre à trouver d'autres sources que notre cours pour approfondir nos connaissances. C'est d'ailleurs une qualité que l'université nous pousse à développer. Il faut savoir être autodidacte et utiliser les outils qui sont mis à votre disposition pour nous immerger dans la discipline qu'on a choisie.
Mon intérêt pour l'Histoire m'a beaucoup aidé à me repérer dans les différents cours et à intégrer la masse de connaissances qu'on nous demande d'intégrer. De bonnes bases en Histoire est un véritable atout dans cette formation. Pour comprendre le Droit aujourd'hui il est important de connaître son évolution. La première année de Droit consacre une grande importance à cette histoire.
Ayant connu l'échec et la réorientation, je sais ce que c'est que de toucher le fond et de devoir reprendre confiance pour continuer d'avancer. J'ai dû envisager de nouvelles perspectives et recommencer à partir de zéro, c'est un processus déroutant que je connaît. Je pense que c'est un atout important pour conseiller et répondre au mieux aux questions des étudiants.
Etudiante mes trois années de licence à l'IAE La Rochelle, je recommande vraiment cette formation. Je sortais d'un Bac ES spé Maths. J'aimais les maths, l'économie, le sport et surtout je voulais mon indépendance. Or l'université est parfaite pour ça. L'emploi du temps n'est pas fixe, on alterne entre Cours Magistraux (CM) et Travaux Dirigés (TD), autrement dit, entre cours et exercices. Par contre il faut assister à tous les cours, enfin je le conseille. Concernant les cours, je les trouve en corrélation avec la gestion, il y a toujours des matières plus intéressantes que d'autres, mais grâce à ces trois années, j'ai vraiment vu les différentes facettes de l'entreprise, du monde professionnel en général et ainsi pu choisir dans quel axe de la gestion je voulais poursuivre. Donc, cette formation est complète, Rh, marketing, compta, finance, droit, production, langues, économie..., elle reste générale, mais grâce aux options en troisième année, on arrive à se spécialiser. Je veux rajouter que La Rochelle est un cadre d'étude exceptionnel, le campus est bien organisé (tout à proximoté). Bref, ces trois années sont passées vite, si je devais le refaire, je le referai.
Je suis à l'ENSAG, aussi dite Ecole Nationale Supérieure d'Architecture de Grenoble. On est d'accord ENSAG c'est plus court. Mais bref ce n'est pas le sujet. Ce qu'il faut que tu saches c'est que cette école est faite pour toi si tu aimes faire des rencontres intéressantes, riches et par conséquent constructives. L'une des choses qui m'a le plus marquée après mes 3 premières années c'est la facilité de communication avec les élèves des années supérieurs, mais aussi avec certains profs très soucieux de notre bien être. Quand je me promène dans les couloirs (parce que oui on passe énormément de temps dans l'école car ces études demandent beaucoup d'investissement), je tombent toujours sur une personne prête à m'aider si j'en ai besoin, que ce soit pour les cours, pour accéder à une information ou encore pour trouver un stage. L'entre aide est le moteur de l'ENSAG, et je pense avoir autant, si ce n'est plus, appris des autres élèves que de mes professeurs, bien que le majorité des ces derniers soit particulièrement intéressants. Le plus satisfaisant dans les études d'architecture c'est de voir que les connaissances que nous acquérons nous servent au quotidien. Le système de notation se base surtout sur des rendus matériels (maquettes, planches, sculptures ou encore modélisations 3D), ce qui fait que nous pouvons voir l'évolution de notre travail et de sa qualité au cours du temps voir même du semestre. Il y'a très peu de par cœur et de cours à ingurgiter sans réfléchir, les profs nous demandent notre avis, ils nous sollicite pour être certains que nous avons assimilé l'information et que nous pourrons la réutiliser à notre manière et avec notre point de vue. Ils tentent avant tout d'attiser notre curiosité en nous laissant approfondir les notions proposées en cours, ce qui fait que nos travaux sont tous très différent car chacun peut avoir son interprétation. Ils nous répète sans cesse qu'il n'y a pas de bonne réponse en architecture et qu'il suffit d'avoir de quoi appuyer nos idées pour les présenter aux autres. Tout cela fait que ces études sont particulièrement bénéfiques sur le plan professionnel puisqu'elle nous apprennent à avoir notre propre point de vue sur une problématique. Mais elles sont également très formatrices sur le plan personnel, savoir exposer ses idées mais surtout savoir s'exprimer pour les mettre en valeurs et que notre parole soit construite par une véritable réflexion. Quand je fais une rétrospective de mes années passées dans cette école je ne retient que le positif, je me suis vue grandir sur le plan professionnel et sur le plan personnel, j'ai rencontré des personnes passionnantes (tant mes amis que mes professeurs), et j'ai su dépasser ce que je pensais être mes limites. Oui ses études sont difficiles, elles demandent beaucoup de temps et d'énergie, on ne dort pas beaucoup (bien que ce ne soit pas que à cause du travail...), mais si tu te retrouves piqué par la "passion" de l'architecture, la plupart du temps tout ce travail devient du plaisir.
Le concours pour entrer en école de psychomotricité n'est pas facile, le numérus clausus est petit et les taux de réussite peu élevés mais si vous pensez être fait pour ce métier, il faut travailler et tout donner pour réussir car ça en vaux vraiment la peine et la fierté ressentie une fois la réussite annoncée est incomparable !
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N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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